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La thérapie hormonale intermittente peu efficace contre le cancer de la prostate

La thérapie hormonale intermittente s’avèrerait peu efficace chez les patients en stade avancé de cancer de la prostate, rapporte The National Library of Medicine.

Le traitement, qui vise à faire baisser les taux de testostérone et ainsi ralentir la progression des tumeurs, ne semble pas obtenir les résultats escomptés lorsqu’il est administré de façon intermittente, selon une vaste étude.

Pire encore, selon plusieurs chercheurs, dont l’auteure principale de l’étude, Maha Hussain, ce genre de traitement peut même nuire au patient et à ses chances de rémission.

« Les bienfaits de la thérapie hormonale intermittente ne sont pas clairs. En termes de taux de survie, ce n’est pas meilleur », déclare Dre Hussain.

De plus, ce genre de traitement est très difficile à supporter et entraîne de nombreux effets secondaires graves chez les patients.

« Les patients ressentent des symptômes troublants comme des bouffées de chaleur, un gain de poids, une masse musculaire amoindrie et une perte de libido », explique en conclusion Maha Hussain.

Il y a cependant de l’espoir, car d’autres observateurs et chercheurs croient que les spécialistes sont sur le point de rendre le cancer de la prostate aussi traitable que la haute pression ou le diabète.

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Un traitement pour contrôler le cholestérol pourrait aussi prévenir de la DMLA

La DMLA, ou dégénérescence maculaire, est l’un des problèmes les plus communs à survenir chez les gens qui prennent de l’âge. Plusieurs solutions sont envisagées, mais certaines pourraient provenir de traitements ou de médications déjà existants.

Ce serait notamment le cas des traitements de contrôle du cholestérol, rapporte Top Santé. C’est du moins ce que croient certains chercheurs américains, qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, selon les spécialistes de la Washington University School of Medicine, un taux de cholestérol élevé a des effets non seulement sur le système immunitaire, mais aussi sur les risques de développer un trouble de dégénérescence maculaire.

Avec un taux élevé de cholestérol, les cellules immunitaires s’en prendraient même directement à la rétine. On veut donc créer un nouveau traitement qui permet non seulement de contrôler les taux de cholestérol, mais aussi de prévenir la DMLA.

On croit que la meilleure formule de traitement se matérialiserait sous la forme de gouttes pour les yeux.

« Ces traitements anti-cholestérol pourraient prévenir l’accumulation de lipides dans la rétine », confirment et résument les chercheurs basés à Washington.

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Nouvelle percée intéressante dans le traitement de la presbytie

Les gens qui souffrent de presbytie seront heureux d’apprendre qu’une nouvelle technique est maintenant à l’essai afin de tenter d’enrayer le problème.

Selon Santé Log, il s’agit d’une technique non invasive, qui ne nécessiterait aucune intervention chirurgicale, pas plus que le port de lunettes ou d’un appareil spécialisé encombrant.

Ce sont des chercheurs de l’Université de New South Wales, à Sydney en Australie, qui proposent cette nouvelle façon de faire. Celle-ci fait appel à des lentilles cornéennes spécialement créées pour corriger les problèmes de vision dus à la presbytie.

Portées seulement la nuit, ces lentilles permettraient ni plus ni moins de remodeler carrément la cornée, ce qui a de quoi surprendre. Les traitements de la cornée sont rares, et cette nouvelle technique théorique permet aux patients qui souffrent de ce trouble d’être optimistes.

Après avoir testé ces fameuses lentilles sur un groupe de 16 patients, les chercheurs rapportent que le taux de réussite observé dans ce groupe est de 100 %.

D’autres études sont à prévoir, mais il semble que cette avancée pourrait être commercialisée incessamment.

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Mâcher de la gomme pourrait être bénéfique après une chirurgie du côlon

The National Library of Medicine rapporte une étude qui laisse penser que le simple fait de mâcher de la gomme après une opération du côlon pourrait être un geste bénéfique.

On fait surtout ici référence au cancer du côlon et à la chirurgie qu’il nécessite souvent, une intervention qui peut laisser le système digestif et les intestins inopérants.

Les patients qui subissent cette opération doivent donc souvent prolonger leur séjour à l’hôpital, en attendant que l’organisme « reparte » et se remette à fonctionner normalement.

