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Les bleuets pourraient contribuer au traitement du Parkinson

Des chercheurs canadiens croient que les bleuets pourraient contribuer à prévenir de la maladie de Parkinson, mais aussi à la traiter, rapporte MedicalNewsToday.

Les recherches proposées sont celles de chercheurs terre-neuviens basés à l’Université Memorial. Ces derniers croient que les bleuets pourraient véritablement jouer un rôle important dans la recherche d’un traitement de la maladie.

Plusieurs autres études ont déjà soumis l’idée que le petit fruit, riche en antioxydants, pouvait permettre de prévenir la maladie, mais aucune n’a encore statué sur ses possibles effets médicamenteux.

Si les chercheurs canadiens confirmaient leur théorie, on croit que l’idée pourrait aussi s’appliquer au développement de traitements contre d’autres formes de maladies dégénératives et neurologiques.

Des extraits de bleuets auraient déjà été utilisés et auraient démontré un effet certain sur la longévité lors d’essais cliniques, rapporte l’équipe de chercheurs de Terre-Neuve.

D’autres tests sont à venir, mais les propriétés bienfaitrices du bleuet ne font déjà aucun doute dans l’esprit de plusieurs spécialistes en santé et nutrition.

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Seriez-vous en mesure de déterminer si votre enfant souffre d’une scoliose?

Un examen simple que vous pouvez effectuer chez vous, en tout temps. Les signes précoces d’une scoliose peuvent combiner la dissymétrie costale et l’apparition d’une lucarne. Ceux-ci sont expliqués dans la vidéo de l’Académie de médecine et la Fondation Yves Cotrel.

Cette déformation de la colonne vertébrale, selon Top Santé, atteint de 2 à 3 % de la population et passe parfois inaperçue dans l’enfance. Mais les conséquences peuvent être très graves, selon le stade de celle-ci.  

Elle affecte la croissance de l’enfant et entraîne une forte diminution de la mobilité des vertèbres. C’est pourquoi il est primordial de la prendre en charge aussi tôt que possible. Au terme de son développement, elle donne à la colonne une forme en « S ».

Les causes sont multiples et passent entre autres par l’hérédité et l’ostéoporose juvénile. Plus tard la scoliose est détectée, et plus les traitements sont inefficaces et douloureux. D’autre part, le taux de réussite du traitement par chirurgie fonctionne dans 10 à 20 % des cas uniquement.

Dès que vous détectez les signes précurseurs décrits ici, faites confirmer vos observations par votre médecin.

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Information utile sur les bébés prématurés

Selon Top Santé, dans la dernière décennie, le nombre de naissances prématurées a augmenté de 15 %, ce qui est énorme. Néanmoins, il faut quand même tenir compte du taux de natalité, qui a grimpé lui aussi.

Les facteurs considérés pour la prématurité sont notamment les grossesses tardives et les grossesses multiples, qui semble-t-il sont très élevées. Sans compter que de plus en plus de mères doivent planifier leur accouchement avec le médecin, afin d’éliminer des risques pour elles-mêmes et le bébé.

Dès un accouchement avant la 37e semaine, on parle de bébé prématuré. Ceux qui sont de « grands prématurés » naissent entre la 22e et 32e semaine. Parmi ces derniers, plus de 2000 meurent à la naissance ou peu après en France. Il y a aussi de grands risques de séquelles physiques et mentales.

Il existe désormais une méthode pour diminuer le nombre d’accouchements prématurés, surtout auprès des femmes ayant un historique du genre ou ayant subi une ou plusieurs fausses-couches. On leur administre de la progestérone naturelle entre la 16e et la 34e semaine.

Ce traitement diminue les risques de moitié.

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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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Le tabac, nouvel allié de la lutte au cancer?

C’est toute une nouvelle, aussi ironique que paradoxale, que nous propose le Daily Mail (UK) en matière de lutte au cancer.

Le quotidien rapporte en effet une nouvelle étude qui dévoile les bienfaits et les possibilités du tabac dans la lutte au cancer. g

Ironiquement, des scientifiques ont identifié une molécule dans la plante du tabac, utilisée par cette dernière comme système de défense, qui permet de combattre contre les infections et les bactéries.

Connue sous le nom de NaD1, la molécule agirait d’une telle manière sur la cellule visée que celle-ci exploserait littéralement. On peut donc comprendre l’intérêt des chercheurs basés à Melbourne, en Australie, pour la plante et sa molécule miraculeuse.

« La prochaine étape est d’effectuer des études cliniques préliminaires afin d’évaluer le rôle potentiel de la NaD1 dans le traitement du cancer », explique le Dr Mark Hulett, du La Trobe Institute for Molecular Science de Melbourne.

Des recherches très prometteuses, en définitive, qui pourraient s’avérer spectaculaires au cours des prochains mois. D’ici à la publication de la suite des travaux et essais, inutile de rappeler que les cigarettes et les divers produits du tabac sont à éviter complètement, même considérant les possibilités de la plante en tant que telle.

