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La FDA approuve un nouveau traitement contre l’obésité

L’Agence américaine des médicaments (FDA) vient d’approuver la commercialisation du médicament Lorcaserin des laboratoires Arena Pharmaceuticals pour traiter l’obésité.
 
C’est la première fois en plus de 13 ans que la FDA donne son approbation à la mise en marché d’un traitement anti-obésité.
 
Un comité d’experts indépendant avait recommandé ce traitement. Pourtant en 2010, ce même comité s’y était opposé, car on s’inquiétait du développement du cancer du sein sur des rats.
 
Ce traitement sera destiné aux personnes dont l’indice de masse corporelle est de 30 ou plus, ou encore de 27, mais avec une maladie liée au poids, comme l’hypertension ou le diabète de type 2.
 
« L’obésité menace le bien-être des patients et constitue une inquiétude majeure de santé publique. L’approbation de ce traitement, utilisé de façon responsable et combiné à un régime alimentaire et à un mode de vie sains, offre une option de traitement aux Américains qui sont obèses ou en surpoids et souffrant d’au moins une pathologie liée à leur excès poids », déclare la Dre Janet Woodcock, directrice du Centre d’évaluation des médicaments de la FDA, par voie de communiqué.
 
Lors des essais cliniques, les personnes avaient perdu en moyenne de 3 à 3,7 % de leur poids en un an.
 
Parmi les effets secondaires déclarés du Lorcaserin, on mentionne des maux de tête, des nausées, des étourdissements et de la fatigue.
 
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Une nouvelle approche thérapeutique face au cancer

Les scientifiques travaillent constamment à chercher des traitements contre le cancer qui seraient non seulement efficaces, mais offriraient aussi moins d’effets secondaires.
 
Des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco ainsi que du Mont-Sinaï travaillent sur une nouvelle approche multi-cibles, la polypharmacologie, qui ciblerait plusieurs molécules spéciales afin de perturber le processus de la maladie.
 
Cela consiste à trouver les balles intelligentes ou les produits chimiques qui attaquent un gène ou une protéine spécifique impliqué dans le développement du cancer.
 
« Nous avons toujours été à la recherche de telles molécules intelligentes. Il s’agit d’un fusil qui vise non pas une cible, mais un ensemble d’objectifs. Cela multiplie les chances d’arrêter le cancer sans provoquer “trop” d’effets secondaires », explique le Pr Kevan Shokat.
 
Déjà, cette nouvelle approche moins toxique, donc présentant moins d’effets secondaires, donne des résultats prometteurs sur des mouches à fruits.
 
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Bientôt des médicaments contre l’alcoolisme

Différents laboratoires pharmaceutiques développent des médicaments pour traiter l’alcoolisme, ce fléau qui cause tant de dégâts sur la personne elle-même et chez l’entourage.
 
Certains traitements auront déjà fait leur apparition d’ici deux ans, le temps que des études plus approfondies puissent réellement confirmer les effets bénéfiques.
 
C’est le cas de l’Alcover du laboratoire français D&A Pharma. « Ce traitement, utilisé en Italie depuis plus de quinze ans, a démontré son efficacité. Mais des essais cliniques approfondis doivent être finalisés avant une commercialisation élargie en Europe », explique le président du laboratoire, Patrice Debregas, au Figaro.
 
Le Selincro, quant à lui, ne vise pas une totale abstinence, mais il sera plutôt utilisé pour freiner l’envie irrésistible de continuer de boire après quelques verres.
 
Le Baclofène est un autre espoir en vue. Ce médicament est déjà utilisé pour la sclérose en plaques, mais les études sur ses effets sur l’alcool demeurent encore incomplètes.
 
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Vers un traitement plus efficace de la myopie

Les résultats de cette étude, publiés dans Investigative Ophtalmology and Visual Science, font état des observations des chercheurs ayant comparé les effets du port de lunettes à verres ophtalmiques progressifs versus le port de lunettes à verres unifocaux.

Les résultats démontrent que la myopie progresse moins vite chez les enfants qui portent des lunettes à verres ophtalmiques progressifs que chez les autres.

« Les lunettes à verres unifocaux sont normalement prescrites quand un enfant a besoin de lunettes, mais les lunettes à verres ophtalmiques progressifs ont réduit la progression de la myopie dans notre étude », explique l’aide-professeur de l’UH College of Optometry, David Bernsten.

De plus, ces verres n’ont pas des effets uniquement pendant que les enfants les portent. « Nous avons trouvé que les effets bénéfiques étaient présents pour au moins un an après que l’enfant ait arrêté de porter des lunettes à verres ophtalmiques progressifs », ajoute-t-il.

Cette découverte a de quoi rassurer les experts. Rappelons qu’en 30 ans, le taux de myopie est passé de 25 à 42 % aux États-Unis.

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L’hormonothérapie à la rescousse du cancer de la prostate

Lors du congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology, des chercheurs ont mentionné que l’hormonothérapie continue augmentait les chances de survie du cancer de la prostate.
 
Les hommes ayant un cancer de la prostate hormono-sensible métastatique ont en effet une survie plus longue lorsqu’il y a un blocage androgénique continu par hormonothérapie plutôt qu’un traitement intermittent.
 
