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La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.

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Le champignon shiitake en prévention du VPH et du cancer?

Le champignon shiitake pourrait-il permettre de contribuer à la prévention et au traitement du VPH et du cancer cervical? C’est la conclusion qui semble ressortir d’une étude américaine rapportée par le Daily Mail (UK), voulant que l’aliment en question puisse carrément détruire le virus du papillome humain (VPH).

Un effet qui aurait également le grand avantage de prévenir du cancer cervical souvent associé au VPH, comme plusieurs cas et recherches l’ont démontré au cours des dernières années.

Hautement contagieux, le VPH fait des siennes chez les femmes depuis un bon moment maintenant, et l’annonce d’un possible traitement à l’aide d’extraits de champignon shiitake s’avère une bonne nouvelle, quasi miraculeuse.

Des essais sur des souris ont démontré l’impact du champignon sur la destruction du virus, sur une période de 90 jours.

« Les résultats de cette étude ont été vraiment encourageants », lance la Dre Judith Smith de l’Université du Texas.

D’autres recherches et essais sont attendus sur le sujet, mais les résultats préliminaires permettent de croire à un nouveau traitement possible du VPH.

Les conclusions de l’étude ont été présentées lors du 45e Annual Meeting on Women’s Cancer de la Society of Gynecological Oncology, du côté de Tampa en Floride.

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Un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une petite étude britannique qui semble démontrer une certaine efficacité d’un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques.

Le médicament en question est le simavastin, commercialisé sous le nom de Zocor, qui semble prévenir la contraction du cerveau dans les cas de sclérose en plaques.

On parle même d’une réduction de ce symptôme pouvant aller jusqu’à 43 % chez certains patients en deuxième stage progressif de sclérose en plaques, une excellente nouvelle.

Le Zocor permettrait donc d’établir une nouvelle façon de faire en traitement de la maladie, si d’autres tests plus poussés venaient à confirmer son double effet.

« L’effet est sous réserve et nécessite une plus grande étude de phase 3, mais semble prometteur pour tous les types de sclérose en plaques. Parce qu’il s’agit d’un médicament (Zocor) déjà approuvé, dont on connaît le profil et qui s’avère peu coûteux, il pourrait devenir possible de l’utiliser assez rapidement si d’autres études confirment l’effet suggéré », résume bien la Dre Jacqueline Palace, neurologiste consultante pour l’Université Oxford.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 19 mars du Lancet.

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Nouvelle avancée dans la quête d’un traitement contre la leucémie

Radio-Canada rapporte une avancée spectaculaire et importante en recherche contre la leucémie et dans la quête pour un traitement de la maladie.

Il appert que des chercheurs de l’Université de Montréal et des spécialistes de la Banque de cellules leucémiques du Québec de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont seraient finalement parvenus à stabiliser et maintenir des cellules souches leucémiques à l’extérieur d’un organisme humain.

Ce qui peut sembler ne pas être une bonne nouvelle du tout s’avère pourtant l’une des clés afin de permettre aux chercheurs d’étudier plus efficacement ces cellules, afin d’en comprendre les comportements.

Les chercheurs, après avoir identifié deux composantes spécifiques, peuvent maintenant « conserver » des cellules souches leucémiques en dehors du corps pour une période pouvant aller jusqu’à sept jours.

On peut donc s’attendre à une augmentation de la qualité des recherches en laboratoire dans la quête d’un traitement contre la leucémie et au développement de nouveaux médicaments contre la maladie, selon cette même source.

Les résultats obtenus par les chercheurs montréalais ont été publiés dans le magazine Nature Methods.

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Pourquoi les femmes sont-elles plus susceptibles de décéder d’un infarctus?

Deux articles publiés successivement, qui se basent sur une étude canadienne, soulèvent en résumé une seule question plutôt inquiétante : les femmes sont-elles plus susceptibles de décéder d’un infarctus que les hommes, et si oui, pourquoi?

D’abord, Le Devoir nous explique que oui, les femmes ont plus de risques de mourir des suites d’un infarctus, et nous apprend que celles-ci attendraient plus longtemps aux urgences que leurs confrères masculins dans une situation similaire.

Le quotidien révèle que les hommes attendraient en moyenne 15 minutes à l’urgence pour subir un électrocardiogramme, alors que le temps d’attente des femmes oscillerait plutôt autour de 21 minutes. La norme pour assurer la sécurité des patients serait pourtant de 10 minutes d’attente avant un électrocardiogramme.

Plusieurs stéréotypes pourraient expliquer le phénomène, par exemple que les femmes se « plaindraient moins » ou ressentiraient peut-être moins de douleur évidente à la poitrine comme les hommes.

Top Santé, du côté de la France, va plus loin en interprétant que plusieurs médecins pourraient confondre les symptômes d’infarctus avec de l’anxiété ou une crise de panique.

Quoi qu’il en soit, il s’agit de révélations coup de poing, non seulement envers les femmes, mais aussi envers tous les patients qui se présentent à l’urgence la peur au cœur.

