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Nouvel espoir de traitement du syndrome post-traumatique

Le syndrome post-traumatique et ses dérivés font l’objet de beaucoup d’études et de recherches, alors que de plus en de plus gens souffrent de ce problème psychologique.

Voilà qu’un nouveau traitement pourrait être accessible, rapporte Top Santé. Il s’agit d’un médicament qui chasserait les mauvais souvenirs, une solution qui semble trop facile, mais qui s’avère bien réelle.

Ce sont des chercheurs du laboratoire de stress traumatique basé à Toulouse qui ont développé la « pilule magique », qui doit maintenant entamer une phase d’essais cliniques plus poussés.

Le traitement a déjà été testé sur des patients, notamment dans plusieurs grandes villes du monde comme Boston, Montréal et, bien sûr, Toulouse.

« Avec une séance de traitement au propranolol, on avait montré une diminution de la réactivité physiologique aux souvenirs (transpiration, activité cardiaque…). C’était une première piste, un coup de génie », s’enorgueillit Philippe Birmes, directeur du laboratoire de Toulouse.

On attend avec impatience la suite des choses concernant le propranolol, qui promet une « guérison » en six séances seulement!

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L’effet préventif de la vitamine E sur le cancer

Plusieurs études laissaient penser que la vitamine E pouvait avoir des vertus préventives contre le cancer, mais cette récente recherche rapportée par Medical News Today tend à le démontrer de façon claire.

Si les résultats semblaient probants sur les animaux, les essais cliniques subséquents sur les humains n’ont malheureusement pas été couronnés d’autant de succès jusqu’ici.

Voilà toutefois que des chercheurs new-yorkais ont réussi à établir un lien entre les effets de la vitamine E sur le cancer de la prostate, plus particulièrement sur l’activation d’une enzyme responsable du développement des tumeurs. En coupant le processus d’activation, la vitamine E permet de « tuer » les cellules cancéreuses, ni plus ni moins.

« C’est la première démonstration d’un mécanisme unique qui permet à la vitamine E d’offrir des bénéfices en terme de prévention et de traitement du cancer », explique l’auteur principal de ces recherches, Ching-Shih Chen.

Chen poursuit en rappelant que les suppléments de vitamine E vendus en magasin ne permettent pas de reproduire ce phénomène, et que son équipe et lui aimeraient créer une pilule qui, en dose quotidienne, préviendrait le cancer.

Plusieurs tests et expérimentations sont encore à prévoir, mais il s’agit d’une autre belle nouvelle en matière de traitement et de prévention du cancer.

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Les abeilles pourraient contribuer à un traitement contre le VIH

Les abeilles sont fascinantes et primordiales au bien-être de l’homme ainsi qu’à sa survie, bien qu’on ne les voit pas toujours à l’œuvre.

En plus d’assurer le bon fonctionnement de l’écosystème et des êtres qui l’habitent, Top Santé rapporte que les abeilles pourraient maintenant ajouter une autre corde à leur arc et contribuer à un nouveau type de traitement contre le VIH.

Selon des chercheurs américains, le venin d’abeille renferme une toxine capable de pénétrer l’enveloppe protectrice du virus, et même de le détruire.

Associée à des nanoparticules, une idée de l’équipe de chercheurs en provenance de Washington, la toxine atteint son but.

C’est du moins ce qui ressort des tests en laboratoire jusqu’à maintenant, ce qui rend les scientifiques fort optimistes.

« Nous nous attaquons à une propriété inhérente au VIH. Théoriquement, il n’y a pas moyen pour le virus de s’adapter à cela. Le virus a besoin d’un revêtement protecteur, une membrane à double couche qui le recouvre », résume le Dr Joshua Hood.

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Les antipsychotiques peu efficaces contre la dépression

The National Library of Medicine rapporte une étude qui dément les propriétés thérapeutiques des antipsychotiques chez les patients atteints de dépression.

On croyait, à tort semble-t-il, que ces médicaments pourraient venir en aide aux patients dépressifs lorsque les antidépresseurs connus n’ont aucun effet.

