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Avancée dans le traitement de l’hépatite C

Les traitements traditionnels ne permettent que de guérir un cas sur deux de l’hépatite C. Le Figaro mentionne que des scientifiques ont identifié un indicateur prédictif qui pourrait dire de façon fiable comment le patient réagira au traitement contre la maladie.
 
Habituellement, les traitements sont longs, de six à douze mois. Ils sont souvent pénibles et causent des effets secondaires indésirables importants, comme un syndrome grippal, un amaigrissement, de l’insomnie, une perte de cheveux, une dépression et de l’anémie, entre autres.
 
On a remarqué que les personnes qui ne guérissent pas en traitement possèdent une forme particulière et plus courte de la protéine IP-10 dans leur sang. Or, un simple test sanguin permet de détecter sa présence. Si le résultat du test est positif, ces personnes pourraient se voir prescrire immédiatement des traitements supplémentaires pour mieux les traiter.
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Un nouveau traitement contre le syndrome de l’intestin irritable

Un nouveau médicament offre un traitement efficace et durable contre le syndrome de l’intestin irritable (SII), rapporte le New England Journal of Medicine.
 
Les scientifiques ont découvert que le Xifaxan (Rifaximine) pouvait traiter les symptômes du SII. Cet antibiotique est déjà approuvé aux États-Unis pour soulager la diarrhée du voyageur et l’encéphalopathie hépatique. Par contre, il n’est pas encore offert au Canada.
 
Deux essais cliniques ont confirmé l’efficacité de ce traitement contre le syndrome et 1 200 personnes qui en étaient affectées ont participé à l’étude. Elles ont ressenti un grand soulagement et les effets continuaient de se faire sentir même après avoir arrêté de prendre le Xifaxan. Cela voudrait dire qu’il agit sur la cause de la pathologie, selon les médecins.
 
Jusqu’à présent, les moyens de traiter le syndrome de l’intestin irritable étaient plutôt limités. Ils consistaient en un changement de régime alimentaire de la part du patient ainsi qu’une prise de compléments de fibres.
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L’homéopathie : danger pour les enfants

On peut lire dans Archives of Disease in Childhood que les traitements homéopathiques comportent des dangers pour les enfants. Ils pourraient même entraîner la mort dans certains cas.

En général, les parents ne pensent pas aux effets secondaires possibles des traitements de la médecine alternative, ceux-ci étant de source naturelle.

Selon les données de la Surveillance infantile australienne, de 2001 à 2003, 46 incidents impliquant des traitements homéopathiques et des enfants ont été répertoriés. Parmi ceux-ci, on compte quatre morts.

Certains facteurs pouvant avoir de graves répercussions en administrant ces médicaments ont été relevés en étudiant les cas cités.

D’abord, lorsque des médicaments conventionnels ont été substitués à un traitement homéopathique. Deuxièmement, si la compagnie produisant le médicament naturel en a changé la teneur des constituants. Et en dernier lieu, quand des restrictions alimentaires ont été imposées en pensant à de possibles effets secondaires.

On a finalement noté que les parents tendent à vouloir soigner de multiples maux avec l’homéopathie, que ce soit la constipation, le diabète, voire la paralysie cérébrale.

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Le gui pour contrer les effets indésirables des traitements contre le cancer

Alors que la tradition veut qu’un couple qui s’embrasse sous une couronne de gui scelle alors leur amour, la médecine voit cette plante comme une alliée de choix dans la lutte contre le cancer.
 
Le Daily Mail mentionne que le centre indépendant Raphael Medical Centre à Kent intègre le gui dans ses soins de cancérologie. Apparemment, le gui lutte efficacement contre les effets indésirables de la chimiothérapie et de la radiothérapie comme la fatigue, les nausées, la perte de poids, le changement d’humeur et les infections.
 
On croit que le gui renforce le système immunitaire et aide à tuer les cellules tumorales, surtout dans les cas de cancers du sein, gynécologiques, colorectaux, du pancréas, des poumons, de même que les lymphomes et les leucémies.
 
Les résultats sont si prometteurs que des chercheurs de l’Université de Bristol entameront sous peu une première étude pilote sur le sujet pour mesurer exactement les effets du gui.
 
D’autant plus que le gui ne provoque que peu d’effets secondaires. Une rougeur et une démangeaison, semblable à une piqûre d’abeille, peuvent survenir après l’injection, mais cela s’estompe rapidement et après 24 heures, les patients ne ressentiraient plus les effets des traitements contre le cancer.
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Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.

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Les dommages de la sclérose en plaques pourraient être réparés

Des chercheurs britanniques ont découvert qu’en activant des cellules souches dans le cerveau, il serait possible de réparer les dommages causés par la sclérose en plaques au système nerveux central.
 
