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Art de vivre

La Barbade prend les grands moyens pour attirer des touristes

Le gouvernement de l’île paradisiaque de 290 000 habitants va permettre aux travailleurs étrangers en télétravail de s’y installer pour y travailler durant un an.

La nouvelle initiative du gouvernement de la première ministre Mia Amor Mottley se nomme «12-month Barbados Welcome Stamp».

Alors que de par le monde, de nombreux employés ont goûté aux joies du télétravail, la Barbade souhaite voir s’installer chez elle des employés étrangers, qui tout en travaillant pour leur société, pourront bénéficier durant un an de ses plages au sable blanc et de son climat tropical.

Les nouvelles mesures du gouvernement de la Barbade sont souples.

«Vous pouvez venir ici et travailler pour une couple de mois à la fois si vous le désirez, retourner chez vous et revenir», explique la première ministre.

Le gouvernement fait ainsi le pari qu’il pourra relancer son industrie touristique qui a été durement frappée par la pandémie. Le tourisme représente 40% du PIB de la Barbade, alors que normalement plus de 2,4 millions de voyageurs visitent chaque année l’île, dépensant plus de 1,1 milliard de dollars US.

Pour les futurs travailleurs qui voudront se prévaloir de l’initiative «12-month Barbados Welcome Stamp», sachez que la Barbade n’a recensé à ce jour que 98 cas et sept décès liés à la COVID-19.

Photo : Bigstock

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Ton petit look

Je suis une collègue de type « chat sauvage »

Je n’aime pas les gens; c’est un constat que j’ai fait il y a de cela plusieurs années. Je n’aime pas les gens au point où je suis une des personnes les plus désagréables avec qui travailler; je n’aime pas tout ce qui n’a pas été fait par moi et j’ai beaucoup de difficulté à reconnaître le travail de l’autre.

Je suis de ces personnes ultra-perfectionnistes et ultra-observatrices. De celles qui ne donnent droit ni à l’erreur ni au temps de faire les choses. Je comprends rapidement comment un nouveau milieu fonctionne, je fais habituellement bien mon travail et j’exige la même chose des autres. Pourtant, il m’arrive de faire des erreurs – l’erreur est humaine – mais je déteste me faire reprocher quelque chose que je fais de mal.

Bref, les personnes qui n’arrivent pas à s’adapter et qui manquent de tact en me disant que je fais mal quelque chose me tapent royalement sur les nerfs. Je les déteste et je ne m’empêche pas de le leur montrer.

Pire, j’ai une extrême capacité à rendre quelqu’un si certain qu’il travaille mal qu’il perd sa confiance en lui et devient tout malheureux dans son travail, tout en faisant réaliser au patron tous ses défauts. Et ceci, sans que le patron ne se rende compte de ce que je fais! Et avant de me faire jeter des roches, je suis consciente de ce point et j’essaie de ne pas utiliser cette tactique. Je comprends de plus en plus le mal que je fais en agissant de la sorte et je réalise que je ne peux pas être ce bourreau du travail avec tout le monde.

Avec le temps, j’essaie de reconnaître les signes avant-coureurs de ces situations pour éviter que ces situations s’enveniment. J’essaie de voir les bons côtés de la personne, d’apprendre à la connaître, de garder mes distances et de ne pas me brûler trop vite. Peut-être suis-je faite pour travailler de la maison? Ou seule dans un bureau? Je suis probablement la candidate idéale pour le télétravail (sans appels de clients, de grâce!)! Il faut voir les bons côtés, ça prend des gens asociaux pour occuper ces postes-là.

Il n’en reste pas moins que ça me prend un gros moment pour apprivoiser l’autre; surtout celui qui est différent, mais aussi celui qui me ressemble. Ça prend de grosses frictions et de nombreuses situations problématiques. À un moment, ça éclate, puis je deviens près de la personne. Des fois, c’est aussi le temps qui fait qu’un.e collègue que je n’aimais pas devient quelqu’un de familier, avec qui j’aime travailler.

Comme le dirait si bien Marjo « On n’apprivoise pas les chats sauvages! »

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Art de vivre

Quand le travail invisible est plus épuisant qu’un « vrai » emploi

Ça a souvent été dit, mais c’est constamment oublié : être maman à la maison, c’est un travail invisible. Les mamans à la maison ou en congé de maternité font des tonnes de tâches. Elles s’occupent des enfants en jouant avec eux, en leur faisant à manger, en s’occupant de leur hygiène. Elles s’occupent aussi de la maison en faisant le ménage, en organisant les biens, en faisant les achats nécessaires. Puis, elles s’occupent de toute la famille en prenant les rendez-vous, en planifiant des vacances, en organisant des activités. Tout ça, et beaucoup plus encore. Bref, la charge mentale est immense.

