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Traiter la dépression infantile

Des enfants d’à peine trois ans peuvent démontrer des symptômes de la dépression. Ceux-ci peuvent en fait être les signes avant-coureurs d’un trouble de l’humeur, par exemple.

Or, on apprend dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry qu’une nouvelle approche psychosociale permettrait aux enfants atteints de mieux gérer leurs émotions et ainsi mieux fonctionner dans leur vie en général.

Le Parent Child Interaction Therapy-Emotion Development (PCIT-ED), élaboré par une équipe de la Washington University, aurait en effet apporté des résultats probants.

Basé sur une approche pratique, ce programme a été suivi par une cinquantaine d’enfants âgés de 3 à 7 ans et leurs parents, en comparaison avec une approche déjà existante de psychoéducation.

Après 12 semaines, on a comparé les résultats au sein des 2 groupes de sujets. Tous les enfants avaient démontré une amélioration de leurs symptômes de dépression.

Chez les enfants qui avaient suivi le PCIT-ED, une amélioration avait particulièrement été remarquée quant à leur degré d’anxiété, d’hyperactivité, leurs troubles du comportement, leur hostilité et leur inattention.

Quant à ceux qui avaient suivi la méthode déjà connue de psychoéducation, ils ont démontré une amélioration quant à leur angoisse de séparation.

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Traiter l’arthrite juvénile efficacement

Des chercheurs viennent de présenter leurs conclusions quant à l’utilisation d’un médicament visant à soigner l’arthrite juvénile. Selon les résultats publiés dans JAMA, il pourrait s’agir d’une bonne voie à suivre quant au traitement de cette maladie inflammatoire.

L’étanercept, après avoir été administré à des enfants souffrant d’arthrite, a été relié à de moins graves symptômes d’invalidité. De plus, le tiers des jeunes sujets ont présenté une excellente réponse au médicament. Plus de 200 patients ont été suivis dans le cadre de cette étude.

Mentionnons que l’étanercept a été accepté par la Food and Drug Administration, il y a une dizaine d’années. On souligne désormais que d’être en mesure d’identifier quels patients pourraient le recevoir et bien y répondre représenterait une excellente avancée.

En effet, les traitements actuels pourraient être revus, car chaque patient serait évalué de manière individuelle, ce qui multiplierait et amélioreraient les approches.

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Une combinaison thérapeutique pour le cancer de la prostate

Une étude effectuée auprès de 1200 hommes avec une forme virulente du cancer de la prostate démontre que leur espérance de vie serait accrue avec une combinaison thérapeutique jumelant la thérapie hormonale et la radiation.
 
Selon The Lancet, les volontaires avaient tous un cancer métastatique. Ils ont été séparés en deux groupes au hasard. Le premier groupe a eu une suppression de testostérone, le second groupe a eu une combinaison avec la thérapie hormonale et la radiation.
 
Après six ans, 74 % de ceux ayant eu la combinaison étaient en vie, alors qu’ils étaient 66 % dans l’autre groupe. Chez ces derniers, 26 % avaient été emportés par le cancer, alors qu’ils n’étaient que de 10 % chez le groupe avec la combinaison thérapeutique.
 
On croit que de cette façon, on affaiblit les cellules cancéreuses, qui deviennent alors moins résistantes aux radiations.
 
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Leucémie : les gènes en cause

On lit dans Blood les résultats d’une étude menée par l’Université de Montréal (Hôpital Sainte-Justine) quant à la résistance au traitement de la leucémie. On commencerait à comprendre pourquoi certains enfants ne répondent pas au traitement de leur cancer.

Les jeunes malades présentant une forme particulière du gène ATF5 auraient de plus grands risques de vivre une rechute à la suite d’un traitement à l’E. coli asparaginase. Ce médicament de chimiothérapie représente la solution clé contre la leucémie lymphoblastique aigüe.

Il est utilisé en combinaison avec d’autres médicaments et a pour rôle de régulariser l’enzyme qui produit l’asparagine, laquelle alimente les cellules cancéreuses.

Chez les enfants présentant le polymorphisme cité, l’effet en viendrait même à devenir contraire, soit de déclencher la production d’asparagine au sein des cellules cancéreuses.

On ouvre donc la voie à un nouveau traitement basé sur le profil génétique du jeune patient. De plus, on pourra prédire les risques de rechute ou d’effets secondaires chez les enfants visés.

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Les jeux vidéo contre les problèmes de vue

Des résultats d’étude probants laissent croire que les jeux vidéo seraient à considérer pour traiter certains problèmes de vue. Ce que l’on appelle communément « l’œil paresseux » pourrait être corrigé par un traitement incluant cette activité.

L’ambyopie courante, soit une acuité visuelle plus faible sans qu’il y ait lésion apparente, pourrait être traitée de la sorte. Parmi les 100 participants d’une étude présentée à la réunion annuelle de l’American Academy of Ophtalmology, 30 avaient connu une amélioration significative de leur vision.

À l’heure actuelle, on reconnaît que si l’amblyopie n’est pas diagnostiquée et traitée avant l’âge scolaire, il est par la suite difficile, voire impossible, de la corriger. Beaucoup d’espoir réside donc dans cette étude.

Par exemple, un enfant qui aura un œil plus faible au début du traitement pourra voir l’acuité de celui-ci s’améliorer au fil du temps en jouant à un jeu vidéo, rapporte EurekAlert!. Les spécialistes soulignent par ailleurs l’implication du patient dans la réussite d’une correction d’un œil paresseux.

