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Un regroupement canadien veut un meilleur accès aux médicaments contre le cancer

Un regroupement canadien, la coalition CanCertitude, va de l’avant et demande un accès plus universel aux médicaments pour les personnes atteintes de cancer, rapporte Radio-Canada.

CanCertitude, qui regroupe près de trente organismes, croit que les patients ontariens et des provinces de l’Atlantique, notamment, n’ont pas droit au même traitement que les autres, et affirme que la couverture santé n’est pas adéquate dans bien des cas.

On sait que les traitements par médicaments dans les cas de cancer se chiffrent souvent dans les milliers de dollars, un stress que les patients n’ont pas besoin de subir en période déjà extrêmement tendue.

Sauf que pour plusieurs spécialistes, à commencer par l’oncologue ontarien Sandy Sehdev, l’avenir de la lutte au cancer passe justement par des traitements oraux. Une amélioration de l’accès aux médicaments s’impose donc.

Les traitements intraveineux contre le cancer sont présentement pris en charge par l’État, parce qu’ils sont offerts en centre hospitalier.

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Deuxième bébé guéri du VIH : des spécialistes optimistes

Suite à l’annonce d’un deuxième bébé atteint du VIH traité avec succès, plusieurs spécialistes se montrent très optimistes pour la suite des choses en matière de lutte au SIDA, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’on se garde de brûler les étapes et qu’on tienne à rester prudent, la communauté scientifique se réjouit de voir que les nouvelles méthodes de traitement du VIH chez les nouveaux nés commencent à porter ses fruits.

Les puissants médicaments antirétroviraux administrés aux bambins pourraient donc s’avérer un traitement concluant, après que plusieurs experts aient soulevé des inquiétudes par rapport à ces méthodes jugées agressives.

« On devra attendre les données des essais. On ne veut pas sauter aux conclusions et aller trop vite. Mais, les données montrent que lorsqu’on traite un bébé immédiatement, on peut en fait le guérir. Ça change la question de l’équation risque/bénéfice. Ça peut faire pencher les médecins vers une décision de traitement immédiat. », explique le Dr Anthony Fauci, directeur de la National Institute of Allergy and Infectious Diseases.

Le tout premier bébé officiellement guéri du VIH a maintenant trois ans, et se porte bien.

On estime à 1000 nouveaux nés par jour qui naissent avec le virus du VIH, à travers le monde. Ces deux cas de guérison pourraient donc paver la voie à l’éradication du virus à la naissance, mais seul l’avenir pourra confirmer cette théorie.

L’annonce de ce deuxième cas a été effectuée lors de la Conférence sur les rétrovirus et infections opportunistes, présentée à Boston.

 

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Une diète calorique en traitement de la maladie de Lou Gehrig ?

Rares sont les patients qui se voient prescrire une nouvelle diète à forte teneur calorique et en glucides.

C’est cependant ce qui pourrait se produire dans le cas de certains patients atteints de la maladie de Lou Gehrig, ou sclérose amyotrophique latérale, selon des informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un bilan positif de certains essais effectués par des spécialistes, et qui ont testé les impacts d’une diète à forte teneur en calories et en glucides sur des patients atteints de la maladie de Lou Gehrig.

Ces derniers auraient affiché une certaine amélioration de leur état de santé, tout en reprenant un peu de poids perdu à cause de la difficile maladie.

« Donner plus d’énergie à nos patients qu’ils n’en brûlent ou n’en ont de besoin peut contribuer à prévenir la progression de la maladie, et pourrait même augmenter les taux de survie. », explique avec espoir Dr Anne-Marie Wills, chercheuse principale de l’étude.

D’autres tests devront être effectués afin de voir les possibles applications futures d’une diète calorique à forte teneur en glucides en traitement de la maladie de Lou Gehrig.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans l’édition en ligne du magazine Lancet

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Le traitement précoce de la dépression réduit les risques d’AVC

Il existe un lien connu des spécialistes entre la dépression et un risque accru d’accident cardiovasculaire, rapporte The National Library of Medicine, et une nouvelle étude vient maintenant donner l’espoir de combattre le phénomène.

Ce sont des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, en analysant les impacts de deux types de traitement de la dépression sur la santé cardiovasculaire et les risques d’AVC.

235 personnes ont participé à l’étude, dont la moitié a bénéficié d’un traitement précoce de la dépression composé d’antidépresseurs et de psychothérapie. La deuxième portion du groupe a dû se contenter d’un traitement « standard » choisi par un médecin praticien.

En comparant les résultats après une période de suivi de huit longues années, les chercheurs de l’Indiana ont constaté une baisse significative des risques d’AVC liés à la dépression chez les patients du premier groupe.

« Ultimement, cette ligne de recherche pourrait produire une nouvelle approche en prévention des maladies cardiovasculaires », croit l’auteur de l’étude, Jesse Stewart.

L’étude initiale se voulait davantage une analyse des traitements contre la dépression, mais ses résultats pourraient contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire des patients qui en souffrent, en plus de celle des patients à la santé cardiaque fragile.

Ces résultats sont considérés comme préliminaires, mais ouvrent la porte à de nouvelles révélations et percées en matière de prévention des AVC et des maladies cardiovasculaires.

L’étude de Jesse Stewart a été publiée dans l’édition de janvier du Psychosomatic Medicine.