Lors de mon premier congé de maternité, me retrouvant pour la première fois maman à la maison le temps de quelques mois, j’ai trouvé ça difficile. J’avais l’impression de passer mes journées à travailler, sans vraiment travailler.

Je m’explique.

En tant que tel, je trouvais ça plus épuisant d’être mère à la maison que d’être enseignante, mon emploi habituel. Je manquais de sommeil, je passais ma journée à faire de nombreuses tâches et je me retrouvais complètement brûlée à 4h l’après-midi.

Or, ce que je trouvais le plus difficile, ce n’était pas mes grosses journées. Je savais que c’était temporaire, qu’un jour, bébé ferait ses nuits, vieillirait, et que tout ça deviendrait plus facile (ce qui fût le cas quelques mois après).

Ce que je trouvais difficile, c’était que je manquais de reconnaissance. Je faisais ce qui est, selon moi, un des plus importants travails du monde : éduquer nos enfants. Pourtant, un partie de moi se sentait inutile. Alors qu’on vit dans une société de performance, on se valorise trop souvent par rapport à notre emploi rémunéré. Ainsi, quand on fait un travail invisible, un incontournable sentiment d’inutilité vient nous envahir.

Bon, ce texte semble être un horrible constat négatif, mais détrompez-vous! Il y a quelque chose qui m’a vraiment aidée: mon chum et moi, on se dit merci.

Ça a l’air d’une solution bien simple, et ce l’est, mais son efficacité est assez incroyable. C’est simplement parce que ça provoque le sentiment que tout le travail fait est reconnu par quelqu’un. C’est parfois tout ce que ça prend pour se donner un petit boost de confiance et de sentiment d’accomplissement.

Mon chum et moi, on se remercie pour plein de choses.

« Merci d’avoir fait la vaisselle. »

« Merci d’avoir plié le linge. » (On va se le dire, le défi n’est pas de partir une brassée, mais bien de la plier!)

« Merci d’avoir fait prendre le bain aux enfants. »

C’est un effort conscient qui aide tout le monde à se sentir mieux face au travail invisible qui est fait. En prime, ça fait vraiment du bien au couple! Ça a même été confirmé scientifiquement par une étude qui a conclu que cette expression de gratitude réduit les chances de divorce!

Dites-vous merci dans votre couple?

Vous avez envie de partager votre histoire? Écrivez-nous via info@tplmag.com

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Art de vivre

Une « meilleure conciliation travail-famille », ça veut dire quoi?

Saviez-vous que plusieurs études ont démontré que la conciliation travail-famille augmente la productivité, diminue le taux de roulement et améliore la santé des employés? Saviez-vous aussi que 68% des milléniaux seraient prêts à changer d’emploi pour une meilleure conciliation travail-famille?

Donc, en cette période de pénurie de main-d’oeuvre, je m’amuse à regarder ce qui s’offre sur le marché. Qui sait, je trouverai peut-être un emploi qui permettra une meilleure conciliation entre ma vie professionnelle et ma vie de maman. Mais quelle surprise de voir qu’une grande partie des entreprises québécoises ont la même chose à m’offrir:

  • du café gratuit
  • un horaire flexible
  • une conciliation travail-famille

C’est super, je pourrai prendre ma quatrième tasse de café de la journée, gratuite, au travail. Eh bien oui, parce qu’avant d’arriver au bureau, j’ai déjà eu le temps d’en boire trois à la maison en essayant de préparer mes enfants pour la garderie. 

Cependant, qu’est-ce que j’obtiendrai réellement en conciliation travail-famille et en horaire flexible?

Ces termes « passe-partout » restent très flous. Est-ce que ça veut dire que je pourrai travailler 4 jours par semaine, et ainsi avoir une journée pour faire mes courses et mon ménage? Est-ce que ça veut dire que je pourrai travailler de la maison quand que j’en ai envie, sans nécessairement attendre la visite du plombier? Est-ce que ça veut dire que j’aurai accès à un service de garde sur les lieux de mon travail, car je n’ai malheureusement eu l’appel d’aucun CPE? Est-ce que ça veut dire que des mesures sont mises en place pour faciliter mon retour du congé de maternité?