L’étude a été effectuée sur 17 ans.
 
Habituellement, les hommes avec un diagnostic de cancer de la prostate métastatique ont une prostatectomie totale, une ablation chirurgicale ou ils reçoivent une hormonothérapie pour supprimer la production d’hormone mâle qui induit le développement du cancer.
 
Cette dernière garde la maladie à distance, mais seulement temporairement, ce qui provoque un risque élevé de récidive et même de décès possible du patient.
 
L’hormonothérapie continue offre de meilleurs résultats, en plus d’améliorer la qualité de vie des patients ainsi que leurs fonctions sexuelles.
 
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Les enfants cancéreux souffrent de problèmes émotionnels à l’âge adulte

Ce sont les effets secondaires « physiques » des traitements comme la radiothérapie qui feraient en sorte que bien des enfants ayant souffert d’un cancer seraient victimes d’anxiété et de dépression à l’âge adulte.

C’est ce que révèle une nouvelle étude de l’Université de Northwestern publiée dans le Journal of Clinical Oncology et dont les données ont été recueillies au centre Childhood Cancer Survivor.

Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont examiné la santé psychologique de 14 000 adultes qui avaient combattu un cancer durant l’enfance et l’ont comparée à celle d’un frère ou d’une sœur de la même famille qui n’avait pas été malade.

Les survivants qui ont eu une perte de cheveux avaient un risque accru d’anxiété. Les filles qui ont perdu leurs cheveux sont plus susceptibles d’être dépressives, tout comme ceux et celles qui ont des cicatrices en raison de biopsies, qui sont défigurés ou à qui il manque un bras ou une jambe à la suite d’une amputation.

L’étude de l’infirmière spécialisée Karen Kinahan vient confirmer que les traitements du cancer peuvent affecter l’apparence physique des survivants et leur qualité de vie, à une période beaucoup plus tardive que durant la maladie.

La radiothérapie est connue pour un risque accru de détresse émotionnelle et de problèmes sociaux. La spécialiste affirme que des efforts supplémentaires devraient être faits dans le but de venir en aide précocement aux enfants susceptibles d’être plus psychologiquement atteints dans le futur. Les médecins devraient également tenter de minimiser encore plus les risques d’altérations physiques.

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Un antioxydant pourrait améliorer la qualité de vie des enfants autistes

De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.

Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.

Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.

Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.

Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.

En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.

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Un antioxydant pourrait améliorer la qualité de vie des enfants autistes

De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.

Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.

Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.

Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.

Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.

En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.

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Les thérapies sensorielles pour traiter l’autisme remises en question

Les thérapies sensorielles où l’on utilise divers objets comme des brosses sont pourtant de plus en plus utilisées par les thérapeutes qui traitent l’autisme.

« C’est correct que les parents essaient ces types de thérapies, mais il n’y a que peu de recherches qui certifient leur efficacité ou qui attestent qu’elles donnent des résultats positifs à long terme chez les enfants atteints d’un trouble du développement », explique la professeure adjointe en pédiatrie du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, Michelle Zimmer.

Certains enfants autistes peuvent avoir des anormalités au niveau des stimuli sensoriels. Par exemple, ils peuvent réagir fortement lorsqu’on les touche sans qu’ils s’y attendent. Cependant, cela ne signifie pas que le problème vient de la façon dont leur cerveau traite les informations sensorielles, comme le sous-entend le terme « trouble du traitement sensoriel ».

Selon l’Académie américaine de pédiatrie, le trouble du traitement sensoriel ne devrait pas être diagnostiqué comme seul responsable de ce comportement chez le patient. Les médecins doivent considérer l’autisme ou le trouble envahissant du développement au même titre que le trouble du traitement sensoriel.

Rappelons que beaucoup de parents qui ont un enfant autiste ne sont pas portés à demander conseil à leur pédiatre. Quant aux médecins, ils disent que faute de temps et de connaissances, ils sont mal à l’aise de suivre les patients autistes, selon une étude du Centre régional de recherche sur l’autisme de Philadelphie.

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Grossesse : la fièvre de maman peut conduire à l’autisme chez l’enfant

Troubles du spectre autistique, problèmes de communication et retards de développement guettent davantage les enfants nés de mères qui ont eu de la fièvre durant leur grossesse.
 
Malgré cela, il semblerait que celles qui traitent leur fièvre avec des médicaments à base d’ibuprofène ou d’acétaminophène diminuent leurs risques.
 
En effet, selon une étude de l’UC Davis MIND Institute parue dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, la fièvre pouvant être liée au développement de troubles neuraux chez l’enfant peut être relativisée, alors que des médicaments pour diminuer la température peuvent changer la donne.
 
L’étude confirme : « Une médication anti-fièvre durant la grossesse peut réduire ou éliminer le lien apparent entre fièvre maternelle et autisme ».
 
Ainsi, les mères fiévreuses traitées pourraient finalement ne pas courir plus de risques qu’une autre femme.
 
Pour arriver à ces conclusions, 191 femmes ayant souffert de fièvre durant leur grossesse et leurs enfants ont été examinés. Parmi elles, 76 confirmaient avoir été traitées par médication, et 115 n’avaient pas consommé d’ibuprofène ou d’acétaminophène, ou encore la médication n’avait pas eu d’effet sur leur état.