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Tracy Morgan traumatisé depuis son accident

Si Tracy Morgan prend du mieux sur le plan physique depuis son accident, il semble que sa santé psychologique est encore largement affectée, selon des informations rapportées par BANG Media International.

L’acteur et star de 30 Rock et de Cop Out a vu la voiture dans laquelle il prenait place être percutée par un camion de la chaîne Walmart, du côté du New Jersey en juin dernier.

L’ami qui l’accompagnait ce jour fatidique, James McNair, a perdu la vie dans l’accident.

C’est Chris Rock, un bon ami de Tracy Morgan, qui a accepté de livrer quelques nouvelles de ce dernier au cours d’une entrevue avec le USA Today.

« Il est OK. Je l’ai vu récemment et je lui ai apporté un exemplaire du film qu’on a fait ensemble. Il était très content. Il a beaucoup de thérapeutes et il a beaucoup de réadaptation devant lui. Il est traumatisé, son ami est mort. En plus, c’est Tracy. Pas le gars le plus stable du monde pour commencer », explique candidement Chris Rock, qui partage la vedette de Top Five avec Tracy Morgan

L’acteur de 45 ans a intenté une poursuite contre Walmart, qui se défend vigoureusement.

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Tracy Morgan traumatisé depuis son accident

Si Tracy Morgan prend du mieux sur le plan physique depuis son accident, il semble que sa santé psychologique est encore largement affectée, selon des informations rapportées par BANG Media International.

L’acteur et star de 30 Rock et de Cop Out a vu la voiture dans laquelle il prenait place être percutée par un camion de la chaîne Walmart, du côté du New Jersey en juin dernier.

L’ami qui l’accompagnait ce jour fatidique, James McNair, a perdu la vie dans l’accident.

C’est Chris Rock, un bon ami de Tracy Morgan, qui a accepté de livrer quelques nouvelles de ce dernier au cours d’une entrevue avec le USA Today.

« Il est OK. Je l’ai vu récemment et je lui ai apporté un exemplaire du film qu’on a fait ensemble. Il était très content. Il a beaucoup de thérapeutes et il a beaucoup de réadaptation devant lui. Il est traumatisé, son ami est mort. En plus, c’est Tracy. Pas le gars le plus stable du monde pour commencer », explique candidement Chris Rock, qui partage la vedette de Top Five avec Tracy Morgan

L’acteur de 45 ans a intenté une poursuite contre Walmart, qui se défend vigoureusement.

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Peut-on réellement se réveiller pendant l’anesthésie?

Une vaste étude réalisée par les Britanniques se base sur les 300 rapports d’incident répertoriés. Selon Le Figaro, personne n’avait effectué une telle recherche auparavant sur l’anesthésie.

Le projet se nomme le National Audit Project (NAP5) et a demandé la collaboration d’associations d’anesthésistes de Grande-Bretagne et d’Irlande. En tout, 375 hôpitaux ont répertorié les cas de 2012 et 2013. Un travail qui a déterminé les causes et conséquences de ces incidents. Le détail a été publié dans les revues Anaesthesia et British Journal of Anaesthesia.

« … le patient a une perception réelle de son environnement pendant quelques minutes », explique le vice-président de la Société française d’anesthésie et de réanimation, Francis Bonnet. « C’est presque toujours un événement psychologiquement traumatisant. »

Le traumatisme qui accompagne cette conscience éveillée en pleine opération est malheureusement confronté à l’indifférence du corps médical.

Selon les chercheurs, l’utilisation de myorelaxants augmente le taux d’incidence (1/8000), tout comme l’obésité et certaines situations urgentes. Mais la plus grande probabilité réside chez les cas de césarienne (1/670).

On rapporte que 75 % des cas d’éveil peuvent être évités, ce qui n’est pas rassurant. Les chercheurs ont émis 64 recommandations à cet effet.

