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Christie Brinkley regrette l’usage de Botox

Christie Brinkley affirme que les injections de Botox qu’elle a eues au visage sont un « désastre ».  

La femme de 61 ans n’a jamais caché avoir aidé la nature avec différents traitements. Selon le DailyMail, Christie Brinkley est satisfaite du résultat obtenu, sauf pour son visage.

Elle mentionne : « L’injection de Botox dans mon front fut un désastre. Avec le recul, je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela. Plutôt que d’avoir l’air relaxe et sereine, le Botox m’a donné un air triste. Mon visage manquait d’expression et je ne pouvais qu’attendre que les effets du Botox s’atténuent. Je n’ai plus jamais refait de Botox dans le front. »

Malgré cette mauvaise expérience, Christie Brinkley n’a pas hésité à refaire du Botox pour d’autres parties de son corps. « Plus récemment, j’ai constaté des bandes verticales sur mon cou, particulièrement apparente sur le côté. Je n’aimais pas cela et j’ai demandé ce qu’il était possible de faire. Apparemment, de petites injections de Botox vont corriger cela. »

Christie Brinkley est devenue une star de la mode dans les années 70. Durant 20 ans, elle fut le visage de la marque CoverGril.

Photo : BANG/BIG

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Les traitements de fertilité concernent davantage les femmes hétérosexuelles

En fait, les femmes hétérosexuelles caucasiennes sont deux fois plus susceptibles de recourir à l’aide médicale pour tomber enceinte que leurs pairs homosexuelles ou de toute autre nationalité, lance une étude de l’Université de Virginie.

Les experts ont analysé les données d’une enquête effectuée auprès de 19 222 femmes âgées de 21 à 44 ans. Il appert que 13 % des femmes de race blanche hétérosexuelles ont profité de traitements de fertilité (assistance médicale, conseils de médecins spécialisés, chirurgie ou insémination artificielle).

Chez les femmes lesbiennes, ce sont 7 % d’entre elles qui ont eu recours à l’assistance médicale, et il en est de même pour les femmes de minorité visible. Chez les femmes bisexuelles ou homosexuelles de toutes autres nationalités, seulement 1 % d’entre elles ont profité de traitement de fertilité.

L’auteure principale de l’étude, Bernadette V. Blanchfield, suppose que l’une des principales raisons de cet écart constitue des assurances plus complètes chez les femmes caucasiennes.

L’étude parue dans le journal Health Psychology reproche au système d’être injuste et de manquer d’équité envers les femmes, rapporte Science World Report. 

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Une invention 3D qui pourrait aider à traiter les troubles du cerveau

Cette invention serait en mesure d’accélérer la recherche, de trouver des remèdes pour la démence ou encore de mieux comprendre les traumatismes et problèmes cérébraux.

Ce premier tissu cérébral vivant représente une percée et une avancée exceptionnelle dans le domaine de la recherche des troubles neurologiques. 

« Vivant » jusqu’à deux mois en laboratoire, le « faux cerveau 3D » permettra aux scientifiques de découvrir comment les médicaments agissent à court et long terme sur le traitement de maladies et traumatismes tels que la démence et les AVC. 

Comme l’indique The Telegraph, ils pourront aussi observer comment on peut soigner les zones endommagées après des blessures à la tête et des maladies dégénératives qui s’étalent sur un certain temps. 

« Nous pouvons observer les maladies neurologiques d’une façon qui nous était impossible à cause des délais nécessaires pour étudier certaines des maladies clés du cerveau », explique le Dr. David Kaplan de l’Université Tufts à Boston. 

Le nouveau tissu cérébral 3D est composé d’un gel spécial pour favoriser la croissance des neurones. Il a six anneaux concentriques qui imitent les six couches du cortex du cerveau humain, où existent différents types de neurones.  

L’étude a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. 

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La découverte d’une nouvelle protéine pourrait aider les diabétiques

FGF1 pourrait donc être introduite dans les nouveaux traitements contre le diabète, explique Santé Log.

