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Une avancée prometteuse concernant le virus de la grippe

Le virus de la grippe, l’influenza, n’est peut-être pas mortel dans la grande majorité des cas, mais il en importunera plus d’un encore cet hiver.

Pour contrer le phénomène, les recherches et études sur le sujet sont nombreuses. Une toute récente étude parle d’ailleurs d’une avancée majeure, selon ce qu’annonce Santelog.com.

C’est que des chercheurs du Scripps Research Institute (IRST) auraient réussi à cerner le processus de réplication de l’influenza. Ils concluent que lorsque le virus se multiplie, il perd également des forces. Il serait donc plus vulnérable chaque fois qu’il se duplique.

Le professeur Ian A. Wilson, de l’IRST, se dit fort excité d’avoir réussi à recréer avec son équipe ce qui serait le modèle le plus réaliste et précis du virus de la grippe jusqu’à maintenant.

Ces travaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de l’influenza ainsi que ses méthodes de duplication. En isolant les points faibles de la structure du virus, les chercheurs croient qu’il sera bientôt possible d’offrir de meilleurs traitements contre l’ennemi hivernal numéro un.

Les résultats de ces recherches ont été publiés récemment dans la revue spécialisée Science.

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Des nouvelles encourageantes pour les asthmatiques

LeDevoir.com rapporte des nouvelles encourageantes pour les asthmatiques, à la suite du Congrès Québécois de Recherche en Santé Respiratoire qui se tenait à Montréal récemment.

L’événement a dévoilé certaines percées concernant l’asthme et les moyens pour en contrôler les effets. Les pneumologues et autres spécialistes auraient révisé un peu leurs méthodes, tout en ajoutant de nouvelles façons de faire.

Le Dr Louis-Philippe Boulet, de l’Institut Universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec, explique : « On s’est rendu compte qu’en mesurant la concentration de certains médiateurs de l’inflammation dans les sécrétions bronchiques, ou dans l’air expiré des patients, on pouvait mieux évaluer l’intensité de l’inflammation des bronches, et par conséquent savoir si le patient adhère bien à son traitement ou s’il est nécessaire de le réajuster ».

Et c’est d’ailleurs à ce sujet que les nouvelles sont bonnes, soit celui des traitements, mais surtout en matière de suivi. On pourra désormais mieux définir si un patient réagit bien ou non à un type de traitement donné.

On se réjouit également de la montée des pratiques non invasives sur les patients. Le Dr Boulet en rajoute en affirmant que de nouveaux traitements modernes seront bientôt proposés, comme des médicaments à effet prolongé.

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Un médicament efficace contre le cancer du cerveau

TopSanté rapporte que des chercheurs ont découvert de nouvelles propriétés encourageantes à un médicament déjà connu par les spécialistes en oncologie à travers le monde.

Pour nous, l’Avastin n’est pas si familier, mais il pourrait s’agir d’un nom à retenir. Produit par l’industrie Roche (au cœur d’un possible scandale concernant le Tamiflu, cet antidote contre la grippe), le médicament avait déjà démontré de belles qualités dans le traitement de plusieurs cancers, dont celui du poumon, du sein et colorectal.

Cette fois, les chercheurs croient que l’Avastin pourrait être efficace également contre un type de cancer du cerveau très agressif. Les cas de glioblastomes sont dévastateurs, et les médecins espèrent pouvoir utiliser le médicament pour des cas similaires.

Combiné à la chimiothérapie et à la radiothérapie, l’Avastin permettrait d’abaisser les risques de mortalité de 36 %, selon les chercheurs, par rapport à groupe-test qui n’a subi que de la chimiothérapie (et placebo).

Le taux de survie global passerait ainsi à 72 %, ce qui est encourageant.

Les résultats finaux de ces études seront présentés en 2013, au congrès annuel de la Société de neuro-oncologie qui se déroule à Washington.

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La prévention est-elle surestimée par la population?

Une nouvelle étude, sous la forme d’un sondage, prétend que la prévention pourrait bien sauver moins de vie que ce que pense la population en général.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que les chercheurs à la tête de ce sondage affirment que les résultats sont clairs : les gens surestiment le pouvoir de la prévention.

C’est que selon ces spécialistes de la Nouvelle-Zélande, les gens ignorent les statistiques réelles à ce sujet.

Annette O’Connor, de l’Université d’Ottawa, abonde dans le même sens en déclarant : « La plupart des gens vont surestimer les bénéfices de la prévention, simplement parce qu’ils sont conscientisés de l’impact de celle-ci, mais sans connaître les chiffres réels. Alors, pourquoi croiraient-ils que ceux-ci pourraient être très bas? Les praticiens et spécialistes se gardent souvent de dévoiler les statistiques ou les bienfaits réels d’un test qu’ils soumettent à leurs patients ».

Les participants à l’étude ont semblé en effet surpris lorsqu’on leur a dévoilé les chiffres réels concernant la prévention et ses effets.

Les chercheurs affirment qu’une meilleure information permet aux patients de prendre des décisions plus éclairées, que ce soit pour le choix d’un traitement ou d’un moyen de prévention.