Pour y parvenir, on pourrait demander aux patients de mâcher de la gomme. L’étude en question, publiée par des chercheurs de l’University Hospitals Case Medical Center de Cleveland, laisse croire qu’il s’agit d’une possibilité.

« C’est quand même raisonnable d’essayer une gomme sans sucre pour stimuler la récupération du système gastro-intestinal après une intervention majeure. Il semble qu’il n’y ait aucun inconvénient, et c’est peu coûteux, contrairement à beaucoup d’autres traitements », explique le Dr Conor Delaney.

Même si l’étude en question ne démontre pas hors de tout doute l’efficacité de cette pratique, elle n’est pas la première à avancer cette théorie. À tout le moins, comme aucun désavantage ou danger connu n’est relié à cette manœuvre, les médecins peuvent la suggérer sans inquiétude.

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50 % des femmes en rémission du cancer du sein abandonnent le traitement

Une étude surprenante révèle des statistiques déconcertantes : une femme sur deux en rémission du cancer du sein laisserait tomber son traitement avant la date prescrite.

C’est ce que révèle Top Santé, qui explique aussi qu’à la décharge de ces femmes, les effets secondaires du traitement post-cancer sont parfois nombreux et désagréables.

Menée par des chercheurs de Glasgow, l’étude explique que le traitement par hormonothérapie doit généralement s’étendre sur une période de cinq ans.

« Or, les femmes qui laissent tomber leur traitement après trois ans, au lieu des cinq ans recommandés, ont trois fois plus de risque de décéder d’une récidive », explique le Dr Colin McGowan, auteur en chef de l’étude.

Les patientes en rémission de ce terrible cancer abandonneraient progressivement le traitement, notamment le tamoxifène, au fil des années suivantes. À la cinquième et dernière année du traitement prévu, elles ne seraient plus que 50 % à continuer à suivre les ordres du médecin.

Les raisons vont de la prise de poids subséquente aux bouffées de chaleur étouffantes, des symptômes qui dérangent les femmes qui en sont victimes.

Malgré ces désagréments, les spécialistes affirment que le tamoxifène est un allié puissant pour assurer une guérison complète du cancer du sein et qu’il est hautement dangereux de stopper les traitements dans les cinq premières années.

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Percée majeure dans le traitement du glaucome

Le glaucome, un problème de santé qui touche les yeux, est un fléau pour plusieurs personnes qui prennent un peu d’âge. Les traitements sont minimes pour l’instant, mais la donne serait sur le point de changer, selon Radio-Canada.

Cette avancée spectaculaire provient de l’École polytechnique de Lausanne, en Suisse, qui vient d’annoncer la création d’un implant permettant de retirer le liquide de l’œil responsable du glaucome.

Le dispositif est réglable à distance et permet de soigner l’œil sans avoir recours à une intervention trop invasive.

Il s’agit d’une excellente nouvelle pour toutes les personnes qui souffrent de ce mal, incluant les 400 000 Canadiens aux prises avec le glaucome.

Le glaucome peut mener à la cécité lorsque mal soigné, car il détruit progressivement le nerf optique. Les traitements utilisés en ce moment ne font que ralentir la progression de la maladie, et les dommages causés par celle-ci sont, à ce jour, irréversibles.

« L’insertion d’un moteur électronique était exclue, en raison des contraintes de place. Nous avons donc inventé un mécanisme d’un demi-millimètre d’épaisseur qui fonctionne comme un petit robinet », résume Nikos Stergiopulos, inventeur du procédé.

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Percée importante dans le traitement de la trisomie 21

Santé Log rapporte des conclusions époustouflantes, qui tendent à laisser croire qu’un traitement, à tout le moins partiel, de la trisomie 21 est envisageable.

Selon les chercheurs du Sanford-Burnham Medical Research Institute, il serait possible de manipuler un chromosome responsable de la faible production d’une protéine retrouvée au cerveau.

Ils seraient même parvenus à prouver leur théorie sur des souris, ce qui rend la communauté scientifique optimiste quant à cette percée.

Il s’agit de la protéine trinexine 27, qui pourrait être restaurée par une thérapie génique précise. Le cas échéant, les chercheurs de Sanford-Burnham croient que plusieurs capacités cérébrales et fonctions cognitives pourraient être améliorées.

