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Michael Schumacher est « conscient »

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Selon une infirmière qui travaille auprès de l’ex-pilote de Ferrari, Michael Schumacher est « conscient ».

C’est le journal Le Parisien qui a révélé le week-end dernier que Michael Schumacher avait été hospitalisé lundi (9 septembre) dans le plus grand des secrets à l’hôpital parisien Georges-Pompidou.

Hier, l’ancien patron de Ferrari et ami de longue date de Michael Schumacher, Jean Todt, s’est rendu au chevet du célèbre patient. Il lui a rendu visite environ 45 minutes. Todt, qui est l’actuel président de la FIA, a quitté les lieux discrètement sans donner de commentaires.

Aucune information officielle n’a filtré concernant les soins prodigués à Michael Schumacher. Le Parisien souligne cependant que l’établissement hospitalier a réalisé sur l’homme, en 2000, les premières greffes de cellules souches musculaires au monde.

Michael Schumacher, 50 ans, un anniversaire souligné par Ferrari, n’a pas été vu en public depuis 6 ans. L’ex-pilote a subi un terrible accident de ski en Suisse en 2013, subissant un traumatisme crânien sévère.

Photo : Cover-Images

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Michael Schumacher regarde les courses de F1

Ces rares nouvelles sur l’état de santé de l’ex-champion du monde ont été révélées par un ami intime, Jean Todt, lors d’un entretien sur les ondes de Radio Monte-Carlo(RMC).

Jean Todt, aujourd’hui patron de la FIA, était le directeur de Ferrari lorsque Michael Schumacher dominait le plateau de la F1. Les deux hommes étaient devenus des amis proches au fil de leur collaboration.

L’homme de course a confié que l’Allemand faisait encore de bons progrès, et qu’il suivait les courses de F1 à la télévision.

« Je suis toujours prudent avec ce type de commentaires, mais c’est vrai. Nous avons regardé une course Michael et moi à sa résidence en Suisse ».

Par respect pour la famille, Jean Todt n’a pas voulu entrer dans les détails concernant l’état de santé du septuple champion du monde. 

« Michael est entre les meilleures mains et à l’air bien », s’est contenté d’ajouter le Français qui rend régulièrement visite à son ami.

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Michael Schumacher, aujourd’hui âgé de 50 ans, n’a pas été vu en public depuis un accident de ski alpin survenu il y a cinq ans dans les Alpes françaises. Le champion fut gravement blessé à la tête, souffrant d’un traumatisme crânien qui l’avait alors poussé dans le coma.

Photo : Cover Images

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Les commotions cérébrales liées à la dépression chez les adolescents

Plusieurs recherches et même des documentaires faisant état des conséquences néfastes des commotions cérébrales mettent en lumière les dangers reliés aux sports de contact.

La préoccupation première constitue la détection des commotions. Elles peuvent avoir lieu au football, comme dans un accident de voiture ou une chute d’un trampoline, rapporte She Knows. Et bien que l’enfant semble aller bien, des dommages peuvent quand même avoir affecté leur cerveau.

La recherche dont il est question ici a été menée en 2007 et 2008 auprès de plus de 36 000 jeunes de 12 à 17 ans. Sur cet échantillon, 2,7 % avaient souffert de commotion, et 3,4 % de ceux-ci avaient reçu un diagnostic de dépression.

Jeffrey Max, psychiatre, se spécialise dans les conséquences dues aux traumatismes crâniens chez les enfants et adolescents. « Durant notre recherche, nous avons découvert qu’environ 10 % des enfants présentaient les symptômes d’une dépression importante 6 mois après une commotion cérébrale. »

De plus, il est prouvé que les enfants ayant subi ce genre de blessure ont plus de difficulté à contrôler leur humeur et sont plus enclins à développer le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité).

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Le hockey responsable de près de la moitié des traumatismes crâniens chez les enfants canadiens

Le soccer était quant à lui responsable de 19 % des traumatismes crâniens causés par la pratique d’un sport, affectant surtout les enfants et jeunes de 10 ans et plus. Le baseball était en 3e position, avec 15,3 % des blessures. Venait ensuite le football, avec 12,9 %, suivi du basketball avec 11,6 % et du rugby avec 5,6 %.

Les blessures à la tête subies durant la pratique d’un sport peuvent avoir des conséquences à moyen et à long terme chez les enfants. Par exemple, des études précédentes ont révélé que des athlètes qui avaient subi un traumatisme crânien avaient toujours de la misère à se concentrer ou à passer d’une tâche à l’autre plusieurs mois après l’accident.