Or, selon les chercheurs de la Metropolitan State University, de St. Paul au Minnesota, il n’en est rien. Pour eux, les améliorations notables sont bien trop minimes en comparaison des divers effets secondaires possibles, ce qui rend la manœuvre inutile.

« Les preuves supportant la prise d’antipsychotiques dans des cas de dépression sont marginales. D’autres options pourraient s’avérer aussi efficaces, ou plus efficaces, sans le bagage d’effets secondaires », explique le chercheur Glen Spielman.

Les effets secondaires avancés pourraient se matérialiser sous la forme de fatigue, de somnolence, de gain de poids et d’une hausse des taux de cholestérol, entre autres.

De plus, les chercheurs du Minnesota s’inquiètent de voir les autorités de la santé américaines minimiser, ou carrément cacher, les résultats de ces tests sur le sujet. Ils tiennent à rétablir la vérité et à protéger les patients contre des traitements inutiles et risqués.

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Un traitement expérimental pourrait réduire les dommages subis par le coeur

Un nouveau traitement fort prometteur est au stade expérimental à Montréal, une méthode qui pourrait réduire jusqu’à 20 % les dommages subis par le coeur à la suite d’un accident cardiovasculaire ou d’une angioplastie.

C’est dans notre cour que se produit cette avancée, puisque les travaux sont réalisés par une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal, rapporte Santé Log.

Les chercheurs montréalais dévoilaient leurs conclusions dans un rapport présenté le 10 mars dernier, lors de la 62e édition de la réunion scientifique annuelle de l’American College of Cardiology (San Francisco).

« Ce médicament, l’inclacumab, pourrait bien devenir partie intégrante de l’arsenal thérapeutique de la cardiologie moderne si nous confirmons nos résultats dans les prochaines études », explique le Dr Jean-Claude Tardif, directeur au Centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal.

Il avance également que le traitement pourrait servir à une grande portion de patients, en prévention des maladies cardiaques et des ACV.

On attend donc avec impatience les prochaines conclusions du Dr Tardif et de son équipe.

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Conserver sa jeunesse grâce à une pilule ne relèverait plus de la fiction

C’est une nouvelle étonnante que celle rapportée par Top Santé, voulant que des chercheurs aient mis au point un nouveau traitement anti-âge qui semble sortir tout droit d’un livre de science-fiction.

En effet, la « pilule de jouvence » serait bel et bien sur le point d’être proposée par une équipe de chercheurs australiens, qui présentent leurs récentes découvertes dans une étude.

Cette dernière, publiée dans la revue Science, explique qu’une enzyme aux propriétés anti-âge, la SIRT1, a été testée et serait en mesure de ralentir les effets du vieillissement, mais aussi de prévenir certaines maladies et d’assurer une plus grande longévité.

On apprend aussi que cette enzyme est naturellement produite chez l’humain grâce, notamment, à l’exercice physique et un bon régime alimentaire.

« … le principe de ces médicaments n’est pas de traiter une maladie en particulier, mais de pouvoir en prévenir une vingtaine », lance avec optimisme le professeur David Sinclair de Harvard.

Une bien bonne nouvelle qui pourrait se traduire par l’apparition d’une pilule « magique » anti-âge sur le marché d’ici les cinq prochaines années.

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Un nouveau traitement contre le syndrome post-traumatique pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une excellente nouvelle dans le dossier du syndrome post-traumatique, qui commence enfin à jouir de la visibilité médiatique qu’il mérite.

En effet, il s’agit d’un véritable fléau pour une panoplie de gens, les plus connus étant bien sûr les soldats de retour d’Afghanistan et d’Irak, les deux dernières guerres auxquelles ont participé le Canada et les États-Unis.

Depuis le retour des premiers soldats, on constate que presque tous les combattants se retrouvent aux prises avec des problèmes reliés au syndrome post-traumatique, à grande ou à moindre échelle.

Il est donc primordial de sensibiliser les gens à la cause et de trouver des traitements adéquats. On parle justement ici de la rapamycine, un médicament, et de ses effets bienfaiteurs sur l’organisme grâce à une réduction du stress et de la peur.