Le professeur Xu Huaxi, directeur de l’étude, explique : « Dans le syndrome de Down, le manque de SNX27 est au moins partiellement responsable des anomalies du développement et des déficits cognitifs. Tout revient à la normale après ce traitement par SNX27 ».

Les souris dites trisomiques qui ont subi l’intervention auraient effectivement retrouvé plusieurs fonctions cognitives, ce qui fait subsister l’espoir de voir un jour apparaitre un traitement efficace contre cette terrible maladie qui touche tant de familles.

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Des millions de personnes à risque de développer du diabète ignorent leur condition

Les statistiques concernant le diabète sont déjà assez alarmantes, mais ce plus récent rapport ajoute à l’inquiétude.

Selon ces conclusions rapportées par The National Library of Medicine, des millions de personnes à risque ou sur le point de développer du diabète ne seraient absolument pas au courant.

Aux États-Unis notamment, 11 % des 79 millions d’Américains avec des conditions prédiabétiques connaissent leur état de santé. 11 %, c’est bien peu… et 79 millions, c’est énorme! De quoi placer les spécialistes sur le pied de guerre.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les CDC américains lancent ce rapport et veulent sensibiliser la population.

« Nous avons un grand problème avec ce petit nombre de gens conscients qu’ils sont prédiabétiques. C’est un peu mieux que la dernière fois que nous avions analysé le dossier, mais c’est encore beaucoup trop bas », déclare avec déception l’auteure de l’étude, Ann Albright.

Caractérisée par des taux anormaux de sucre dans le sang, la condition du prédiabète peut être stoppée dans sa progression lorsque le patient en est conscient. Il peut ainsi procéder à des changements de vie et alimentaires afin d’éviter, ou retarder, l’arrivée d’un diabète de type II, par exemple.

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Ces médecins qui prescrivent des placebos

Une étude surprenante en provenance de l’Angleterre dévoile des statistiques concernant les prescriptions de placebos. En fait, on parle de 97 % des médecins britanniques qui auraient déjà prescrit des placebos en guise de médication, un phénomène qui ne se limiterait pas qu’à la Grande-Bretagne.

Ces statistiques sont plutôt révélatrices d’un comportement qui semble fréquent partout dans le monde, ce qui surprend les chercheurs d’Oxford en tête de l’étude.

Les praticiens interrogés croient d’ailleurs que dans plusieurs cas, les placebos peuvent réellement « fonctionner », même s’ils ne contiennent aucun agent actif.

Cependant, plusieurs crient au scandale et au manque d’éthique de la part des professionnels de la santé, puisqu’un patient en quête d’aide veut recevoir un traitement viable, et non une illusion.

Les autres études sur le sujet démontrent cependant que ce comportement est basé sur de la bonne foi, puisque les médecins utilisent le stratagème rarement, et dans le but réel d’aider les patients.

L’effet placebo est de plus reconnu comme un principe psychologique réel. Par contre, il ne fonctionne que dans l’ignorance du patient. Les études répétées sur le sujet pourraient bien mettre un terme à ce stratagème médical…

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Nouveau traitement thérapeutique : la gratitude

C’est tout un constat auquel arrivent plusieurs chercheurs et spécialistes, rapporte le site web officiel de la fameuse Clinique Mayo, alors que l’on croit pouvoir confirmer les bienfaits thérapeutiques de la gratitude.

Oui! Le simple fait d’être content ou reconnaissant des choses que l’on obtient ou qui nous arrivent pourrait bien avoir un impact sur notre santé physique et mentale.

En fait, on croit que cette action, ou cette réaction, permet entre autres d’améliorer l’humeur et la compassion envers les autres, en plus d’optimiser l’énergie vitale et le système immunitaire. On noterait aussi une plus grande résilience chez les gens empreints de gratitude.

« Sans la gratitude, le bonheur est impossible », s’avance même à dire le Dr Amit Sood, directeur des recherches à la Clinique Mayo.

Ce dernier suggère par ailleurs de commencer à rédiger vos émotions de gratitude dans un journal, si vous avez du mal à l’exprimer autrement. Toutes les façons sont bonnes de traduire cette émotion, qui serait une véritable clé vers une meilleure santé générale et un meilleur équilibre émotionnel.