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Percée majeure dans le traitement de la tuberculose

Deux chercheurs de la Faculté de médecine Albert Einstein de New York viennent de faire une découverte majeure dans le traitement de la tuberculose.

Dans les dernières années, une nouvelle souche de la maladie est apparue et se montre plus résistante aux antibiotiques. La maladie fait encore 2 millions de victimes par année dans le monde.

La tuberculose contient un enzyme qui la protège des antibiotiques. Les chercheurs ont toutefois découvert qu’en combinant le clavulanate de potassium et le méropérème, ils obtiennent des résultats plus que prometteurs. Le premier fragilise la bactérie, qui est ensuite attaquée de plein fouet par le deuxième médicament.

On espère pouvoir faire de premiers essais cette année sur des malades en Corée du Sud et en Afrique du Sud.

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Un nouveau traitement pour le cancer de la prostate?

Selon le Dr Israel Barken et ses collègues, la noscapine, un dérivé de l’opium, réduit de 60 % la progression du cancer de la prostate chez des souris, qui n’ont pas souffert d’effets secondaires au cours du traitement.

Pour cette recherche, publiée dans la revue Anticancer Research, 10 rongeurs ont consommé quotidiennement de l’eau enrichie de noscapine pendant 56 jours.

Une autopsie a ensuite permis de déterminer que, chez les souris qui avaient bu la substance, les cellules cancéreuses étaient moins nombreuses que chez celles qui n’avaient bu que de l’eau.

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Gare aux sites Web qui promettent des miracles!

Une étude, menée par des chercheurs de l’Université de l’Alberta, déplore la prolifération des sites Internet qui offrent aux consommateurs des traitements à base de cellules souches.

Vantés comme étant sécuritaires, efficaces et simples, les traitements sont loin de faire l’unanimité, entre autres pour leur vision trop optimiste des traitements.

Le Dr George Daley, ancien président de l’International Society for Stem Cell Research, a commenté ces résultats : « Je crois que ces sites Web sont dangereux. Ils embellissent les promesses d’efficacité et de sécurité de la thérapie. Ils sous-estiment complètement les risques et diffusent de la fausse information aux consommateurs. »

Ces sites prétendent, entre autres, pouvoir guérir des maladies comme la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et l’Alzheimer.

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Les sites de santé qui rendent hypocondriaque

Une surprenante étude, réalisée par Microsoft, nous apprend que les internautes qui vont en ligne pour s’informer sur les symptômes, les traitements d’une maladie et le pronostic seraient anxieux au point de développer des problèmes de santé.

Les auteurs derrière ces résultats, Ryen White et Eric Horvitz, affirment qu’une recherche dans le Web concernant des maladies a pour effet d’augmenter l’anxiété de souffrir de celles-ci.

« Internet a le potentiel d’accroître l’anxiété des gens qui ont peu ou pas de connaissances médicales, particulièrement quand il est utilisé pour rechercher un diagnostic », mentionnent les chercheurs.

Qualifiés de « cyberchondriaques », les participants à cette étude ont tendance à interpréter des symptômes banals comme un signe de maladie. « De telles surenchères peuvent provoquer une anxiété, un investissement en temps et des dépenses de santé inutiles », concluent les auteurs.

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Essai concluant pour un traitement du cancer de la peau

Une équipe de scientifiques de l’Université Queensland, en Australie, a réussi à mener à terme les essais cliniques d’un vaccin contre le cancer de la peau administré à des souris.

La prochaine étape sera de faire les tests sur des humains dès l’an prochain. S’ils sont concluants, les chercheurs espèrent que leur traitement sera disponible d’ici 10 ans.

Malgré tout l’espoir que suscite ce vaccin, le Dr Ian Frazer affirme qu’il ne pourra pas traiter tous les types de cancers de la peau. La prévention contre les rayons UV demeure le meilleur moyen de se protéger contre ce type de cancer, qui est en constante progression depuis les 30 dernières années.

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Le traitement contre le cancer affecte la masse osseuse

Selon le Dr Fred Saad, de l’Université de Montréal, les personnes qui sont traitées contre les cancers du sein et de la prostate pourraient voir leur masse osseuse diminuer. Ce phénomène aurait pour conséquence de les rendre plus vulnérables à l’ostéoporose et aux fractures.

Ce sont les traitements avec les inhibiteurs d’aromatase, les bisphosphonates et l’hormonothérapie anti­androgénique qui occasionnent une perte de la masse osseuse, qui peut varier entre 5 à 45 %.