Parue dans la revue Nature, l’étude américaine qui a été réalisée auprès de souris pourrait s’avérer bénéfique à l’homme atteint de diabète de types 1 et 2.

En ce qui a trait aux diabétiques de type 1, la protéine FGF1 pourrait aider à stabiliser le taux de glycémie. Cependant, les personnes qui en sont atteintes devraient poursuivre les injections d’insuline.

Pour les personnes catégorisées dans le type 2, la protéine FGF1 signifie la possibilité d’un traitement efficace complet.

Le site Santé Log explique en détail certaines étapes de l’analyse. « Des injections répétées de FGF1 tous les 2 jours pendant 35 jours chez la souris améliorent leur sensibilité à l’insuline et réduisent leur glycémie sans effets secondaires graves.»

Dans certains cas, l’un des inconvénients pourrait être la prise de poids, relève l’étude qui compare les effets secondaires de la nouvelle protéine à d’autres antidiabétiques oraux, comme les thiazolidinediones ou les glitazones.

Crédit photo : Rustle/Bigstock.com

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Des traitements naturels pour combattre les phobies

L’objectif de ces trois techniques est de trouver les ressources nécessaires en soi sans avoir recours à la médication.

L’hypnothérapeute est un professionnel qui tentera de faire de l’introspection avec le patient. Ce professionnel essaiera en quelques séances, selon l’ampleur du problème et de la volonté de la personne, de trouver un « point d’ancrage » lié à un souvenir rassurant, heureux ou une belle émotion.

En cas de crise, le patient parviendra à penser à ce sujet serein lorsqu’il aura peur et pourra, à long terme, arriver à oublier sa phobie, explique Top Santé.

Pour éviter la panique, les gens qui ont recours à la sophrologie apprendront à confronter leur peur grâce à divers outils et techniques de relaxation les aidant à mieux se contrôler, se calmer et respirer. Habituellement, de 5 à 6 séances sont requises.

L’ostéopathe quant à lui travaillera en collaboration avec le psychologue ou sophrologue. Son objectif sera de réguler les réactions physiques telles que la transpiration, l’accélération du rythme cardiaque, les vertiges et autres manifestations lorsque le patient a peur.

Il rééquilibrera une partie du système nerveux appelé le système orthosympathique, bouleversé lorsqu’une personne est en situation de peur extrême.

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La maladie de Crohn chez les enfants

Des enfants aussi jeunes que 6 ans peuvent parfois donner l’impression d’être victime d’une vilaine gastro (diarrhée, forte fatigue, fièvre), mais il s’avère qu’ils sont touchés par des maladies inflammatoires de l’intestin.

Avant que les signes de mauvaise digestion se prononcent, un retard de croissance et de puberté serait un indice de la maladie de Crohn, avance Frank Ruemmele, gastro-pédiatre à l’hôpital Necker à Paris. 

Un enfant sur deux atteint de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) aura la maladie de Crohn. Héréditaire dans le cas d’un enfant sur trois, il est encore complexe pour les chercheurs de connaître la source première de cette maladie, mais il existe plusieurs hypothèses.

Entre autres, la modification de l’alimentation (moins d’allaitement qu’auparavant) et une meilleure hygiène, ce qui ne laisse pas place à une défense immunitaire suffisante au niveau du système de digestion. Pour les spécialistes, par contre, il ne s’agit pas d’allergies ou d’intolérances alimentaires.

Le site de Top Santé indique que « se nourrir exclusivement durant six à huit semaines d’un lait spécial (Modulen IBD, Elemental 028…), peut agir comme un médicament anti-inflammatoire très puissant. »

Jusqu’à la majorité, les enfants malades doivent consulter leur gastro-entérologue quatre fois par année.

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Infertilité, pourquoi les Canadiens abandonnent les traitements

TodaysParent, en partenariat avec EMD Inc, a déployé un sondage pour connaître les raisons qui font perdre espoir aux couples infertiles souhaitant atteindre leur rêve de fonder une famille.

