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Une nouvelle méthode de traitement efficace contre plusieurs types de cancer

Une nouvelle méthode de traitement du cancer par immunothérapie semble porter ses fruits et jette un vent d’optimisme chez plusieurs spécialistes et chercheurs qui luttent contre cette maladie, rapporte les National Institutes of Health.

Cette nouvelle méthode détaillée dans une récente étude propose de s’attaquer directement aux cellules cancéreuses, et pourrait s’avérer efficace contre de multiples types de cancer.

Ce sont des chercheurs du National Cancer Institute (NCI) qui se sont penchés sur diverses réactions de l’organisme en situation de cancer, alors que le corps humain produit différentes protéines et types de cellules lors du développement de la maladie.

« Notre étude s’attaque au problème central en immunothérapie, qui consiste à attaquer de façon efficace les cancers communs. La méthode que nous avons développée nous procure une empreinte pour parvenir à utiliser l’immunothérapie afin de cibler des attaques sur les mutations uniques aux patients atteints de cancer », explique le Dr Steven A. Rosenberg.

En clair, en ciblant les protéines mutantes observables dans 80 % des cas de cancer, les chercheurs croient être en mesure de bonifier la réponse naturelle du corps des patients et ainsi attaquer efficacement la maladie.

L’étude du NCI fait suite à de nombreuses autres en la matière, qui confirment toutes le grand potentiel de l’immunothérapie en traitement du cancer.

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Le métapneumovirus bientôt maîtrisé

Radio-Canada rapporte les plus récents développements dans le dossier du métapneumovirus, qui aurait fait jusqu’ici au moins neuf victimes chez des personnes âgées résidant en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), notamment du côté de Drummondville.

Il s’agit d’une bonne nouvelle malgré les circonstances, puisque les autorités confirment la mise en place d’un groupe de scientifiques et de chercheurs dédiés à mettre au point un vaccin contre le virus. Le groupe serait d’ailleurs déjà sur la bonne voie, et il serait permis d’espérer un vaccin d’ici les cinq prochaines années.

« Notre groupe a été le premier à rapporter la présence de ce virus en Amérique, en 2001. On travaille déjà depuis plusieurs années sur la mise au point d’un vaccin. Il n’en existe pas à l’heure actuelle. On a des résultats intéressants chez l’animal et là, on vient d’avoir un bon coup de pouce avec une subvention de 12 millions de dollars avec des collègues de McGill et de Sherbrooke », explique Guy Boivin, microbiologiste-infectiologue au CHUQ.

Le métapneumovirus est de type aviaire et provoque chez les patients qui le contractent de sévères complications respiratoires, qui peuvent s’avérer fatales pour les personnes plus âgées.

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.

 

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Spectres rares de maladies auto-inflammatoires : nouveau traitement pour les bébés

Les deux médications nouvellement approuvées au Royaume-Uni par Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA), sont l’Anakinra (Kineret®) et l’inhibiteur interleukine-1 (IL-1).

L’Anakinra constitue le premier traitement au pays à pouvoir être administré aux enfants, et ce, dès qu’ils ont 8 mois, rapporte Medical News Today.

Ces maladies rarissimes (CAPS) causent des éruptions cutanées importantes, des maux de tête, de la fièvre, des douleurs articulaires et d’autres symptômes inflammatoires inexpliqués.

Les personnes qui en souffrent naissent avec cette maladie, et celle-ci dégrade progressivement leur qualité de vie. Dans sa forme la plus sévère, la condition provoque une méningite aseptique chronique. Les complications éventuelles comprennent l’hydrocéphalie, un retard de développement et/ou un retard mental et la perte d’audition.

Il demeure cependant une problématique, dénonce le professeur en pédiatrie et rhumatologie de l’Université de Birmingham, Taunton Southwood. La maladie est si rare que les enfants passent souvent des années avant de recevoir leur diagnostic de CAPS.

Selon lui, dès que les symptômes de base associés à la maladie ne sont reliés à aucune autre affection, le corps médical devrait immédiatement transférer le patient en rhumatologie.