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Charlize Theron a touché le fond

Quand on regarde la belle actrice sud-africaine Charlize Theron, on ne croit pas que celle-ci traîne un lourd secret et des années difficiles avec elle, mais c’est pourtant le cas.

ELLE Canada rapporte les propos de la vedette d’A Million Ways To Die in the West, qui admet avoir touché le fond du baril au début de la trentaine.

Ces problèmes émotifs découleraient directement du drame que Charlize Theron a vécu lorsqu’elle était âgée de 15 ans, alors que sa mère a dû abattre son père de sang-froid en légitime défense.

Theron avoue ne jamais avoir cru que ces souvenirs et ce drame nécessiteraient de la psychothérapie, jusqu’à ce qu’elle sombre au tournant de la trentaine.

« Je ne savais pas que j’avais besoin de thérapie. Tu fonces et tu travailles, et il y a quelque chose de cathartique quand tu es acteur, non? Au début trentaine, j’étais au fond du baril. J’ai appelé une amie qui m’a donné le numéro de sa thérapeute, et j’ai commencé à voir cette femme incroyable qui n’est toujours qu’à un seul coup de téléphone. »

Charlize Theron adoptait son fils, Jackson, en mars 2012, et semble maintenant aller beaucoup mieux. Elle fréquente par ailleurs l’acteur Sean Penn, qui semble lui aussi transformé au contact de l’actrice.

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Les traumatismes de l’enfance reliés à une éventuelle psychose

Selon Medical News Today, ces psychoses sont dues à des anomalies du cerveau, changements physiologiques apportés par les traumas vécus surtout pendant la petite enfance.

La recherche se base sur 125 autres études effectuées dans les 10 dernières années. Elle réfute la pensée traditionnelle selon laquelle les différences du cerveau observées chez les sujets atteints de schizophrénie n’ont rien à voir avec le vécu de l’individu.

En fait, les mêmes anomalies observées chez le schizophrène ont été détectées chez les enfants ayant subi des agressions et/ou négligences importantes.

Les spécialistes du Royaume-Uni, de la Norvège et des États-Unis ont uni leurs forces pour éplucher 10 ans de données et ont conclu : « Les gens aux prises avec une psychose devraient recevoir de l’aide psychologique spécifiquement adaptée à leurs besoins et leurs difficultés, en relation avec ce qu’ils ont vécu ». Ils croient fermement que les changements apportés au cerveau sont réversibles.

Le professeur John Read a ajouté qu’il espérait ainsi que les spécialistes s’intéressent désormais plus au vécu de leurs patients, plutôt que de « traiter leur mal-être et leurs symptômes comme une maladie que l’on peut supprimer avec de la médication ».

Les résultats seront publiés dans la revue bimensuelle Neuropsychiatry.

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Les bébés victimes de violence présentent souvent des signes avant-coureurs

Des chercheurs ont évalué les cas de 401 bébés de moins d’un an qui avaient été vus par un travailleur social dans un hôpital à cause d’une crainte que l’enfant ait été violenté.

Ces bébés ont été séparés en quatre catégories : ceux qui avaient un traumatisme crânien manifestement causé par des sévices, ceux qui avaient une autre blessure aussi causée par des sévices, ceux qui avaient un risque jugé « intermédiaire » d’avoir subi de la violence, et ceux pour lesquels les sévices avaient été écartés après l’évaluation.

Un total de 27,5 % des enfants qui avaient assurément subi de la violence présentaient une blessure précédente appelée « sentinelle », c’est-à-dire qu’elle aurait dû sonner l’alarme. En comparaison, aucun des bébés qui n’avaient pas subi de sévices ne présentait une telle blessure.

Les chercheurs ont indiqué que chez des enfants de cet âge (l’âge moyen était de 4 mois), qui ne sont pas encore très mobiles, certaines blessures sont extrêmement rares, par exemple des ecchymoses ou des déchirures du filet de la langue.