Ces conclusions sont celles d’une équipe de chercheurs de l’Université McGill à Montréal.

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L’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec en promotion

Mon Réseau Plus, l’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec, va de l’avant et cherche à promouvoir les bienfaits de ses services offerts à la population.

Un communiqué de presse nous invite donc à visiter monreseauplus.com, un site web qui propose plusieurs informations concernant les services offerts par les massothérapeutes du Québec, et sur les bienfaits pour la santé qui s’y rattachent.

On y propose d’abord un résumé de la lecture scientifique se rattachant à la discipline de la massothérapie et de ses bienfaits reconnus.

Puis sont mentionnés les différents troubles de la santé qui peuvent être traités, ou partiellement traités, par des séances de massothérapie.

Du lot, les douleurs musculosquelettiques, la fatigue chronique, le stress et l’angoisse, les troubles de migraine, les douleurs chroniques et lombaires ainsi qu’au cou et aux épaules, les inflammations musculaires et même les troubles psychologiques comme la dépression, par exemple.

L’Association se réjouit d’enfin recevoir des appuis et une certaine reconnaissance du milieu scientifique, et invite la population à se renseigner sur les diverses possibilités qu’offre la massothérapie.

Plusieurs programmes d’assurances ou d’emploi proposent des séances de massothérapie remboursées par le gouvernement, l’employeur ou un régime privé.

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Le raisin bénéfique à la santé des reins

Medical News Today rapporte la publication d’une nouvelle étude qui vante les bienfaits du raisin sur la santé des reins, notamment en prévention de la formation de kystes.

Ces conclusions sont celles d’une équipe de chercheurs de l’Université de Londres, qui attire notre attention vers l’une des composantes du raisin, la naringénine, aussi présente dans certains agrumes.

La naringénine aurait démontré de façon claire sa capacité à prévenir la formation de kystes aux reins, un trouble de santé qui peut mener à de sérieuses conséquences.

Cette découverte a été proposée par l’équipe britannique dans le cadre de la Journée mondiale du rein, qui avait lieu hier (13 mars).

« La découverte est vitale afin de nous aider à comprendre comment contrôler la maladie et, ultimement, la traiter. Les maladies du rein peuvent lourdement handicaper ou même être fatales, et trouver un traitement est une priorité urgente en santé », lance le professeur Robin Williams.

La principale maladie dont fait allusion le professeur Williams est la maladie polykystique des reins, qui mène souvent à des problèmes de haute pression et à la perte des fonctions rénales.

D’autres tests seront effectués pour mieux comprendre les possibles applications de la naringénine retrouvée dans le raisin, en prévention de maladies rénales.

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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Près d’un homme dépressif sur deux préfère la psychothérapie

Avec la hausse vertigineuse de la consommation de médicaments au Québec et au Canada, qui vient d’ailleurs de fracasser un record pour 2012-2013, on s’inquiète de plus en plus du phénomène de surconsommation.

C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les antidépresseurs, que l’on semble enclin à prescrire dans plusieurs cas. Or, une nouvelle étude trace un portrait différent de la réalité, rapporte Radio-Canada.

La recherche dévoile qu’un homme sur deux atteint de dépression aimerait mieux un traitement par psychothérapie plutôt que par médication, et donc par antidépresseurs. Les chiffres sont encore plus éloquents du côté des femmes, alors que trois femmes sur quatre opteraient elles aussi pour la thérapie et les soins psychologiques.

C’est après avoir sondé 88 patients que les chercheurs ont pu en arriver à cette conclusion, qui trace un portrait différent de ce que la perception populaire nous propose en ce moment.

Encore faut-il que les médecins soient à l’écoute de ces demandes, et qu’ils ne soient pas trop rapides à sortir le carnet de prescription…

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine Journal of Affective Disorders.

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Leucémie : Un traitement expérimental pourrait augmenter les chances de survie

The National Library of Medicine rapporte la création d’un nouveau type de traitement contre la leucémie, qui semble faire ses preuves à la suite des premiers essais expérimentaux.

Baptisé l’idelalisib, le traitement sous forme de médicament permettrait d’augmenter considérablement les chances de survie à la maladie, croient des chercheurs de l’Université de Californie.

De plus, le traitement s’effectuerait sans chimiothérapie et causerait donc moins de dommages et de problèmes aux patients qui le subiraient.

« Je crois que si l’idelalisib est approuvé, les patients ont une chance de voir une incroyable extension de leurs chances de survivre en bonne santé », explique par ailleurs David Fruman, professeur à UCLA.

D’autres experts ont déjà qualifié ces résultats de « fantastiques », et on sent un véritable enthousiasme chez des professionnels pourtant largement modérés la plupart du temps.

On attend donc maintenant les conclusions de la FDA, qui doit évaluer le produit et donner son aval au lancement.

Les résultats et analyses concernant l’idelalisib ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.