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De nouveaux espoirs contre des formes agressives du cancer de la peau

Les traitements expérimentaux Dabrafenib et Trametinib de l’entreprise pharmaceutique GlaxoSmithKline semblent fort prometteurs contre les mélanomes avancés, une des formes les plus agressives du cancer de la peau, indique Radio-Canada.
 
Ces deux médicaments anti-cancer ciblent des mécanismes spécifiques des tumeurs. Le Dabrafenib empêche le gène mutant BRAF de produire une protéine qui augmente la progression du mélanome, alors que le Trametinib neutralise la protéine MEK qui favorise la croissance du cancer.
 
Dans les premiers essais cliniques avec le Dabrafenib, les patients ont pu avoir 4,8 mois sans voir leur cancer progresser, et leurs risques de décès ont chuté de 46 %.
 
Pour les deuxièmes essais cliniques avec le Trametinib, les risques de progression de la maladie ont chuté de 70 %.
 
De troisièmes essais cliniques seront bientôt faits, selon l’entreprise pharmaceutique.
 
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Dépression: les adolescents ont besoin de plus de traitements efficaces

En effet, plus de 2 millions d’adolescents souffrent de dépression aux États-Unis. Les récents avertissements sur certains médicaments et les résultats d’études ont conduit à la controverse entourant ces traitements.  

Un rapport sur les derniers résultats de recherche sur les médicaments antidépresseurs et les stratégies thérapeutiques appropriées a d’ailleurs été publié dans le Journal of Child and Adolescent Psychopharmacology.
 
« Il n’existe aucun traitement radicalement nouveau à l’horizon pour le traitement de la dépression, et nous devons donc faire mieux avec les traitements dont nous disposons », a affirmé le docteur Graham J. Emslie, directeur de la Child Psychiatry at University of Texas Southwestern Medical Center de Dallas.
 
Il souligne également que « peu de jeunes souffrant de dépression reçoivent un traitement adéquat. »
 
D’autre part, « La dépression est un problème majeur de santé publique chez les jeunes, en particulier les adolescents, mais beaucoup de gens ont du mal à en parler », a déclaré Harold S. Koplewicz, MD, rédacteur en chef du Journal of Child and Adolescent Psychopharmacology.
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Hyperactivité chez les enfants : les traitements inquiètent

Dans la mire des spécialistes, on retrouve la Ritaline. Ce psychostimulant inquiète un certain nombre de médecins, car il est prescrit excessivement, explique le site Magic maman.

Le professeur Maurice Corcos, chef du service de psychiatrie à l’Institut mutualiste Montsouris à Paris, évoque un « surdiagnostic et par conséquent une surprescription des médicaments » destinés aux enfants hyperactifs.

Les experts ont également peur des effets secondaires, comme les risques cardiaques, qui découlent de cette surmédicalisation.

Pour le moment, les recherches ne révèlent pas de lien entre la prise de traitements contre l’hyperactivité et les arrêts cardiaques ou encore les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Cependant, les médecins restent prudents. Même l’Agence européenne du médicament recommande une surveillance régulière des patients qui prennent de la Ritaline.

Pour l’avenir, il sera nécessaire de faire plus de recherches sur les causes de l’hyperactivité et les conséquences des traitements suivis par les enfants.

 

 

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40 % des cancers sont causés par des virus

Des chercheurs ont découvert que 40 % des cancers seraient causés par des virus, ce qui ouvre la voie à la possibilité de créer des vaccins anticancers.
 
Ces résultats ont surpris les scientifiques, qui s’attendaient à ce que seulement 10 ou 20 % des cancers soient causés par des virus, mais c’est plutôt le double qui l’est.
 
Si les prochains tests le prouvent, il sera donc possible de créer des vaccins contre plusieurs types de cancers et d’offrir de nouveaux traitements pour en guérir également.
 
Toutefois, les chercheurs doivent comprendre le processus qui entraîne le développement de la maladie.
 
À l’Institut Karolinska en Suède, une équipe a établi un lien viral avec un médulloblastome, la forme la plus courante de tumeur cérébrale chez les enfants.
 
Parmi les virus les plus connus qui peuvent causer le cancer, il y a les hépatites B et C qui peuvent favoriser le développement du cancer du foie et le virus du papillome humain (VPH) qui est à l’origine du cancer du col de l’utérus.
 
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La vitamine D pour vaincre la tuberculose

Des chercheurs ont découvert que la vitamine D pouvait aider à vaincre des infections comme la tuberculose, qui fait chaque année 1,8 million de victimes dans le monde.
 
Les personnes à la peau foncée et vivant dans certaines régions africaines sont souvent les plus vulnérables à la maladie.
 
Selon ce que rapporte le Science Translational Medicine, les peaux foncées ont plus de mélanine qui protège des ultraviolets du soleil. Comme ces personnes absorbent moins de rayons UV, principale source de vitamine D, elles deviennent plus fragiles à la maladie.
 
Les scientifiques ont découvert que les lymphocytes T, qui jouent un rôle dans la réponse du système immunitaire, produisent une protéine interféron permettant aux cellules T de communiquer entres elles et de lancer l’attaque de la bactérie qui cause la tuberculose.
 
Cependant, pour que cette défense fonctionne correctement, le corps a besoin d’un niveau suffisant de vitamine D.
 
Les résultats de ces travaux laissent donc croire que des compléments de vitamine D pourraient aider à vaincre la tuberculose. Cela ouvre ainsi la voie à la création de nouveaux traitements.
 
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La gonorrhée devient résistante aux traitements

Des chercheurs suédois viennent de découvrir une nouvelle souche de gonorrhée et malheureusement, cela n’augure rien de bon.
 