L’étude montre que « les contacts physiques dans les sports sont toujours un aspect où nous devons faire des efforts majeurs afin de prévenir les traumatismes crâniens. Nous devons par exemple nous assurer que les règlements en place sont appliqués, et que des mesures supplémentaires incitatives — et dissuasives face aux contrevenants — sont aussi bien claires », a dit l’auteur, le Dr Michael Cusimano, neurochirurgien à l’hôpital St Michael à Toronto, selon Medical News Today.

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Un lien entre traumatisme crânien dans l’enfance et criminalité adulte

Une étude révèle que les traumatismes au cerveau, fréquents chez les enfants qui tombent ou qui font du sport, pourraient mener certains jeunes à devenir des criminels.

Les chercheurs ont appelé ces blessures une « épidémie silencieuse », affectant le jugement des individus ainsi que leurs habiletés sociales, ne leur permettant plus de maitriser leurs impulsions.

C’est ainsi qu’un sondage auprès de prisonniers adultes britanniques a révélé que 60 % d’entre eux avaient déjà souffert d’un traumatisme crânien durant l’enfance.

Cette proportion est nettement plus élevée que dans la population générale, ont remarqué les chercheurs, ajoutant que les problèmes neurodéveloppementaux tendaient également à être beaucoup plus présents chez les gens ayant commis un crime.

Les conséquences associées à ces troubles incluent les difficultés d’apprentissage et de communication, ainsi que des problèmes comportementaux et émotifs.

« Même si les enfants qui ont souffert de traumatismes au cerveau ou de problèmes neurodéveloppementaux peuvent reconnaître la différence entre le bien et le mal, ils ne peuvent peut-être pas comprendre les conséquences de leurs gestes et ne sont pas capables de maitriser leurs comportements », a affirmé Maggie Atkinson, la commissaire responsable des enfants en Angleterre, tel que rapporté par le Daily Mail.

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Un long chemin à parcourir pour les enfants victimes d’un traumatisme crânien

Depuis une dizaine d’années, les professionnels de la santé ont une nouvelle approche concernant le rétablissement des enfants ayant subi un traumatisme crânien. Ils comprennent maintenant que ce processus peut être extrêmement long et qu’il englobe non seulement la victime, mais aussi sa famille, ses amis, son école et ses médecins.

Plusieurs spécialistes travaillent donc à trouver les meilleurs moyens et services afin que la transition de l’enfant entre les soins médicaux et son environnement de vie se fasse de mieux en mieux, selon une nouvelle étude parue dans une édition spéciale du NeuroRehabilitation.

« Le rétablissement s’étend bien au-delà de la période technique de réadaptation. Les enfants, les adolescents et les familles luttent pour arriver à retrouver leur élan de vie d’avant », explique Peter D. Patrick, professeur à l’École de médecine de l’Université de la Virginie.

Comme la plupart des enfants font une grande partie de leur convalescence en société et non à l’hôpital, on voit apparaître de nouvelles interventions axées sur le soutien à la famille et le développement de l’estime de soi de l’enfant touché, qui doit souvent composer avec des capacités altérées par le traumatisme.

« Au fil des ans et dans plusieurs endroits à travers le monde, les efforts novateurs et créatifs ont peu à peu révélé des interventions efficaces pour un meilleur rétablissement », conclut le Dr Patrick.

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Un QI moins élevé pour les enfants qui ont eu une lésion cérébrale

C’est ce que rapportent les nouvelles données de chercheurs australiens dans deux articles publiés en ligne sur le site internet Medscape Medical News.

Jusqu’à présent, peu d’études portaient sur les conséquences à long terme des LCT chez l’enfant.

Les chercheurs ont retracé la récupération des capacités cognitives et fonctionnelles, 10 ans après l’accident, de 40 enfants ayant souffert d’un LCT entre 2 et 7 ans.

Comparativement aux 16 enfants témoins sains, les enfants ayant eu des lésions sévères avaient les résultats les plus bas au test de QI : de 18 à 26 points en dessous du groupe de contrôle.

Dans leurs commentaires, les chercheurs ont dit qu’il est important de noter que seuls les enfants avec des LCT graves ont d’importantes conséquences cognitives plus tard. Selon eux, ils auront toujours de la difficulté à rattraper leurs pairs en bonne santé, tandis que les enfants avec des lésions moins graves semblent récupérer leurs fonctions normales.

De plus, l’environnement de l’enfant serait aussi en cause dans le bon rattrapage de ses fonctions cognitives. Il semblerait que les jeunes enfants avec des lésions graves et des désavantages sociaux obtiennent les pires résultats, selon les médecins.