Selon les travaux du professeur Robin Franklin et de son équipe, publiés dans le Nature Neuroscience, il serait possible d’inciter les cellules souches du cerveau à réparer les dommages causés sur la gaine myéline qui protège habituellement les nerfs du cerveau et la moelle épinière.
 
La sclérose en plaques endommage cette gaine, ce qui entraîne la paralysie. Cette découverte pourrait éventuellement mener à de nouvelles thérapies efficaces.
 
On croit pouvoir entamer des essais cliniques d’ici cinq ans et si tout se passe bien, un traitement pourrait être enfin proposé d’ici quinze ans.
 
Il s’agit donc d’un grand espoir pour les patients atteints de cette maladie dégénérative.
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Le jus de pissenlits pour traiter l’eczéma

Des chercheurs ont produit un rapport mentionnant que le jus de pissenlits serait utilisé depuis de nombreuses années dans certaines sociétés afin de traiter l’eczéma dyshidrotique.
 
Cette maladie de la peau se caractérise par de minuscules ampoules en forme de bulles et des démangeaisons importantes.
 
En ce moment, à l’Université d’Odense au Danemark, on effectue une étude à ce sujet. On a donné du jus de pissenlits à boire à des patients souffrant d’eczéma pendant 20 à 30 jours et on a observé de nettes améliorations de leur état.
 
Pour le moment, on ignore quel composé du jus de pissenlits est actif, mais celui-ci contient de grandes quantités de vitamines A, B, C et D, ainsi que du magnésium, du fer, du zinc et du calcium. Les chercheurs croient que ces nutriments sont de puissants antioxydants qui réduisent les dommages causés aux cellules, rapporte le Daily Mail.
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Le cancer n’est pas le même chez le fumeur et le non-fumeur

Une nouvelle percée vient d’être faite en ce qui a trait au cancer du poumon, nous apprend Radio-Canada.

Une équipe de chercheurs du Centre de recherche sur le cancer de la Colombie-Britannique a présenté cette semaine ses résultats à une conférence sur le sujet à Philadelphie.

Après avoir étudié l’ADN de tumeurs cancéreuses provenant de patients fumeurs et non-fumeurs, ils ont pu statuer qu’il y avait une différence nette dans l’évolution de celles-ci.

Les malades devraient donc, en poussant plus loin ces observations, recevoir un traitement différent selon qu’ils fument ou qu’ils n’aient jamais fumé.

Pour arriver à ces résultats, les tumeurs de 83 patients ont dû être analysées. Sur ce nombre, 53 étaient d’anciens fumeurs ou fumaient toujours, tandis que 30 d’entre eux n’avaient jamais touché à la cigarette.

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Un nouveau traitement pour le cholestérol?

Des chercheurs américains et australiens mentionnent que des doses plus élevées de statines, pour abaisser un taux de cholestérol élevé, permettent de réduire du septième les risques d’accidents cardiaques et vasculaires cérébraux.
 
La revue The Lancet publie les résultats de leur étude qui a analysé 26 essais cliniques.
 
Les molécules des statines empêchent les complications dues à l’athérosclérose, en plus de diminuer considérablement le taux de mortalité. Après un an de recherche, on constate qu’une forte dose de statines réduit de 15 % les accidents cardiaques et de 19 % les accidents vasculaires cérébraux.
 
Des chercheurs britanniques en sont arrivés aux mêmes conclusions, mais il y a une ombre au tableau. Une forte dose de statines multiplie par dix la myopathie, une atteinte musculaire qui touche habituellement 1 patient sur 10 000 avec les doses habituelles.
 
Par contre, certains chercheurs croient que cette affection touche seulement des personnes avec une particularité génétique. Les recherches doivent donc se poursuivre.
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Un pas de plus vers un traitement pour guérir l’asthme

Des chercheurs de l’Inserm ont mis en évidence une molécule qui permet aux cellules qui provoquent l’inflammation des poumons de survivre. Cette découverte laisse croire que l’on pourrait donc mieux traiter l’asthme allergique éventuellement.
 
Cette maladie chronique touche les voies aériennes supérieures. Sa prévalence et la sévérité de ses symptômes ont pris de l’ampleur ces dernières années.
 
Pour causer l’asthme chez une personne, des cellules du système immunitaire, les lymphocytes T, quittent la circulation sanguine pour se diriger vers les tissus pulmonaires. À cet endroit, elles produisent une substance qui cause l’inflammation des poumons et les symptômes de l’asthme. Jusqu’à présent, on ignorait comment les cellules inflammatoires parvenaient à survivre dans les poumons.
 
Les lymphocytes possèdent à leur surface la protéine CX3CR qui permet cette survie et provoque le développement l’asthme, mentionnent les chercheurs.
 
Ainsi, en créant un médicament qui freine ce mécanisme, on serait en mesure de bien traiter les patients qui souffrent de cette maladie. Il s’agit donc d’une découverte majeure dans le domaine.