Les chercheurs avancent que ces blessures devraient toujours être considérées comme suspectes, et que les médecins devraient les rapporter aux autorités, selon ce que rapporte Med Page Today.

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Les enfants ayant vécu un traumatisme bénéficient de la psychothérapie

Des chercheurs ont analysé les résultats de 21 études portant sur les interventions faites auprès des enfants ayant vécu un traumatisme. Aucune médication n’a semblé aider ces petits, et plusieurs sortes de psychothérapies ont été évaluées, incluant celles axées sur le traumatisme, celles axées sur la régulation des émotions et celles axées sur le processus cognitif.

La thérapie cognitivo-comportementale a été identifiée comme étant la plus efficace, à la fois pour les enfants qui présentaient des symptômes et ceux pour qui le traumatisme était moins apparent.

Les auteurs ont noté qu’environ les deux tiers des enfants et jeunes vont vivre au moins une expérience traumatisante, ce qui rend le besoin de les aider particulièrement criant. « Nos conclusions illustrent le besoin d’agir », ont-ils écrit, selon Med Page Today.

« Les interventions en psychothérapie peuvent apporter de l’aide relative à ces enfants qui présentent des symptômes de stress post-traumatique ou qui ont été exposés à des événements traumatisants, même s’ils n’ont pas l’air d’être vraiment affectés. »

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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Les traumatismes vécus durant l’enfance modifient l’ADN

C’est bien connu que les enfants qui ont vécu des traumatismes ou des sévices risquent beaucoup plus que les autres de souffrir d’anxiété et de troubles psychiatriques plus tard. Plusieurs maladies, dont les maladies mentales, sont causées par une interaction entre les gènes et l’environnement.

Les résultats d’une nouvelle étude révèlent que la prédisposition génétique influence largement le fait de développer un problème psychiatrique ou non.

L’étude a porté sur environ 2000 personnes ayant vécu des traumatismes sévères, certains durant l’enfance, et d’autres plus tard dans leur vie. Le tiers de ceux-ci souffraient de syndrome de stress post-traumatique, et le risque de développer cette maladie était directement relié à la sévérité de l’abus ainsi qu’à des variantes spécifiques du gène FKPP5. Ce gène est responsable de la manière dont les individus réagissent au stress.

Tel que rapporté par Science Daily, les chercheurs allemands ont montré que ces variantes génétiques faisaient une différence au point de vue physiologique pour ceux qui étaient affectés, particulièrement dans leurs cellules nerveuses.

En réaction au stress extrême, les personnes qui possèdent cette variante vivent un changement permanent de leur ADN, appelé une modification épigénétique. Cette modification n’était présente que chez les individus qui avaient vécu ces traumatismes durant l’enfance, et pas chez les autres.

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Les blessures à la tête et les pesticides en cause dans certains cas de Parkinson

Deux facteurs qui n’ont à première vue aucun lien entre eux sont pointés du doigt pour leur rôle possible dans le développement de la maladie de Parkinson, selon www.nlm.nih.gov.

Il semble que ce soit la combinaison de ces deux caractéristiques qui soulève l’inquiétude des spécialistes. En effet, l’exposition à des pesticides, doublée à d’un antécédent de blessure à la tête, serait une porte ouverte pour la maladie de Parkinson.

Selon les chercheurs à la tête de cette récente étude, il n’y a toujours aucune preuve directe de ce qu’ils avancent, mais la compilation des données de plusieurs études précédentes sur le sujet indique une cause à effet possible.

L’historique familial en matière de santé et d’autres facteurs environnants peuvent aussi, et doivent, être pris en considération.

James Bower, un neurologiste de la clinique Mayo, au Minnesota, qui n’a pas participé à cette étude, la commente : « Je crois que nous commençons à réaliser qu’il n’y a pas qu’une seule raison majeure en cause dans le développement de la maladie de Parkinson. Il pourrait y avoir plusieurs chemins qui mènent à l’ultime développement de la maladie ».