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Effet insoupçonné de la récession

Ayant débuté en 2007, la récession américaine aurait de tristes conséquences sur les enfants en bas âge. Des données recueillies par le Children’s Hospital de Pittsburgh indiquent une hausse marquée des traumatismes crâniens chez les enfants de moins de cinq ans, lit-on dans Pediatrics.

La violence corporelle envers les plus jeunes serait donc une des répercussions de la dernière crise économique. Au sein de 3 districts, les traumatismes crâniens seraient ainsi passés de 8,9 à 14,7 sur 100 000.

Des études précédentes avaient établi un lien entre le stress économique et les problèmes de santé mentale chez les adultes. Il semble que ce soit aussi relié avec le mauvais traitement infligé aux enfants.

L’âge moyen des enfants touchés par ce problème a été évalué à 8,9 mois; les trois quarts de ces derniers n’avaient pas encore 1 an. Un peu plus de la moitié était constituée de garçons (60 %), et 67 % des jeunes victimes étaient de race blanche. Finalement, le taux de mortalité s’est avéré de 16 %.

Au total, en comparaison aux années précédant ladite récession, l’augmentation du nombre de cas aurait été de 1,65, soit près du double. L’une des possibles raisons de cette hausse serait que le plus grand nombre d’emplois perdus fait en sorte que des parents, sans y avoir été beaucoup confrontés auparavant, se retrouvent plus longtemps avec leurs enfants.

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Est-il possible de déceler un traumatisme crânien causé par la violence?

Pediatrics a publié un article à propos d’une nouvelle étude qui a été menée afin de déterminer s’il est possible de reconnaître chez un enfant la différence entre un traumatisme crânien causé par la violence et un traumatisme crânien qui n’a pas été causé par la violence.

 

Afin d’y arriver, on a étudié les résultats comparatifs de six études réalisées sur des enfants de moins de trois ans ayant des lésions intracrâniennes.

Ces lésions ont été analysées afin de déterminer s’il y avait un lien qui permettrait de découvrir s’il s’agit d’un traumatisme crânien causé par la violence, et ce, à partir d’une combinaison de différents problèmes.

Ceux-ci pourraient être l’apnée, l’hémorragie rétinienne, les fractures des côtes, du crâne et des os, les ecchymoses ou coups ou à la tête, et d’autres blessures.

Après avoir analysé 1 053 enfants, dont 348 d’entre eux souffraient d’un traumatisme crânien causé par la violence, les prédictions positives d’un traumatisme crânien causé par la violence variaient entre 4 % et 97 %, selon les différentes combinaisons de blessures.

Il semble que la possibilité de souffrir d’un traumatisme crânien causé par la violence augmente considérablement lorsque l’enfant souffre de fractures aux côtes ou d’une hémorragie rétinienne combinée avec n’importe quelle autre blessure. Dès qu’il y a la présence de trois des blessures mentionnées, les chances que l’enfant souffre d’un traumatisme crânien causé par la violence s’élèvent à 85 %.

On conclut donc que les probabilités qu’un enfant souffre d’un traumatisme crânien causé par la violence peuvent être estimées en se basant sur la combinaison de blessures cliniques.

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L’importance de l’observation en cas de coup à la tête

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une étude ayant porté sur la façon d’évaluer les traumatismes crâniens en milieu hospitalier.

Intitulée The Effect of Observation on Head Computed Tomography Utilization for Children After Blunt Head Trauma, elle suggère des pistes pouvant diminuer le recours à la radiologie.
 
Après avoir analysé les données portant sur 42 412 cas de traumatismes crâniens légers chez des enfants, on a remarqué que 14 % seulement, soit 5 433 patients, ont subi une observation médicale avant que l’on ait recours au procédé de la tomodensitométrie.
 
Rappelons au passage que la tomodensitométrie consiste en la mesure de la densité radiologique par l’utilisation d’un appareil de radiodiagnostic, le tomodensitomètre.
 
Or, dans le cadre de la présente étude, le taux de tomodensitométrie était plus faible chez les enfants ayant été observés que chez ceux ayant été dirigés automatiquement vers ce procédé médical. Pourtant, ces deux groupes accusaient un taux semblable de traumatisme crânien.

Les chercheurs ont donc conclu que la période d’observation, sans altérer le diagnostic, réduit l’exposition des enfants aux radiations non nécessaires. Toutefois, elle peut minimiser le risque de blessures importantes n’ayant pas été détectées.