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Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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La médication pour le cholestérol fonctionne

Il appert que les nouveaux médicaments qui contrôlent le taux de cholestérol dans le sang fonctionnent bien, selon les statistiques récentes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plusieurs patients (près de 38 000) et, en faisant une moyenne, ont calculé les variations enregistrées entre 1988 et 2010.

Les résultats sont clairs et encourageants : les niveaux de mauvais cholestérol sont en baisse, du moins aux États-Unis. On peut déduire qu’il s’agit de statistiques similaires au Canada, puisque les traitements sont sensiblement les mêmes.

Ainsi, la moyenne des taux de cholestérol a chuté de dix points, passant de 206 à 196. Plus précisément, la moyenne du taux LDL (mauvais cholestérol) est passée de 129 à 116.

Ces chiffres permettent aux chercheurs d’affirmer, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, que la médication moderne prescrite aux gens qui ont des problèmes de ce type fonctionne, et bien.

Étonnamment, on suggère aussi que de diminuer sa consommation de cigarettes par jour peut contribuer à améliorer son taux de cholestérol dans le sang. Éliminer les gras trans et autres aliments nocifs peut également jouer un rôle déterminant.

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L’exercice diminue les symptômes de TDAH

Les résultats de cette récente étude, la première qui incorpore l’activité physique comme traitement, sont publiés dans le Journal of Pediatrics. La recherche a été menée par une équipe d’experts à la Michigan State University.

Le principe est simple et même logique. Parmi un groupe de 40 enfants âgés de 8 à 10 ans, la moitié souffrait de TDAH. Après une série rapide d’exercices d’une durée de 20 minutes, ils étaient tous soumis à un petit test informatique, puis à un autre de mathématique.

Dans 100 % des cas, les enfants ont démontré une amélioration de la concentration et du résultat des tests. Ainsi, les chercheurs sont catégoriques. Les programmes scolaires ne cessent de diminuer les heures d’activité physique. Pour la santé et le comportement des enfants, il faudrait fournir le budget aux écoles pour réintégrer ce manque d’exercice.

Le chercheur principal, Matthew Pontifex, professeur adjoint en kinésiologie, explique : « Ces résultats sont l’évidence même que l’exercice est un outil non pharmaceutique important dans le traitement du TDAH. Ainsi, peut-être qu’à l’avenir, ce sera notre première recommandation pour diminuer les symptômes de ce trouble comportemental ».

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Un traitement contre l’épilepsie pour perdre du poids?

Un médicament, le zonisamide, vendu sous ordonnance et développé originalement pour traiter l’épilepsie, pourrait venir en aide aux gens qui désirent perdre du poids, affirment des chercheurs dans des propos rapportés par www.nlm.nih.gov.

Bien entendu, comme les solutions miracles n’existent pas vraiment en matière de lutte à l’obésité, cette médication devra être accompagnée d’un suivi par un spécialiste et d’une nutrition attentionnée.

Tout de même, des patients qui ont absorbé 400 milligrammes de zonisamide quotidiennement pendant un an ont perdu jusqu’à 7,5 livres, ce qui est au-dessus des moyennes enregistrées sur des patients qui ne comptaient que sur un régime et un programme d’exercices.

En contrepartie, certains effets secondaires ont été observés.

Le Dr Kishore Gadde, directeur de l’Obesity Clinical Trials Program du Duke University Medical Center à Durham, en Caroline du Nord, explique : « L’idée était de voir si l’on pouvait retrancher plus de poids si l’on associait un nouveau style de vie à ce médicament. Et la réponse est oui ».

Voilà une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des problèmes de poids qui voient leurs options non chirurgicales se limiter à très peu de choses.

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Traitement prometteur pour éliminer l’eczéma infantile

Selon medicalnewstoday.com, dans l’édition du mois d’octobre de la revue Immunity, des chercheurs ont rapporté les résultats probants d’une étude effectuée sur des souris atteintes d’eczéma.

