Selon une étude australienne publiée dans le journal Fertility and Sterility, près de la moitié des femmes qui ont dit avoir eu du mal à tomber enceinte pendant au moins un an ont fini par avoir un bébé, sans avoir recours à un traitement de fertilité.
En effet, 1400 femmes âgées de 28 à 36 ans, sur 7000 Australiennes qui ont répondu à un questionnaire, ont déclaré avoir eu de la difficulté à tomber enceintes. Sur ce nombre, 53 % ont réalisé leur rêve grâce à un traitement de fertilité, et 44 % ont redoublé de patience pour y arriver naturellement.
Parmi toutes, aucune différence majeure n’a été remarquée concernant la santé des bébés à la naissance (prématuré, mort-né, etc.).
En général, les spécialistes disent qu’il n’y a environ que 15 % des femmes qui ne réussiront pas à concevoir, mais après un an ou même deux d’essai, elles parviendront à leur but. Parmi le 15 %, seulement 3 à 5 % sont des cas de stérilité.
Les chercheurs disent être conscients de l’excitation, du désir et de l’empressement des femmes à vouloir devenir mère. Cependant, ils croient que les couples devraient être plus optimistes, patients et persévérants dans leur démarche de fécondation naturelle, et ce, surtout lorsque la femme a moins de 36 ans, qu’elle ovule régulièrement, que l’homme produit assez de sperme et que le couple a passé des tests médicaux qui se sont avérés normaux.
Les experts indiquent que les résultats pourraient être davantage précisés en examinant, dans de futures études, l’impact du changement de partenaire sexuel, du régime alimentaire et du mode de vie sur la fécondité.
Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.
Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.
L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.
Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.
La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.
Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.
Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.
Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.
L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.
Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.
La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.
Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.
De nouveaux résultats de recherche, publiés en ligne dans le journal Nature, ont aidé à identifier le mécanisme qui rend le rétinoblastome (tumeur maligne de la rétine apparaissant habituellement avant l’âge de 5 ans) si agressif.
La découverte explique pourquoi la tumeur se développe si rapidement, alors que d’autres cancers peuvent prendre des années voire des décennies à se former.
Les chercheurs savent depuis longtemps que la perte d’un gène suppresseur appelé RB1 déclenche le rétinoblastome pendant le développement fœtal.
La protéine codée Rb est alors non fonctionnelle. Son rôle est le contrôle négatif du cycle cellulaire, c’est pourquoi, si elle est mutée, la cellule se divise sans frein, causant ainsi la tumeur.
Le but des chercheurs est de trouver un moyen d’empêcher la mutation.
Dans le monde, plus de 5000 enfants sont atteints du rétinoblastome chaque année.
Si la tumeur est découverte avant de s’étendre au-delà de l’œil, 95 % des patients sont guéris grâce aux traitements actuels, mais le pronostic est bien pire pour les enfants des pays en développement, dont le cancer est souvent avancé quand il est découvert. Pour près de la moitié de ces patients, le rétinoblastome reste une condamnation à mort.
Les chercheurs travaillent à développer des traitements curatifs qui préservent la vision sans radiothérapie ou ablation chirurgicale de l’œil. Le succès de la recherche est particulièrement important pour les enfants atteints de tumeurs dans les deux yeux.
C’est dans le but de donner un peu d’espoir aux fillettes atteintes d’un cancer qu’un groupe sur le réseau social Facebook s’est formé.
Beautiful and Bald Barbie est un groupe qui rassemble aujourd’hui plus de 30 000 personnes.
Ces dernières demandent à la société Mattel de produire une Barbie chauve qui aiderait à soutenir les petites filles dans leur lutte contre la maladie.
Rappelons que l’an dernier, Mattel a créé une Barbie chauve unique pour une petite Américaine de 4 ans qui s’appelait Genesis.
L’enfant se plaignait à ses parents de ne plus se sentir comme une princesse sans ses cheveux, perdus à cause de traitements de chimiothérapie. La compagnie lui avait alors offert Princesse Genesis, une poupée chauve avec un joli diadème rose de princesse, raconte 7sur7.be.
Le groupe espère cette fois que Mattel produira une poupée commercialisée dans le monde entier, qui pourra être offerte à tous les enfants malades.
L’idée semble plaire, alors que les commentaires de soutien se multiplient sur le réseau.