Cette souche est résistante à tous les traitements offerts en ce moment, ce qui veut dire qu’elle pourrait se propager rapidement dans le monde.
 
La gonorrhée est une ITS (infection transmise sexuellement) très fréquente. Malheureusement, 50 % des femmes infectées et 2 à 5 % des hommes présentent des symptômes de l’infection.
 
Non traitée, la gonorrhée peut entraîner des complications graves ou même permanentes, comme l’infertilité. La nouvelle souche n’est donc pas une bonne nouvelle.
 
« Il s’agit d’une découverte à la fois alarmante et prévisible. Depuis que l’usage d’antibiotiques est devenu le traitement privilégié pour traiter la gonorrhée, au cours des années 40, la bactérie s’est montrée particulièrement habile à développer des mécanismes de résistance aux médicaments », dit le Dr Magnus Unemo par voie de communiqué.

« Bien qu’il soit encore trop tôt pour déterminer dans quelle mesure la nouvelle souche s’est répandue, l’historique de cette bactérie suggère qu’elle pourrait se propager rapidement en l’absence de nouveaux médicaments et de programmes de prévention appropriés », conclut-il.

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Découverte d’un gène responsable de l’épilepsie

Une équipe de l’Inserm a identifié le gène qui est responsable de l’épilepsie du lobe temporal, la forme la plus commune de l’épilepsie chez les adultes, qui survient après une attaque du cerveau, à la suite d’un traumatisme crânien ou d’une méningite par exemple.
 
Selon les Annals of Neurology, ce type d’épilepsie peut même survenir une dizaine d’années après le choc.
 
Un seul gène, le NRSF, est responsable de ces crises d’épilepsie. Il prend alors le contrôle des 1 800 autres gènes qui se dérèglent à leur tour. C’est ce qui cause les crises.
 
On a injecté à des souris des leurres chimiques afin de bloquer l’activité de ce gène et les chercheurs ont ainsi réussi à réduire le nombre de crises, en plus d’aider à la restauration de l’activité cérébrale.

Ceci ouvre la voie, dans le futur, à des traitements préventifs pour les personnes qui seraient victimes d’un choc au cerveau.

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Deux nouveaux traitements contre le cancer de la peau

Lors de la rencontre annuelle de l’American Society of Clinical Oncolgy, deux laboratoires ont présenté leurs résultats concernant de nouveaux traitements possibles contre le mélanome, la forme la plus agressive de cancer de la peau.
 
Le premier, du Laboratoire Roche, est une thérapie qui cible le gène que l’on retrouve dans 50 % des cas de mélanome. Les patients qui ont reçu ce médicament oral, nommé Vemurafenib ou PLX4032, ont vu leurs chances de survie grimper de 60 %.
 
Ce médicament neutralise le gène mutant BRAF et l’empêche de produire une protéine qui favorise le développement du cancer.
 
De son côté, le Laboratoire Bristol-Myers Squidd a présenté l’anticorps Ipilmumab (Yervoy) qui, jumelé à la chimiothérapie, augmente le taux de survie de 3 ans de 20,8 %, comparativement à 12,2 % sans Yervoy.
 
Maintenant, les chercheurs veulent tenter de combiner les deux traitements afin de savoir s’ils obtiendront de meilleurs résultats pour vaincre la maladie.
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Vers des traitements plus personnalisés contre le cancer

Des chercheurs du Département de biochimie de l’Université McGill à Montréal ont fait une nouvelle avancée vers des traitements personnalisés contre le cancer.
 
Ils ont découvert qu’une partie d’une protéine gère l’expression des gènes, ce qui pourrait donc maîtriser les gènes actifs dans les cellules cancéreuses.
 
Les cellules humaines produisent les bonnes protéines au bon moment et en bonne quantité avec l’aide de l’ARNi (acide ribonucléique interférence). De petits morceaux d’ARNi bloquent la production des protéines en interférant dans leur code génétique.
 
Par contre, les chercheurs savent maintenant que ce ne sont pas tous les ARNi qui peuvent provoquer ce phénomène. C’est là-dessus qu’ils travaillent maintenant. Ils souhaitent pouvoir modifier les ARNi pour les rendre plus efficaces.
 
Éventuellement, on espère même pouvoir en faire des médicaments pour traiter le cancer. Malheureusement, il faudra encore plusieurs années avant de parvenir à offrir une thérapie de ce genre aux personnes atteintes, car de nombreuses recherches sont encore nécessaires.
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Aucun moyen de prévenir ou de ralentir l’Alzheimer

Un comité d’experts des National Institutes of Health aux États-Unis a été chargé de faire le point en ce qui concerne la prévention de la maladie d’Alzheimer, mais aussi des troubles cognitifs liés au vieillissement.
 
Selon eux, il n’existe aucune preuve scientifique valable pour recommander certaines méthodes contre les pathologies.
 
Aucun médicament, aucun supplément ou changement de mode de vie ne peut prévenir l’apparition de l’Alzheimer ou en ralentir la progression.
 
Les médicaments inhibiteurs de la cholinestérase utilisés pour ralentir la maladie ne peuvent la prévenir. Même chose pour les antihypertenseurs ou les hormones de remplacement.
 
L’espoir se pose dorénavant sur de présentes recherches sur l’efficacité des antidépresseurs, des oméga-3 et de l’activité physique et intellectuelle. Il semblerait toutefois que ce ne soit pas très encourageant pour le moment. Le comité mentionne que les effets ne sont que très modestes jusqu’à maintenant.