Tant les intimidateurs que les victimes et les intimidateurs-victimes (certains sont les deux à la fois) peuvent transporter une arme quelconque, du moins ils sont plus susceptibles de le faire que leurs pairs adolescents.
Le résultat de cette nouvelle recherche a été suggéré après une méta-analyse de 22 autres études associées aux victimes, 15 études axées sur les intimidateurs, et 8 études sur les intimidateurs-victimes, rapporte Medical News Today.
Il n’y a qu’aux États-Unis où les cas d’intimidateur-victime ont été associés en plus grand nombre avec le port d’arme. Dans les autres pays, aucun des 3 groupes n’est ressorti de façon significative.
L’auteur de l’étude, Mitch van Geel, de l’Université Leiden aux Pays-Bas, a déclaré au terme de sa recherche : « La présente méta-analyse suggère que l’intimidation est reliée au port d’arme parmi les adolescents, établissant donc clairement un facteur de risque de problèmes comportementaux chez les adolescents ».
Van Geel ajoute : « Considérant l’éventail de conséquences négatives de l’intimidation, il est important que les écoles s’efforcent de réduire ce phénomène parmi leurs étudiants, préférablement en utilisant des méthodes basées sur l’évidence ».