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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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Les oméga-3 ne préviendraient pas la fibrillation auriculaire

Plusieurs études et recherches ont suggéré dans le passé que les oméga-3 étaient bénéfiques pour contrer les effets de la fibrillation auriculaire, ou atriale, une condition qui se définit par des battements irréguliers du cœur.

La plus récente étude sur le sujet, rapportée par www.nlm.nih.gov, suggère qu’il n’en est rien. À tout le moins, si les oméga-3 ont un effet sur cette condition, il serait minime, selon les chercheurs.

« Il n’y a aucun rôle de prévention joué par les oméga-3 en ce qui concerne la fibrillation auriculaire. Les patients qui souffrent de cette condition n’obtiennent pas de résultats grâce aux oméga-3. Par contre, il est possible que ceux-ci puissent aider à la prévention, mais la preuve est loin d’être faite », lance un Dr Alejandro Macchia convaincu.

Ce dernier est responsable de l’étude et voit d’un mauvais œil que l’on attribue aveuglément des propriétés aux oméga-3.

Les problèmes de fibrillation auriculaire sont plus communs qu’on pourrait le croire et peuvent mener à de sérieux problèmes de santé, voire la mort, en plus d’être très coûteux aux systèmes de santé dans le monde.

Les chercheurs indiquent cependant que la prise d’oméga-3 ne peut nuire aux gens qui souffrent de cette condition, et que ceux-ci possèdent réellement de belles qualités pour la santé cardiaque.

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Les médicaments contre l’anxiété encore blâmés

On le sait, mais on ne le répètera jamais assez : si les médicaments contre la dépression et l’anxiété peuvent fonctionner et apporter une solution temporaire, il ne faut pas en abuser.

Il faut aussi mettre fin au traitement tôt ou tard, et plus tôt que tard sera certainement une bonne option.

Deux nouvelles études sur le sujet viennent de paraître et mènent à des recommandations que reprend Topsante.com.

Selon Bernard Bégaud, auteur en chef de l’étude, il y a d’abord un risque accru et vérifiable de démence chez les gens de 65 ans et plus qui utilisent ce genre de traitements.

Et ces « traitements » visés sont particulièrement ceux de benzodiazépines, prescrits pour traiter les troubles d’anxiété.

Selon les spécialistes questionnés, cette récente conclusion s’ajoute à la liste des autres risques observables en ce qui concerne les traitements par benzodiazépines.

On rappelle également que ces méthodes de traitement ne devraient être prescrites que lorsque d’autres méthodes ont échoué, notamment la thérapie.

De plus, les traitements de benzodiazépines peuvent créer une forte dépendance, laissant le patient aux prises avec un problème plus lourd qu’avant le traitement.

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

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Le bacoflène serait bel et bien efficace pour contrer l’alcoolisme

On vous parlait récemment de l’optimisme des spécialistes concernant le bacoflène, un médicament qui pourrait bien s’avérer un précieux allié dans le traitement de l’alcoolisme.

Voilà que l’on confirme ses propriétés, selon topsante.com, alors que des chercheurs français viennent de publier une étude sur le sujet.

Originalement, le bacoflène est un traitement neurologique utilisé dans certains cas, mais on lui a découvert récemment des propriétés qui faisaient croire aux spécialistes qu’il pourrait aussi servir de traitement contre l’alcoolisme.

Depuis, on a testé cette théorie sur une centaine de patients du Groupe Hospitalier Paul-Guiraud, tous diagnostiqués avec des problèmes de dépendance liés à l’alcool.

Les conclusions sont faciles à tirer pour les chercheurs : le bacoflène fonctionne vraiment.

Pratiquement tous les patients ont vu leur consommation d’alcool baisser, et « l’envie de boire » serait bel et bien moins envahissante.

Cependant, on note certains effets secondaires possibles. De la somnolence, des vertiges, des hallucinations, des nausées, de l’hypotension, de l’énurésie et des réactions dépressives sont tous des symptômes qui ont pu être observés chez les patients sous bacoflène.

Ceux-ci ne seraient cependant pas observables de façon systématique.

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Percée importante dans la lutte au VIH en France

Santelog.com rapporte de bonnes nouvelles concernant la lutte au VIH, du côté de la France. Une équipe de chercheurs français aurait en effet réussi à « bloquer » le virus par un gel microbicide, ce qui s’avère une découverte remarquable.

Si le procédé n’a été testé que sur des primates pour l’instant, les spécialistes ont bon espoir de pouvoir recréer le modèle sur des humains lors d’éventuels essais cliniques.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans la plus récente édition du magazine PLoS Pathogens, qui parle d’une « étape prometteuse » dans la lutte au VIH.

Il semble que l’idée d’un gel virucide pour contrer le VIH soit sur la table depuis longtemps, la communauté scientifique mondiale croyant fermement que cette avenue peut s’avérer prometteuse.

C’est le CEA français qui est à l’origine de la percée, mais il faut mentionner que les travaux s’effectuent en collaboration avec plusieurs autres équipes de chercheurs réputées, dont celles de l’Imperial College (Londres), de l’Institute of Tropical Medicine, et de l’Université d’Antwerp (Belgique).

Les essais cliniques chez l’homme devraient commencer sous peu, et un vent d’optimisme se fait sentir dans ce dossier fort important.

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Au-delà des antidépresseurs : l’importance de la thérapie

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, conclut que les patients qui souffrent de dépression auraient avantage à allier leur traitement à des séances de thérapie.

C’est que dans plusieurs cas, les antidépresseurs ne font pas, ou peu, le travail. Tout cela laisse le patient dans un sentiment d’impuissance face à son état, ce qui peut aggraver la situation.

Des chercheurs britanniques tiennent donc à rappeler l’importance d’un bon suivi de la part d’un spécialiste en santé mentale dans les cas de dépressions.

L’étude parle même d’une augmentation des chances de rémission jusqu’à trois fois plus élevée que pour ceux qui n’utilisent que les antidépresseurs.

Nicola Wiles, de l’Université Bristol, commente l’étude : « Lorsque les gens reçoivent un diagnostic de dépression et qu’ils ne réagissent pas aux médicaments et antidépresseurs, la thérapie cognitive et psychologique permet de voir leurs symptômes diminuer de façon significative. La qualité de vie est grandement améliorée grâce à la thérapie ».

« Malheureusement, les spécialistes et les accès à ce genre de thérapie se font rares dans certains pays, dont le nôtre (Angleterre). Trop de pays n’offrent pas ce genre de service et laissent donc en plan les gens dépressifs qui ne ressentent pas les effets des antidépresseurs. »

On suggère de discuter avec votre médecin avant la prise d’antidépresseurs, afin de voir les possibilités de consultation offertes.

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.