Agissant par l’inhibition de certaines protéines, le traitement permet de constater des résultats prometteurs. C’est ce que croient les chercheurs de l’Université McGill, qui publient leurs résultats dans l’édition du mois de mars des Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS).

Le professeur Karim Nader et son équipe ont bel et bien confirmé les effets de la rapamycine. Ils croient qu’une porte vient de s’ouvrir sur de meilleurs traitements contre le syndrome post-traumatique.

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La vitamine B pourrait aider certains patients atteints de schizophrénie

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui laissent croire à la possibilité que la vitamine B puisse venir en aide à certains types de patients schizophrènes.

Malheureusement, ce ne serait pas un constat qui s’applique à tous et toutes. Le patient qui pourrait bénéficier de suppléments de vitamine B dans le cadre de son traitement est celui qui démontre des prédispositions génétiques préalables.

Car ne réagit pas qui veut à la vitamine B, révèlent les chercheurs du Massachusetts General Hospital.

« Il s’agit d’un gène qui contrôle la digestion de l’acide folique dans le sang », déclare le Dr Joshua Roffman, auteur principal de l’étude.

Il précise également que les changements observés chez les patients après avoir reçu des doses de vitamines B sont minimes, mais bien perceptibles, donc réels.

Roffman termine en indiquant que même si la publication est une recherche partielle, elle n’en demeure pas moins fort importante dans la quête de soins pour les patients atteints de schizophrénie.

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Moins manger grâce à un nouveau type d’intervention

The National Library of Medicine rapporte qu’une nouvelle technique développée dans le cadre de la lutte à l’obésité permettrait à certaines personnes de manger moins ou d’avoir moins faim, selon les conclusions des chercheurs de la New York Cardiovascular Research basés à New York.

Il s’agit d’une intervention peu invasive, mais qui aurait déjà fait ses preuves lors des premiers essais cliniques. Cinq patients ont pour l’instant testé l’opération, et ils ont en grande majorité perdu du poids, parfois jusqu’à 45 livres.

La technique propose de bloquer une artère située dans l’estomac, empêchant ainsi un certain apport sanguin vers l’organe, un processus qui produit une hormone que l’on dit « responsable » de la faim.

Moins de sensation de faim, donc, pour les patients qui subiraient l’intervention et qui pourraient ainsi avoir un meilleur contrôle sur ce qu’ils mangent.

Présenté lors du congrès annuel de l’American College of Cardiology, ce rapport soulève l’optimisme de plusieurs chercheurs, mais il faudra attendre des tests plus poussés pour parler d’une véritable percée.

« Si des études plus larges et aléatoires démontrent des résultats similaires, ceci pourrait s’avérer une méthode alternative simple à la chirurgie de l’estomac que l’on connait en ce moment. »

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Une technique extrême pour soigner l’anorexie

On apprend via La Presse qu’une nouvelle méthode pour traiter l’anorexie pourrait faire son apparition. Le problème est que la technique est invasive et assez extrême, mais les spécialistes croient qu’il s’agit d’une excellente solution, qui mérite d’être étudiée.

On parle donc d’implantation d’électrodes dans le cerveau, une phrase qui suffit à faire frémir. Cependant, pour les gens aux prises avec un trouble alimentaire comme l’anorexie grave (et incurable), il pourrait s’agir d’une avenue vers la guérison.

Les chercheurs, qui publiaient les résultats de leurs recherches sur le sujet dans le journal médical Lancet, croient que la technique est tout à fait réalisable et pourrait en effet soigner des gens qui souffrent d’anorexie.

Pour arriver à ce constat, les chercheurs nord-américains ont tenté l’expérience sur six patientes de 24 à 57 ans, et trois sont parvenues à dompter la maladie.

« Cette amélioration de l’humeur et de l’anxiété chez des patientes affichant un poids insuffisant est particulièrement frappante, alors que ces malades répondent généralement mal aux thérapies médicamenteuses ou aux psychothérapies », résume le Dr Andres Lozano, qui coordonnait l’étude.