Cette invention serait en mesure d’accélérer la recherche, de trouver des remèdes pour la démence ou encore de mieux comprendre les traumatismes et problèmes cérébraux.
Ce premier tissu cérébral vivant représente une percée et une avancée exceptionnelle dans le domaine de la recherche des troubles neurologiques.
« Vivant » jusqu’à deux mois en laboratoire, le « faux cerveau 3D » permettra aux scientifiques de découvrir comment les médicaments agissent à court et long terme sur le traitement de maladies et traumatismes tels que la démence et les AVC.
Comme l’indique The Telegraph, ils pourront aussi observer comment on peut soigner les zones endommagées après des blessures à la tête et des maladies dégénératives qui s’étalent sur un certain temps.
« Nous pouvons observer les maladies neurologiques d’une façon qui nous était impossible à cause des délais nécessaires pour étudier certaines des maladies clés du cerveau », explique le Dr. David Kaplan de l’Université Tufts à Boston.
Le nouveau tissu cérébral 3D est composé d’un gel spécial pour favoriser la croissance des neurones. Il a six anneaux concentriques qui imitent les six couches du cortex du cerveau humain, où existent différents types de neurones.
L’étude a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Anxiété, dépression, divorce et consommation de substances par les parents, sévices physiques, psychologiques ou sexuels et négligence durant la petite enfance sont tous des éléments qui peuvent déclencher la consommation de tabac chez un adulte, en particulier chez le sexe féminin.
Selon une étude récente où plus de 7000 personnes fumeuses ont répondu à un questionnaire, dont plus de la moitié étaient des femmes, 60 % d’entre elles avaient été victimes de l’une de ces situations malsaines durant la petite enfance.
En excluant le fait que le participant ait pu grandir dans un milieu où ses parents fumaient ou encore qu’il ait consommé de l’alcool au cours du dernier mois avant l’étude, il est ressorti que les femmes qui avaient été physiquement ou émotionnellement abusées étaient 1,4 fois plus susceptibles de fumer.
Celles qui avaient eu un parent en prison pendant la petite enfance doublaient leurs chances de tabagisme également.
La détresse psychologique augmente les chances que toute personne fume. Toutefois, les hommes qui ont subi des traumatismes durant l’enfance peuvent avoir d’autres mécanismes d’adaptation que leurs homologues féminins, a expliqué l’auteure principale de l’étude, Dre Tara Strine.
Pour la spécialiste et le BioMed Central, qui ont publié leurs conclusions dans le journal Substance Abuse Treatment, Prevention, and Policy, un événement troublant durant l’enfance peut effectivement avoir un effet à long terme et conduire à un comportement de dépendance plus tard dans la vie.
« Voilà pourquoi les actuelles stratégies et campagnes de désaccoutumance au tabac devraient se fier au passé de leurs patients pour comprendre la relation potentielle entre traumatisme de l’enfance et détresse psychologique ultérieure sur le rôle du tabagisme, et ce, en particulier chez les femmes », affirme Dre Strine.
Les deuils, les problèmes relationnels, conflits ou ruptures amoureuses, les cas de sévices et d’agression sexuelle, les changements d’école ou d’emploi, les déménagements et les maladies ou hospitalisations peuvent s’avérer être la goutte qui fait déborder le vase pour certaines personnes.
Tous ces traumatismes peuvent se traduire en anorexie ou en boulimie, explique une étude de l’Université du Minnesota parue dans le Journal of Clinical Nursing.
C’est en discutant avec 26 femmes et un homme âgé de 17 à 64 ans que les chercheurs ont tenté de voir un lien entre les événements transitoires dans la vie familiale et l’apparition de troubles de l’alimentation.
Dans le groupe, neuf personnes avaient souffert d’anorexie et reçu un traitement entre 10 et 18 ans, quatre avaient été victimes de boulimie, et les 14 autres avaient vécu des problèmes alimentaires importants, mais qui ne répondaient pas aux critères d’un diagnostic officiel.
Les six grands thèmes et catégories mentionnés ci-dessus sont ressortis de cette étude voulant que les troubles de l’alimentation puissent être provoqués par des éléments déclencheurs durant la jeunesse.
Les participants étaient tous en accord pour affirmer qu’ils avaient manqué de soutien à l’époque.
Les spécialistes espèrent que les résultats de l’étude captureront l’attention des parents et professionnels de la santé, afin que ces derniers soient plus vigilants et altruistes dans des situations qui engendrent un stress ou traumatisme.
Les deuils, les problèmes relationnels, conflits ou ruptures amoureuses, les cas de sévices et d’agression sexuelle, les changements d’école ou d’emploi, les déménagements et les maladies ou hospitalisations peuvent s’avérer être la goutte qui fait déborder le vase pour certaines personnes.
Tous ces traumatismes peuvent se traduire en anorexie ou en boulimie, explique une étude de l’Université du Minnesota parue dans le Journal of Clinical Nursing.
C’est en discutant avec 26 femmes et un homme âgé de 17 à 64 ans que les chercheurs ont tenté de voir un lien entre les événements transitoires dans la vie familiale et l’apparition de troubles de l’alimentation.
Dans le groupe, neuf personnes avaient souffert d’anorexie et reçu un traitement entre 10 et 18 ans, quatre avaient été victimes de boulimie, et les 14 autres avaient vécu des problèmes alimentaires importants, mais qui ne répondaient pas aux critères d’un diagnostic officiel.
Les six grands thèmes et catégories mentionnés ci-dessus sont ressortis de cette étude voulant que les troubles de l’alimentation puissent être provoqués par des éléments déclencheurs durant la jeunesse.
Les participants étaient tous en accord pour affirmer qu’ils avaient manqué de soutien à l’époque.
Les spécialistes espèrent que les résultats de l’étude captureront l’attention des parents et professionnels de la santé, afin que ces derniers soient plus vigilants et altruistes dans des situations qui engendrent un stress ou traumatisme.
Une nouvelle étude américaine fait état de répercussions de traumatismes subis par les enfants. Ce que l’on constate devrait pousser les médecins à considérer le stress post-traumatique comme un mal tout aussi envahissant que le trouble déficitaire de l’attention.
On conclut donc que l’évaluation de traumatismes devrait être faite systématiquement lors d’une visite médicale.