« Cette incidence de perte osseuse associée au cancer ne peut que susciter une prise de conscience chez les cliniciens qui se devront d’identifier les patients les plus sujets aux fractures et leur prescrire les traitements appropriés », a souligné le Dr Saad.

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Nouveau traitement contre la maladie de Parkinson

Les Canadiens aux prises avec la maladie neurodégénérative de Parkinson pourront désormais être traités avec le Stalevo.

Ce nouveau médicament s’adresse particulièrement aux personnes atteintes de la maladie de Parkinson idiopathique et qui présentent des signes et des symptômes d’épuisement de l’effet thérapeutique en fin de dose.

« Stalevo permet de mieux contrôler les symptômes de la maladie avec moins de prises de médicaments. Les patients et leurs aidants naturels peuvent ainsi jouir d’une plus grande indépendance et vaquer plus facilement à leurs activités quotidiennes », a souligné le Dr Michel Panisset, neurologue et codirecteur de l’unité des troubles du mouvement André-Barbeau du CHUM.

Les éléments actifs du Stalevo sont le lévodopa, le carbidopa et l’entacapone, qui vont ainsi remplacer la combinaison lévodopa-carbidopa à libération immédiate et de l’entacapone, préalablement administrés en tant que produits distincts.

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Un vaccin contre le zona

Merck Frosst Canada a reçu le feu vert de Santé Canada afin de commercialiser au pays le Zostavax, le premier vaccin pour la prévention du zona chez les personnes de 60 ans et plus, reconnu pour réactiver le virus responsable de la varicelle.

Dès 2009, le traitement sera offert dans les pharmacies au pays.

Cette maladie s’accompagne souvent de démangeaisons cutanées et d’éruptions de vésicules qui causent chez 50 % des gens de plus de 60 ans une douleur invalidante, appelée névralgie postzostérienne.

D’autres symptômes, comme la fatigue, la perte de vision, les troubles du sommeil et la dépression peuvent aussi être observés chez les patients aux prises avec le zona.

Les essais cliniques du nouveau médicament démontrent que le Zostavax réduit l’incidence de zona de 60 % chez les personnes âgées de 60 à 69 ans et de 51 % dans tous les groupes d’âge, comparativement au placebo. Le vaccin est aussi efficace dans 73 % des cas afin d’atténuer la douleur.

Parmi les effets secondaires, on note une rougeur, une douleur, une enflure, des démangeaisons, une chaleur et une ecchymose au point d’injection.

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Trop d’attente avant le traitement du cancer du sein

Lors de la 5e conférence mondiale sur le cancer du sein qui se tenait à Winnipeg, le Réseau canadien sur le cancer du sein a dévoilé les résultats d’une récente enquête : plusieurs patientes souffrant du cancer du sein doivent attendre avant d’avoir accès aux traitements.

Le regroupement d’organismes déplore que les autorités de la santé n’aient pas de normes d’attente en ce qui concerne la chirurgie ou la chimiothérapie. En matière de radiothérapie, seulement la moitié des provinces affichent des temps d’attente qui égalent ou surpassent la norme nationale de quatre semaines.

Pire encore, dans certaines provinces, le temps d’attente n’est pas compilé par les autorités.

Pour la présidente du Réseau canadien sur le cancer du sein, Mme Diana Ermel, les temps d’attente pour obtenir un traitement du cancer du sein et l’accès aux médicaments doivent demeurer au premier plan des préoccupations.

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La chimiothérapie plutôt que la radiothérapie

Selon l’équipe du Dr Tim Olivier, de l’hôpital St. Bartholomew à Londres, les hommes atteints du cancer du testicule répondent aussi bien à une dose unique de chimiothérapie qu’à la radiothérapie.

« Ces travaux montrent qu’une dose de chimiothérapie à base de sel de platine, après une intervention chirurgicale pour enlever le testicule affecté, est une nouvelle alternative sans risque à la radiologie pour les patients atteints d’une tumeur testiculaire précoce préférant un traitement plus court», a expliqué le Dr Olivier lors de la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology.

D’autres recherches devront être effectuées afin d’analyser les possibilités d’éviter l’ablation du testicule touché par le cancer grâce à une simple éradication des cellules cancéreuses suivie d’une chimiothérapie.

Chaque année, 8 000 hommes, particulièrement âgés de 15 à 35 ans, reçoivent un diagnostic du cancer du testicule. La majorité d’entre eux sont traitables par une chirurgie et ensuite une exposition à la radiothérapie.