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Nouvelles stratégies pour les cancers de la prostate peu évolutifs

Les scientifiques tentent de trouver un moyen de distinguer les cancers de la prostate peu évolutifs des cancers agressifs, dans le but de mieux soigner les patients.
 
Selon The Lancet, de 20 à 40 % des cas de cancers de la prostate peuvent évoluer lentement. Alors, avant de passer à des traitements invasifs, les médecins examinent d’autres possibilités, que ce soit avec des médicaments ou des régimes alimentaires.
 
Toutefois, le problème est d’abord de distinguer les cancers peu évolutifs des cancers agressifs.
 
« La problématique actuelle est d’identifier les cancers agressifs, qui menacent la vie du patient, de ceux non significatifs et d’évolution lente. Différencier les deux reste difficile, car le résultat des biopsies identifie le cancer, mais mal son pronostic », explique le professeur et urologue Alexandre de la Taille.
 
Un médicament habituellement prescrit pour traiter l’adénome de la prostate, le dutastéride, peut ralentir la croissance du cancer, mais il cause d’importants effets secondaires, dont des troubles d’érection et une baisse de libido.
 
Certains médecins préconisent un changement dans l’alimentation en diminuant les graisses saturées et en augmentant la consommation de poissons gras et de légumes.
 
Quoi qu’il en soit, des études se penchent sur la question afin d’ouvrir de nouvelles voies dans la lutte contre la maladie.

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Nouveau traitement contre les fibromes?

Le New England Journal of Medicine dévoile une étude sur une nouvelle option possible pour enrayer les fibromes.
 
Deux études mentionnent que de faibles doses de la pilule du lendemain freinent les saignements et rétrécissent la taille des fibromes.
 
Les fibromes se forment dans l’utérus. Il s’agit de tumeurs bénignes fréquentes chez les femmes vers la fin trentaine ou le début quarantaine. Elles sont douloureuses et accompagnées de saignements et de problèmes de fertilité. Elles disparaissent habituellement après la ménopause.
 
Les fibromes sont souvent difficiles à traiter et habituellement, la seule option est une hystérectomie, soit l’ablation complète de l’utérus. Dans certains cas, une chirurgie pour les retirer est possible ou du moins rétrécir leur taille avec des ultrasons.
 
Maintenant, on étudie l’efficacité d’une faible dose de la pilule du lendemain Esmya afin de savoir si, à long terme, cela pourrait éviter la chirurgie aux femmes. Des tests sont en cours aux États-Unis.
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De l’espoir pour les femmes qui ont de la difficulté à tomber enceintes

Selon une étude australienne publiée dans le journal Fertility and Sterility, près de la moitié des femmes qui ont dit avoir eu du mal à tomber enceinte pendant au moins un an ont fini par avoir un bébé, sans avoir recours à un traitement de fertilité.

En effet, 1400 femmes âgées de 28 à 36 ans, sur 7000 Australiennes qui ont répondu à un questionnaire, ont déclaré avoir eu de la difficulté à tomber enceintes. Sur ce nombre, 53 % ont réalisé leur rêve grâce à un traitement de fertilité, et 44 % ont redoublé de patience pour y arriver naturellement.

Parmi toutes, aucune différence majeure n’a été remarquée concernant la santé des bébés à la naissance (prématuré, mort-né, etc.).

En général, les spécialistes disent qu’il n’y a environ que 15 % des femmes qui ne réussiront pas à concevoir, mais après un an ou même deux d’essai, elles parviendront à leur but. Parmi le 15 %, seulement 3 à 5 % sont des cas de stérilité.

Les chercheurs disent être conscients de l’excitation, du désir et de l’empressement des femmes à vouloir devenir mère. Cependant, ils croient que les couples devraient être plus optimistes, patients et persévérants dans leur démarche de fécondation naturelle, et ce, surtout lorsque la femme a moins de 36 ans, qu’elle ovule régulièrement, que l’homme produit assez de sperme et que le couple a passé des tests médicaux qui se sont avérés normaux.

Les experts indiquent que les résultats pourraient être davantage précisés en examinant, dans de futures études, l’impact du changement de partenaire sexuel, du régime alimentaire et du mode de vie sur la fécondité.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Vers un traitement de l’ataxie de Charlevoix-Saguenay?

L’ataxie de Charlevoix-Saguenay est une maladie héréditaire qui touche un enfant sur 1500 au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
 
Les médecins connaissaient déjà le gène responsable du cette maladie, mais cette fois, l’équipe du docteur Bernard Brais a découvert le processus qui cause la dégénérescence cellulaire caractérisant la maladie.
 
Maintenant, les scientifiques savent comment cela finit par détruire les neurones du cervelet.
 
« Le problème dans la maladie, c’est d’amener les centrales énergétiques, qu’on appelle mitochondrie, aux bons endroits dans la cellule parce que la protéine manquante dans l’ataxie fait que ce transport-là n’est pas bon », mentionne le Dr Brais à Radio-Canada.
 
Maintenant, on doit trouver un moyen de ralentir ou même freiner complètement le processus, ce qui pourra prendre plusieurs années encore malheureusement.
 
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Cancer de l’oeil chez l’enfant : cibler l’origine…

De nouveaux résultats de recherche, publiés en ligne dans le journal Nature, ont aidé à identifier le mécanisme qui rend le rétinoblastome (tumeur maligne de la rétine apparaissant habituellement avant l’âge de 5 ans) si agressif.

