Les résultats de cette étude, publiés dans Investigative Ophtalmology and Visual Science, font état des observations des chercheurs ayant comparé les effets du port de lunettes à verres ophtalmiques progressifs versus le port de lunettes à verres unifocaux.
Les résultats démontrent que la myopie progresse moins vite chez les enfants qui portent des lunettes à verres ophtalmiques progressifs que chez les autres.
« Les lunettes à verres unifocaux sont normalement prescrites quand un enfant a besoin de lunettes, mais les lunettes à verres ophtalmiques progressifs ont réduit la progression de la myopie dans notre étude », explique l’aide-professeur de l’UH College of Optometry, David Bernsten.
De plus, ces verres n’ont pas des effets uniquement pendant que les enfants les portent. « Nous avons trouvé que les effets bénéfiques étaient présents pour au moins un an après que l’enfant ait arrêté de porter des lunettes à verres ophtalmiques progressifs », ajoute-t-il.
Cette découverte a de quoi rassurer les experts. Rappelons qu’en 30 ans, le taux de myopie est passé de 25 à 42 % aux États-Unis.
Ce sont les effets secondaires « physiques » des traitements comme la radiothérapie qui feraient en sorte que bien des enfants ayant souffert d’un cancer seraient victimes d’anxiété et de dépression à l’âge adulte.
C’est ce que révèle une nouvelle étude de l’Université de Northwestern publiée dans le Journal of Clinical Oncology et dont les données ont été recueillies au centre Childhood Cancer Survivor.
Pour arriver à leurs conclusions, les chercheurs ont examiné la santé psychologique de 14 000 adultes qui avaient combattu un cancer durant l’enfance et l’ont comparée à celle d’un frère ou d’une sœur de la même famille qui n’avait pas été malade.
Les survivants qui ont eu une perte de cheveux avaient un risque accru d’anxiété. Les filles qui ont perdu leurs cheveux sont plus susceptibles d’être dépressives, tout comme ceux et celles qui ont des cicatrices en raison de biopsies, qui sont défigurés ou à qui il manque un bras ou une jambe à la suite d’une amputation.
L’étude de l’infirmière spécialisée Karen Kinahan vient confirmer que les traitements du cancer peuvent affecter l’apparence physique des survivants et leur qualité de vie, à une période beaucoup plus tardive que durant la maladie.
La radiothérapie est connue pour un risque accru de détresse émotionnelle et de problèmes sociaux. La spécialiste affirme que des efforts supplémentaires devraient être faits dans le but de venir en aide précocement aux enfants susceptibles d’être plus psychologiquement atteints dans le futur. Les médecins devraient également tenter de minimiser encore plus les risques d’altérations physiques.
De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.
Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.
Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.
Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.
Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.
En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.
De 60 à 70 % des enfants autistes sont facilement irritables, et trouver un traitement pour l’autisme fait partie des priorités des chercheurs, incluant Antonio Hardan, médecin et auteur principal de la nouvelle étude pilote réalisée par l’École de médecine de l’Université de Stanford et de l’Hôpital pour enfants Lucile Packard.
Pour aider le comportement des enfants autistes, ce sont des antipsychotiques de deuxième génération qui sont administrés aux enfants. Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires importants comme le gain de poids, un risque de diabète plus élevé et la production de mouvements involontaires.
Testé pendant 12 semaines auprès de 31 enfants souffrant d’autisme, le supplément d’antioxydant CNA a permis de réduire le taux d’irritabilité de ces derniers de 13,1 à 7,2 sur l’Aberrant Behavior Checklist, une échelle fréquemment utilisée en clinique pour évaluer l’irritabilité.
Bien que des résultats soient moins spectaculaires qu’avec les antipsychotiques, le traitement par antioxydant a toutefois donné des effets secondaires moins graves. Les enfants souffraient surtout de constipation et de perte d’appétit.
Les constatations des chercheurs parues dans le Biological Psychiatry doivent être confirmées avant que le CNA ne soit prescrit ou recommandé aux enfants autistes.
En lien avec des études antérieures qui ont suggéré que l’autisme était lié à un déséquilibre des neurotransmetteurs excitateurs et inhibiteurs dans le cerveau, le CNA pourrait moduler ces derniers et être utile, avancent les scientifiques.
Les thérapies sensorielles où l’on utilise divers objets comme des brosses sont pourtant de plus en plus utilisées par les thérapeutes qui traitent l’autisme.
« C’est correct que les parents essaient ces types de thérapies, mais il n’y a que peu de recherches qui certifient leur efficacité ou qui attestent qu’elles donnent des résultats positifs à long terme chez les enfants atteints d’un trouble du développement », explique la professeure adjointe en pédiatrie du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, Michelle Zimmer.
Certains enfants autistes peuvent avoir des anormalités au niveau des stimuli sensoriels. Par exemple, ils peuvent réagir fortement lorsqu’on les touche sans qu’ils s’y attendent. Cependant, cela ne signifie pas que le problème vient de la façon dont leur cerveau traite les informations sensorielles, comme le sous-entend le terme « trouble du traitement sensoriel ».
Selon l’Académie américaine de pédiatrie, le trouble du traitement sensoriel ne devrait pas être diagnostiqué comme seul responsable de ce comportement chez le patient. Les médecins doivent considérer l’autisme ou le trouble envahissant du développement au même titre que le trouble du traitement sensoriel.
Rappelons que beaucoup de parents qui ont un enfant autiste ne sont pas portés à demander conseil à leur pédiatre. Quant aux médecins, ils disent que faute de temps et de connaissances, ils sont mal à l’aise de suivre les patients autistes, selon une étude du Centre régional de recherche sur l’autisme de Philadelphie.