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L’impuissance est souvent traitable sans médication

Alors que les statistiques concernant l’impuissance et la dysfonction érectile surprennent souvent, The National Library of Medicine rapporte de son côté une nouvelle étude qui encourage.

L’étude australienne révèle qu’un grand nombre des cas d’impuissance recensés serait traitable de façon naturelle et sans médication, une donnée qui n’est pas nécessairement véhiculée en cette ère des traitements miracles sous forme de pilules.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Gary Wittert, constate que des changements d’habitude dans la vie de tous les jours peuvent contribuer largement à un retour à une vie sexuelle normale. La mauvaise alimentation, l’absence d’activité physique, le tabagisme et le stress sont tous des facteurs qui peuvent mener à des problèmes en la matière.

De plus, ces changements contribuent du même coup à améliorer la santé générale d’un individu, rappelle le Dr Wittert.

« Ça vaut toujours la peine de réduire l’obésité, d’améliorer son alimentation et de faire plus d’exercice. D’abord parce que la santé générale s’améliore et que les risques de problèmes cardiovasculaires s’amenuisent », explique l’auteur de l’étude.

Ces nouvelles conclusions ont été publiées dans le Journal of Sexual Medicine.

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Nouvelle percée dans le traitement de la cécité liée au glaucome

Une nouvelle étude vient contredire les certitudes entourant la cécité découlant du glaucome, rapporte The National Library of Medicine, et ouvre la porte sur une possibilité de traitement.

L’étude en question rapporte la création d’un nouveau système technologique d’entraînement de l’œil, qui pourrait permettre aux patients souffrant de cécité due au glaucome d’espérer recouvrer la vue.

Fonctionnant grâce aux nouvelles technologies et par le principe fort simple d’entraînement progressif quotidien, un peu comme des séances de gym pour les yeux, le système semble prometteur.

« Le glaucome est une maladie qui, tranquillement et sur une période de plusieurs années, endommage la rétine et le nerf optique de l’œil. Quand le tissu est endommagé, les troubles de vision sont la conséquence. Jusqu’ici, la perte de vision était considérée comme permanente », explique l’auteur de l’étude, Bernhard Sabel, également directeur du Medical Psychology de l’Université Otto-von-Guericke de Magdebourg, en Allemagne.

Une donnée qui pourrait maintenant changer, à la suite des résultats encourageants obtenus sur deux groupes de patients lors d’essais.

M. Sabel rappelle toutefois l’importance de la prévention et de la détection précoce du glaucome afin d’éviter les problèmes de vision ou la perte totale de celle-ci.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le journal JAMA Ophthalmology.

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Nouvelle avenue pour le traitement des troubles reliés au problème d’attention

Selon Medical News Today, les expertes en développement cognitif de l’Université d’Indiana, Catarina Vales et Linda Smith, démontrent que la méthode d’apprentissage peut être influencée par le langage et ainsi diminuer le développement des troubles d’attention.

Ces scientifiques affirment que le langage doit renforcer l’image lors de l’apprentissage. Elles ont remarqué que les enfants étaient plus prompts aux mots qu’aux images.

Le langage s’adresse directement au système cognitif de l’enfant, ce qui améliore son habileté d’apprentissage. Ainsi, Vales et Smith suggèrent de nouvelles voies afin d’influencer le développement du trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, les difficultés scolaires ainsi que d’autres troubles reliés à l’attention.

L’exercice utilisé demandait à des enfants de 3 ans d’identifier un objet à l’écran, dans une pièce contenant de nombreux articles. Lorsqu’en plus de l’image, on leur disait le mot (ex. : lit), tout de suite, leur attention se détachait des autres objets distrayants, puisqu’elles faisaient directement appel à la mémoire.

Il s’agit de la première recherche suggérant que les mots agissent directement sur la mémoire. Celle-ci a toujours été considérée comme déficiente dans le développement de troubles d’attention. Or, au contraire, on démontre ici que le langage améliore cette mémoire. C’est pourquoi les scientifiques sont persuadés qu’ils pourraient limiter le développement du TDAH, notamment.