Les médecins et auteurs de la recherche, Dr Raif Geha et Dr Michiko Oyoshi de l’Hôpital pour enfants de Boston, ont réalisé qu’il est possible non seulement de stopper la progression de la maladie, mais aussi de la supprimer totalement.

L’eczéma en appelle aux cellules immunes « T ». Elles envahissent la peau et sécrètent des facteurs qui conduisent à une réponse allergique, ce qui crée la démangeaison. Le fait de gratter l’endroit touché accentue malheureusement le problème, puisque cela attire une autre sorte de cellules, les neutrophiles, qui sécrètent à leur tour un gras appelé leukotriène B4.

L’eczéma n’est ni plus ni moins qu’un cercle vicieux. Plus on se gratte, et plus les neutrophiles se ruent sur l’inflammation. Après avoir démontré ce processus, les chercheurs ont réalisé qu’il suffisait peut-être de bloquer l’apparition du leukotriène B4.

Sur les souris, un médicament conçu à cet effet a donné des résultats rapides et efficaces. « Nos découvertes suggèrent que les neutrophiles jouent un rôle majeur dans l’inflammation de la peau, et en bloquant le leukotriène B4 et ses récepteurs, il se peut que l’on ait découvert un nouveau traitement pour l’eczéma », a déclaré le Dr Michiko Oyoshi.

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Découvertes génétiques concernant le Parkinson

La maladie de Parkinson, on le sait, est l’une des plus terrifiantes et dévastatrices. Beaucoup d’argent, de ressources et de mains-d’œuvre sont mis à contribution afin d’en venir à bout, partout dans le monde.

C’est le cas de l’Université de Boston, où des chercheurs travaillant sur ce dossier viennent de publier une étude concernant l’identification de nouveaux variants génétiques associés à la maladie.

Jeanne Latourelle, professeure adjointe de neurologie à l’Université de Boston et coauteure de l’étude avec le Pr Richard H. Myers, explique, dans des propos rapportés par Santelog.com, que des variations dans l’expression de gènes spécifiques dans les risques de développer cette maladie ont été observées.

Ainsi, on pourrait bientôt améliorer les traitements que reçoivent les patients qui souffrent de la maladie de Parkinson. Les médicaments pourraient être mieux adaptés et utilisés, permettant ainsi de voir des résultats concrets sur les patients.

La prochaine étape sera donc de tester ces nouvelles applications sur des modèles d’animaux ou sur des lignées cellulaires, et ainsi déterminer les façons d’améliorer les traitements.

Un brin d’optimisme pour ceux qui souffrent de Parkinson et leurs proches, qui en ont certainement grand besoin.

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Des traitements individualisés pour le diabète

Les Associations américaine et européenne du diabète proposent de nouvelles idées dans les traitements que reçoivent les gens atteints de diabète, selon nlm.nih.gov.

En effet, les spécialistes pensent de plus en plus qu’il serait préférable que les patients participent au développement de la stratégie des traitements qui leur sont offerts.

Ainsi, les gens atteints de diabète (de type 2, par exemple) pourraient obtenir des soins individualisés, plus précis, qui répondraient mieux aux caractéristiques de chacun.

La nouvelle position des chercheurs est claire : les patients doivent participer. Les choix de traitement peuvent varier selon les besoins, les buts fixés (pour le contrôle du sucre dans le sang, entre autres) et les préférences des patients. Les avis des médecins peuvent également varier.

Voilà autant de facteurs qui peuvent influencer plusieurs décisions importantes dans la manière de traiter un cas de diabète. Les spécialistes croient que le patient est le mieux placé pour savoir quels genres d’exercices physiques il souhaite accomplir, ainsi que le type de régime alimentaire qui lui plaît le plus.

Les types de médication peuvent également varier selon la marque, un autre élément important que le patient devrait savoir afin d’être en mesure de choisir.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.