Voici quelques-unes des réponses obtenues :

En premier lieu, les coûts, bien entendu. Mais plus en détail, ce n’est pas seulement le montant global, mais le manque de couverture des assurances et, en parallèle, le manque de soutien du gouvernement du Canada. Plus spécifiquement :

– 84 % ont affirmé que le coût des traitements de fertilité était trop élevé.

– 61 % ont dit que la couverture des plans médicaux des assurances était trop restreinte.

– 44 % ont constaté le manque de soutien financier de la part du gouvernement.

D’autre part, les frais couverts sont différents d’une province à l’autre au Canada.

En second lieu, c’est le manque de cliniques de fertilité à proximité qui a découragé 32 % des répondants. Par exemple, au Manitoba, elles sont pratiquement inexistantes.

Là où les réponses surprennent, c’est concernant les croyances religieuses ou la crainte des préjugés, notamment. En effet, certains couples ont dénigré le manque d’adaptation des méthodes en clinique en lien avec leurs croyances religieuses et la procréation. Alors que plusieurs répondants (près d’un sur 4) ont admis qu’ils craignaient d’être jugés et de se faire dire d’adopter des enfants.

Pour voir en détail le tableau des résultats du sondage, allez sur Todaysparent.com.

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Parents : les premiers soins à connaître

Quand on a des enfants, il nous est parfois nécessaire de se transformer en infirmier ou infirmière de fortune. C’est pourquoi il est essentiel de connaître la base des premiers soins afin de les prodiguer en cas d’incident. Certains de ces soins sont mentionnés sur She Knows.

La RCR, réanimation cardiorespiratoire, devrait être connue de tous, et non seulement des parents. Elle peut faire toute la différence alors que la victime attend l’ambulance. La Croix-Rouge et l’ambulance St-Jean offrent des formations reconnues.

Un empoisonnement peut être rapidement fatal. La chose à ne pas faire, à moins d’avoir reçu des indications contraires de l’intervenant lors de l’appel d’ambulance, est de donner de l’eau et de faire vomir la victime. Apprendre les différents signes d’empoisonnement pourrait sauver la vie de votre enfant.

Les piqûres d’insectes doivent être prises au sérieux. Ne jamais enlever le dard en tirant dessus. Grattez plutôt à l’aide d’une carte de crédit. Lavez l’endroit piqué et appliquez de la glace. Si le visage ou le cou est atteint, voyez un médecin.

En cas d’étouffement, l’âge de l’enfant déterminera la technique à appliquer. La manœuvre de Heimlich, par exemple, est réservée aux enfants de plus de 1 an.

Très communs aussi, les brûlures et les saignements de nez ont de quoi faire paniquer nos petits. Savoir comment les gérer avec assurance les calmera certainement.

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Les traitements de fertilité causeraient un stress post-traumatique

Les chercheurs ont interrogé 142 patientes qui recevaient des traitements de fertilité pour découvrir que plus de 46 % d’entre elles présentaient les symptômes d’un stress post-traumatique. Elles étaient bouleversées de se faire rappeler leur infertilité en permanence durant le traitement, se sentaient distantes et coupées du reste du monde ou avaient un sentiment de désespoir.

Les scientifiques ont été surpris de ce chiffre puisque dans la population, on estime que 8 % des gens vivront un tel stress.

« Avoir des enfants, agrandir votre famille, qui transmettra votre code génétique, c’est une pulsion que nous avons instinctivement en tant qu’êtres humains. Et si c’est menacé, ce n’est pas nécessairement votre vie qui est menacée, mais vos attentes face à ce que votre vie pourrait être ou devrait être », mentionne la chercheuse principale de cette étude, Allyson Bradow.

Selon elle, les femmes qui suivent ce genre de traitement devraient être conseillées durant cette période qui affectera leur moral.

Rappelons que près d’un quart des couples ne parviennent pas à avoir un enfant après un an de tentatives sans contraception, et plus de 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans.

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Les traitements contre l’infertilité sans risques de cancer

Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.

En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.

L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.

Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.

Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.

De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.