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Grossesse : attention aux antinauséeux

Le Devoir rapporte quelques statistiques et la publication d’une lettre ouverte concernant les antinauséeux, dont un en particulier, et les problèmes qui peuvent s’y rattacher.

On rapporte d’abord que 80 % des femmes enceintes québécoises se font prescrire des antinauséeux au cours de leur grossesse. De ce nombre, une grande majorité se verra offrir du Diclectin, l’antinauséeux justement visé par les avertissements rapportés.

Plusieurs médecins estiment que le Diclectin est à utiliser avec prudence, bien que l’on ne veuille pas créer un sentiment de panique chez les femmes québécoises et d’ailleurs.

La Société des obstétriciens gynécologues du Canada (SOGC) souhaite simplement sensibiliser les médecins et les femmes au phénomène, et estime que les médicaments ne devraient pas être la première solution désignée pour contrer des problèmes de nausée lors de la grossesse.

On estime à 33 millions le nombre d’utilisatrices du Diclectin.

La lettre de mise en garde en question a été publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology of Canada (JOGC).

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Des débuts prometteurs pour un vaccin « anti-cancer »

Des chercheurs américains confirment les débuts prometteurs d’un vaccin aux capacités « anti-cancer » potentielles, rapporte The National Library of Medicine.

Ce vaccin, aux premières phases d’essais, pourrait un jour permettre aux patients atteints de cancer de lutter efficacement contre la maladie grâce aux armes de leur propre organisme, croit l’équipe de chercheurs menée par Tibor Keler.

« Le traitement a été bien toléré même à des doses élevées. Nous planifions d’autres essais pour notre vaccin, en nous concentrant sur des combinaisons possibles avec d’autres immunothérapies qui pourraient mener à des bénéfices cliniques significatifs », explique Keler, qui pilote le dossier.

Le traitement passe donc avec succès la première d’une série de trois étapes imposées par les autorités de la santé américaines.

Une oncologue extérieure aux travaux de Keler et de son équipe, Elizabeth Mittendorf, voit ces résultats d’un bon œil, mais rappelle que la promesse d’un traitement du genre a été faite depuis longtemps par bien des spécialistes. Peut-être l’heure est elle enfin arrivée.

Les résultats de ces essais et de l’étude en question ont été publiés dans le magazine Science Translational Medicine.

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Une protéine naturelle pour traiter l’intolérance au gluten

L’intolérance au gluten, ou maladie coeliaque, semble atteindre de plus en plus de gens et est ouvertement discutée par plusieurs, dont certaines célébrités.

Il s’avère donc important de mieux comprendre et de trouver de nouvelles pistes de solution, croient les spécialistes appelés à commenter cette hausse observable des cas d’intolérance au gluten.

La solution pourrait bien venir d’un groupe composé de chercheurs de trois établissements différents, soit l’INSERM (France), l’Université McMaster (Canada) et l’École polytechnique fédérale de Zurich (Suisse).

Les chercheurs de cette équipe seraient en effet parvenus à livrer avec succès une bactérie probiotique dans l’estomac de souris, et ainsi paver la voie à de possibles traitements contre l’intolérance au gluten, rapporte NutritionNews.

Plus encore, les spécialistes qui dirigent ces recherches auraient également confirmé avec succès les bienfaits d’une protéine naturelle de l’organisme en traitement de la maladie coeliaque. Il s’agit de la protéine humaine Elafin, qui permettrait l’élaboration de certains traitements.

Une bonne nouvelle, puisqu’aucun traitement officiel et efficace contre la maladie coeliaque n’a encore été découvert et approuvé. La seule solution qui se présente aux patients qui en souffrent est de cesser complètement la consommation de tout aliment comprenant du gluten.

Les conclusions et observations des chercheurs de cette étude ont été publiées dans l’American Journal of Gastroenterology.