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Enrayer l’E. coli grâce aux bactériophages

Le MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des bactériophages contre l’E. coli, cette bactérie retrouvée dans certains aliments.

Ce sont des chercheurs de l’Université Purdue qui proposent la théorie et croient que les bactériophages permettraient d’enrayer 99 % des traces d’E. coli dans les aliments visés.

C’est d’ailleurs le résultat obtenu à la suite de l’essai et l’injection de bactériophages dans du brocoli et de la viande de bœuf, rapporte-t-on dans l’étude.

« Le traitement par les “phages” permet de libérer les propriétés naturelles antibactériennes de celles-ci, et de limiter l’E. coli et les autres pathogènes importants transmis par la nourriture », explique le professeur Paul Ebner.

Les résultats sur le brocoli ont même parfois atteint un taux de réussite de 99,9 %, ce qui s’avère une bonne nouvelle.

« Les bactéries ont des virus tout comme nous. On prend ce qui existe déjà dans la nature et on le concentre afin d’avoir un impact sur cette bactérie », conclut M. Ebner.

La souche d’E. coli testée par Ebner et ses collègues aurait fait à elle seule 20 morts et causé plus de 60 000 maladies aux États-Unis, en 2011 seulement.

Les résultats de l’étude de l’Université Purdue ont été publiés dans le Journal of Animal Science.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Un Québécois sur trois ignore sa prescription

Radio-Canada rapporte une statistique étonnante qui porte à réflexion, alors qu’une nouvelle étude affirme que le tiers des Québécois ne respecte pas les ordres du médecin lorsque celui-ci effectue une prescription.

Un Québécois sur trois, donc, ignorerait le traitement prescrit par son médecin, un résultat qui étonne les chercheurs de l’Université McGill en tête de l’étude. Malgré tout, la statistique ressemble au résultat obtenu chez nos voisins du sud, alors que les États-Unis affichent des résultats semblables en la matière.

Les raisons de ces refus d’obtempérer ne sont pas encore connues, puisque l’étude en question ne comprend pas de sondage à cet effet. On ne peut donc que spéculer sur les résultats obtenus par l’épidémiologiste Robyn Tamblyn, mais on peut s’attendre à ce que la peur des médicaments et leurs coûts parfois très élevés soient au cœur du phénomène.

38 % des prescriptions d’antidépresseurs, par exemple, ne seraient pas respectées par les patients, un sommet dans cette étude. Encore plus inquiétant, un nombre élevé de prescriptions de médicaments contre l’insuffisance coronaire, l’hypertension artérielle, le cholestérol et le diabète ne sont également pas respectées.

Les conclusions et statistiques de l’étude ont été publiées dans les Annals of Internal Medicine.

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Premier cas de transmission de tuberculose du chat à l’homme

Première aussi insolite que terrifiante dans le monde médical, alors que Top Santé rapporte la première transmission recensée de la tuberculose du chat à l’homme.

Deux cas sont en fait rapportés, mais la transmission proviendrait du même chat, les deux victimes de cette première s’avérant les maîtres du félin en question.

Ces derniers seraient hors de danger et répondraient bien aux traitements offerts, selon les dernières informations. La porte est cependant ouverte pour d’autres cas du genre, un phénomène qui inquiète certains spécialistes.

« Davantage de cas de tuberculoses pourraient être observés dans le futur, en particulier chez des personnes immunodéprimées, jeunes ou âgées, si la transmission du chat à l’homme prenait de l’ampleur », explique le service de santé publique britannique (PHE).

On invite cependant la population européenne à rester calme et à ne pas se lancer dans une « chasse aux chats », le phénomène demeurant pour l’instant largement marginal.

D’autres détails sont à venir dans ce dossier, alors que la tuberculose effectue un étonnant retour dans l’actualité au cours des derniers mois et des dernières années.

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Un stimulateur électrique en traitement des maux de dos

Une innovation médicale et technologique en provenance de l’Irlande pourrait donner de l’espoir aux milliers, voire millions, de personnes qui souffrent d’importants maux de dos dans le monde, selon ce que rapporte Top Santé.

La compagnie irlandaise Mainstay Medical travaille à mettre au point un stimulateur électrique capable de stimuler les muscles bloqués et la colonne vertébrale, et ainsi traiter les douleurs.

Le stimulateur, baptisé ReActive8, a été mis à l’essai auprès d’un groupe de 26 patients, et les résultats sont jusqu’ici intéressants. Du groupe de sujets, 74 % affirment ressentir une amélioration significative de leur état, alors que 85 % estiment que le stimulateur améliore carrément leur qualité de vie.

Mieux encore, 45 % des patients déclarés invalides au travail ont pu reprendre le boulot grâce à l’appareil.

« Cet appareil a essentiellement été conçu pour les actifs qui ont de 45 à 55 ans, qui souffrent du dos depuis plus de 10 ans et ont tout essayé pour venir à bout de leur lombalgie, en vain », explique Peter Crosby, de Mainstay Medical.

D’autres essais sont prévus, et l’équipe derrière le ReActive8 espère pouvoir le commercialiser d’ici la fin de l’année 2015.