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Nouvel espoir pour le cancer de l’ovaire

Un nouveau programme pancanadien de diagnostic et de traitement du cancer de l’ovaire sera prochainement mis sur pied.
 
35 chercheurs seront regroupés pour mieux comprendre la maladie, mais surtout mieux dépister les nouveaux biomarqueurs afin de poser un diagnostic précoce et offrir des traitements mieux ciblés à chaque patiente.
 
L’Hôpital Notre-Dame de Montréal, l’Institut de recherche Terry Fox et le Partenariat canadien contre le cancer ont annoncé qu’ils investiraient 5 millions de dollars au cours des cinq prochaines années dans ce nouveau programme.
 
En ce moment, le cancer de l’ovaire est la cinquième cause de décès par cancer au pays. Il touche 2500 Canadiennes chaque année et malheureusement, 1700 en décèdent annuellement.
 
Ce type de cancer montre très peu de symptômes et souvent, lorsque le diagnostic est posé, la maladie est déjà à un stade avancé. Voilà pourquoi il est important de créer de meilleurs moyens de dépister la maladie.
 
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Un traitement contre l’épilepsie infantile

On lit sur Medical News Today qu’un traitement contre l’épilepsie infantile affiche des résultats des plus encourageants. Le Zonegran® serait bien toléré par les enfants épileptiques qui ont des crises partielles et qui prennent aussi un ou deux autres médicaments spécifiques.

Une étude ayant porté sur ce médicament, la CATZ, a été effectuée auprès de 207 jeunes patients âgés de 6 à 17 ans qui présentaient les caractéristiques citées. Elle consistait en une analyse de l’efficacité et de l’innocuité du Zonegran®, lequel a été comparé aux effets d’un placebo.

Beaucoup d’espoir réside en ce traitement, car le critère d’évaluation principal de l’étude était la proportion des patients qui présentaient une réduction « supérieure ou égale à 50 % » de la fréquence des crises après 12 semaines.

Le médicament présentait déjà des résultats probants auprès d’une population adulte ayant reçu un récent diagnostic d’épilepsie, et il semble que les enfants atteints pourraient aussi bénéficier d’un tel traitement.

De nombreux enfants épileptiques ne peuvent encore profiter d’une maîtrise totale de leurs crises, et ils doivent prendre plus d’un médicament pour les réduire.

Mentionnons en terminant que 50 millions de personnes sont atteintes d’épilepsie dans le monde, dont 10,5 millions d’enfants de moins de 15 ans.

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La dépression atteint plus les enfants maltraités

Des chercheurs du King’s College London Institute of Psychiatry soutiennent que la dépression touche plus les enfants maltraités que les autres. En fait, il semble que les enfants qui vivent des sévices courent deux fois plus de risques de vivre plus d’un épisode de dépression.

Selon leurs résultats parut dans l’American Journal of Psychiatry, ces épisodes de dépression tendent aussi à être plus longs, et les personnes répondront moins bien au traitement la plupart du temps.

Les chercheurs se sont basés sur les résultats de 16 études, ce qui revient à 23 000 patients, pour tirer ces conclusions.

La dépression constitue le problème de santé mentale le plus courant au monde. On estime que 1 adulte sur 15 en souffre chaque année, aux États-Unis seulement.

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La musique contre le cancer

Dans le cadre d’une étude dirigée par la Drexel University (Philadelphie), on a remarqué l’effet considérable de la musique sur l’état de jeunes patients cancéreux. En faisant l’étude de 30 recherches précédentes, on a relevé des améliorations quant à la douleur, notamment.

On a aussi remarqué une amélioration des signes vitaux comme la pression sanguine et l’humeur. En effet, les enfants de l’étude – tout comme les adultes, d’ailleurs – ont vécu moins d’anxiété s’ils écoutaient de la musique dans le cadre d’un traitement, selon Medical News Today.

Mentionnons que dans certains cas, les patients étaient invités à jouer du piano, à chanter, ou encore à créer des mélodies à l’aide d’un thérapeute.

C’est donc avec raison que l’on envisage d’intégrer la musique non seulement dans les traitements habituels contre le cancer, mais aussi contre des maladies chroniques et d’autres maladies dégénératives qui affectent les émotions.

Il n’y a encore aucune évidence quant au type de musique, mais il semble que ce soit plus efficace si les airs choisis correspondent aux goûts du patient, entre autres.

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La plus importante découverte en médication depuis la pénicilline

Des scientifiques viennent de faire une découverte majeure dans le domaine des remèdes médicaux, la plus importante depuis la pénicilline, qui pouvait traiter un grand nombre de problèmes.

Le DRACO serait capable de traiter tout, que ce soit le rhume, la grippe ou encore la rougeole, la rubéole, la rage et même le VIH.

Selon les données publiées dans la revue PLoS ONE, ce médicament se rend dans les cellules infectées et provoque leur autodestruction. Le plus merveilleux est que les cellules saines ne sont pas endommagées durant ce processus.

Cependant, ce traitement a donné des résultats si surprenants, qu’il devra encore passer de nombreux tests avant d’être commercialisé, ce qui pourrait prendre encore une décennie.

Toutefois, cette découverte sème l’espoir de soigner de nombreux maux d’une seule et même façon, dont le VIH, pour lequel les traitements actuels ne permettent aucune guérison.