La découverte explique pourquoi la tumeur se développe si rapidement, alors que d’autres cancers peuvent prendre des années voire des décennies à se former.

Les chercheurs savent depuis longtemps que la perte d’un gène suppresseur appelé RB1 déclenche le rétinoblastome pendant le développement fœtal.

La protéine codée Rb est alors non fonctionnelle. Son rôle est le contrôle négatif du cycle cellulaire, c’est pourquoi, si elle est mutée, la cellule se divise sans frein, causant ainsi la tumeur.

Le but des chercheurs est de trouver un moyen d’empêcher la mutation.

Dans le monde, plus de 5000 enfants sont atteints du rétinoblastome chaque année.

Si la tumeur est découverte avant de s’étendre au-delà de l’œil, 95 % des patients sont guéris grâce aux traitements actuels, mais le pronostic est bien pire pour les enfants des pays en développement, dont le cancer est souvent avancé quand il est découvert. Pour près de la moitié de ces patients, le rétinoblastome reste une condamnation à mort.

Les chercheurs travaillent à développer des traitements curatifs qui préservent la vision sans radiothérapie ou ablation chirurgicale de l’œil. Le succès de la recherche est particulièrement important pour les enfants atteints de tumeurs dans les deux yeux.

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Une poupée Barbie chauve pour les enfants malades?

C’est dans le but de donner un peu d’espoir aux fillettes atteintes d’un cancer qu’un groupe sur le réseau social Facebook s’est formé.

Beautiful and Bald Barbie est un groupe qui rassemble aujourd’hui plus de 30 000 personnes.

Ces dernières demandent à la société Mattel de produire une Barbie chauve qui aiderait à soutenir les petites filles dans leur lutte contre la maladie.

Rappelons que l’an dernier, Mattel a créé une Barbie chauve unique pour une petite Américaine de 4 ans qui s’appelait Genesis.

L’enfant se plaignait à ses parents de ne plus se sentir comme une princesse sans ses cheveux, perdus à cause de traitements de chimiothérapie. La compagnie lui avait alors offert Princesse Genesis, une poupée chauve avec un joli diadème rose de princesse, raconte 7sur7.be.

Le groupe espère cette fois que Mattel produira une poupée commercialisée dans le monde entier, qui pourra être offerte à tous les enfants malades.

L’idée semble plaire, alors que les commentaires de soutien se multiplient sur le réseau.

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Un autre traitement contre le VIH/sida à l’essai

Un autre traitement antirétroviral contre le VIH/sida sera essayé sur 1900 volontaires au CHUM (Hôtel-Dieu de Montréal) afin de savoir si, avec la prévention, il peut diminuer les risques d’infections chez les hommes homosexuels.
 
Contrairement à d’autres traitements, celui-ci ne serait pas pris en permanence, mais plutôt par intermittence.
 
« Cette stratégie devrait permettre d’éviter les contraintes d’une prise permanente d’antirétroviraux, de favoriser ainsi une bonne observance de la prise du médicament et également de permettre de limiter leurs effets indésirables potentiels ainsi que le coût du traitement », explique l’un des chercheurs européens, Jean-Michel Molina.
 
L’essai IPERGAY a commencé dans trois hôpitaux en France avant de débarquer à Montréal.
 
Les volontaires seront divisés en deux groupes, un qui recevra le traitement antirétroviral, et l’autre le placebo.
 
Dans les dernières années, on observe une augmentation des comportements à risque chez les hommes homosexuels et on espère pouvoir freiner la progression de la maladie.
 
Récemment, on mentionnait qu’un vaccin préventif créé en Ontario contre le VIH/sida serait bientôt essayé sur des humains.
 
Rappelons que jusqu’à présent, les derniers traitements contre le virus du sida qui ont été testés sur des humains ont plutôt donné des résultats décevants dans les derniers stades des essais cliniques.
 

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Un nouveau traitement contre le cancer de la peau

Le Daily Mail nous apprend qu’il existe un nouveau traitement non invasif pour les cancers de la peau courants.
 
Sans chirurgie, sans douleur et presque sans effets secondaires, il serait possible de traiter, et ce, en quelques heures seulement, les carcinomes basocellulaires et les carcinomes spinocelulaires.
 
Ce traitement n’est toutefois pas adapté aux mélanomes malins, la forme la plus mortelle des cancers cutanés.
 
Le traitement consiste à recouvrir la tumeur cancéreuse d’un papier chirurgical, d’étendre une pâte radioactive et de l’enlever après une ou deux heures. Cela ne laisse pas de cicatrice.
 
En Italie, 700 personnes l’ont essayé, avec un taux de réussite de 95 %. Après un seul traitement, 85 % des personnes étaient guéries, et 95 % l’étaient après trois traitements.
 
Des essais sont en cours en Allemagne et en Australie.
 
De plus, ce traitement serait aussi plus facile à utiliser dans des zones près des yeux ou du nez, car malheureusement, plusieurs cancers de la peau se retrouvent sur le visage et causent parfois des cicatrices très apparentes. Certaines personnes doivent même avoir recours à la chirurgie esthétique pour corriger le tout.
 
La nouvelle technique représente donc un grand espoir pour les personnes avec des cancers de la peau courants.