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Les antibiotiques, pas toujours la meilleure solution?

www.cdc.gov nous fait réfléchir au choix de traitement concernant certains virus et maladies, insistant sur le fait que les antibiotiques ne sont pas toujours la meilleure solution.

D’entrée de jeu, on nous rappelle que les antibiotiques ne combattent pas réellement les infections causées par les virus comme celui de la grippe. Même chose pour les problèmes de gorges irritées et certaines infections de l’oreille.

De plus, le traitement déficient par antibiotiques peut mener à d’autres problèmes, plus graves cette fois. Il est aussi possible de développer une résistance à ce type de médicament et ainsi nuire à un traitement éventuel dont vous auriez réellement besoin.

Le centre de santé américain propose plutôt de se concentrer à réduire et calmer les symptômes que de tenter d’enrayer un virus par des antibiotiques.

Bien sûr, l’arrivée de l’hiver procurera grippes et rhumes en série aux citoyens des États plus nordiques d’Amérique, mais les spécialistes veulent mettre en garde contre la tentation d’aller vers les antibiotiques, une solution expéditive.

L’avertissement vaut pour les médecins et praticiens qui, selon l’organisme, n’hésitent pas à prescrire de tels traitements, parfois à tort.

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Les hommes pourraient aussi bénéficier des traitements contre l’ostéoporose

Les hommes plus âgés qui sont à risque de fractures ou de développer des problèmes aux os pourraient bien tirer profit des mêmes médicaments contre l’ostéoporose prescrits généralement aux femmes.

C’est ce qu’avance une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ces traitements, appelés les bisphosphonates, permettent de renforcer la solidité des os, en créant de la masse osseuse. Plusieurs hommes ont déjà testé ce genre de traitement, et plusieurs en ont vu les bénéfices, notamment pour les os du dos.

Le Dr Robert Recker déclare : « Les problèmes et les risques de fractures ne disparaissent pas parce que vous êtes un homme. Nous avons complètement ignoré ce problème chez les hommes. La moitié des femmes au-dessus de 40 ans vont subir au moins une fracture liée à l’ostéoporose dans leur vie, mais aussi le quart des hommes. C’est un problème substantiel et réel ».

Toujours selon le praticien, qui n’a pas participé à l’étude en question, il existe plusieurs moyens de soulager ces problèmes chez les hommes, tout comme chez les femmes.

« Les bisphosphonates en sont un », assure-t-il.

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Une bactérie du lait au secours des gens qui souffrent de problèmes intestinaux

Plusieurs personnes souffrent de problèmes intestinaux, ce qui peut rendre la digestion plus qu’inconfortable, ou encore mener à des maladies plus graves comme celle de Crohn.

Un traitement efficace est peut-être en train de voir le jour, et il apparaîtrait sous la forme primaire d’une bactérie contenue dans le lait. C’est du moins ce que rapporte santelog.com, qui rapporte une étude effectuée par des chercheurs du CNRS.

Ces derniers, des Français, ont reproduit artificiellement une bactérie qui permettrait de soulager tous ceux aux prises avec ce genre de problèmes. L’ayant baptisée « bactérie bénéfique » aux fins de vulgarisation, les spécialistes sont optimistes de développer des traitements à la suite de cette création.

L’élément important de ces recherches est l’élafine, une protéine capable de soulager ou de guérir les maux intestinaux, mais encore fallait-il trouver le moyen de l’injecter directement dans l’intestin. L’équipe de chercheurs de Toulouse a donc recréé artificiellement la protéine, à partir de bactéries modifiées, pour l’associer au lait, simplement.

Les tests sur des souris ont démontré que le système fonctionne. L’avenir s’annonce donc prometteur dans la lutte aux troubles intestinaux, ainsi que contre la maladie de Crohn.

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Le catalogue des données sur les variations génétiques double ses données

Si vous l’ignoriez, sachez que la communauté scientifique mondiale a créé un catalogue des données sur les variations génétiques. Celui-ci permet aux chercheurs qui luttent contre diverses maladies à travers le monde de compiler des données génétiques et leurs variations, afin d’expliquer et d’enrayer les risques de développer des maladies graves.

Cet outil fort utile et prometteur vient de doubler ses données grâce au Projet 1000 Génomes (1000 Genomes Project), qui vient de faire paraître sa plus récente publication, rapporte www.nih.gov.

Le but du projet est de compiler différentes variantes dans le génome humain, qui se produisent chez au moins 1 humain sur 50. Même si certaines, voire la plupart, de ces variations n’ont pas d’incidence réelle, certaines sont bel et bien complices de la formation de quelques maladies graves connues, comme le VIH, par exemple.

Le projet et le catalogue sont prometteurs dans la poursuite de traitements contre certains des plus grands fléaux.

Le Dr Eric Green, directeur du National Human Genome Research Institute, explique : « Ce projet est un effort international grandiose pour cerner les variations génétiques humaines enregistrées partout dans le monde. Ces nouvelles publications permettent de mieux comprendre ces phénomènes et les dynamiques de certains génomes, cruciaux dans la quête de traitements ».