Je n’en ai aucune idée, car tous les affichages de postes sont si vagues. Alors, je m’adresse à vous, chers employeurs: que voulez-vous dire par « conciliation travail-famille » et « horaire flexible »?  Si la conciliation travail-famille est partie intégrante de votre culture d’entreprise, soyez clairs et donnez des précisions, par exemple: « possibilité de télétravail une journée par semaine » ou encore « possibilité de travail à temps partiel ».

Mais, au contraire, si vous n’êtes pas à l’aise avec le concept ou si certains de vos emplois sont incompatibles avec un horaire flexible, c’est très légitime, soyez simplement transparents. 

Comme ça, tout le monde va savoir à quoi s’attendre et pourra faire des choix qui correspondent le mieux à leurs besoins, autant du côté des employeurs que des employé.e.s.

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Ton petit look

Une formation créative « en action »

Si vous n’avez jamais entendu parler de l’école qui a fait de la créativité une science, ben on vous présente La Factry, le projet de Philipe Meunier, le grand publicitaire québécois qui a créé un empire avec ses agences de publicité situées partout sur la planète, portant toutes le nom de Sid Lee. Après avoir constaté que le système scolaire traditionnel n’enseignait pas aux jeunes à se mouiller, à oser et à sortir des sentiers battus, M. Meunier a voulu créer une nouvelle façon d’apprendre ou plutôt, de désapprendre!

La Factry offre depuis 2016 des formations en créativité à la relève et aux professionnels de tous les milieux. Elle organise également plusieurs activités ouvertes au public: conférences, débats créatifs, soirées d’improvisation, etc. Avec sa programmation et ses cours très variés, l’école vise à forger des esprits créatifs qui sauront trouver des solutions inédites aux défis contemporains.

Voilà maintenant qu’elle lance un nouveau programme destiné aux jeunes de 18 à 27 ans pour mieux les préparer à entrer dans le fascinant monde du travail. Pause – le nom de la formation – est littéralement une pause entre le cursus scolaire et l’entrée sur le marché du travail. Pendant 14 semaines, les jeunes suivront une formation « en action », et pourront ensuite appliquer leurs  nouvelles connaissances dans un stage rémunéré, d’une durée de 16 semaines. Le tout estimé à une valeur de 8000 $ par jeune pis ce sera GRATUIT (parce que couvert par une subvention du Service de développement économique de la Ville de Montréal et de la Fondation RBC)! Amen! 

« C’est cliché à dire, mais le monde du travail se transforme tellement vite, donc nous, on veut s’occuper de ce dont l’école ne s’occupe pas, mais qui est hyper puissant sur le marché du travail. » a expliqué Marie Amiot, présidente de La Factry, dans La Presse.

Le contenu de la formation a été développé en collaboration avec l’UQAM, l’École de technologie supérieure (ETS) et le Collège Sainte-Anne. Les étudiants évolueront à travers des thèmes comme la collaboration au jeu et l’art de briser une règle (très nice!), en plus d’assister à des ateliers pas tant traditionnels, à du mentorat et à du coaching!

Faite vite, La Factry accepte les candidatures jusqu’à la fin d’octobre.

À noter que ni les dossiers scolaires ni la cote R ne seront pris en compte dans la sélection des candidats. Du jamais vu, quoi…

Et quoi de mieux pour terminer que de citer notre bon vieux Einstein?

La logique vous mènera d’un point A à un point B. L’imagination vous emmènera où vous voulez. – Albert Einstein

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Art de vivre

Mon retour au travail me remplit de fébrilité

Mon congé de maternité tire à sa fin. Sur les 15 mois que j’ai pris « pour me gâter puisque c’est mon dernier bébé », il me reste moins de deux semaines à profiter de ces moments uniques de maman à la maison. Face à ce retour au travail qui arrive à grands pas, mes sentiments sont mitigés entre l’excitation du défi professionnel qui m’attend et l’angoisse à l’idée de reprendre le rythme de vie effréné que comporte ma vie de mère au boulot.

D’une part, j’adore mon emploi et je me sens parfaitement prête à y retourner. Mes collègues me manquent, la stimulation des nombreux projets à gérer quotidiennement m’appelle et je ressens le besoin d’occuper mon cerveau avec autre chose que les activités familiales. Il faut dire que j’ai aussi la chance de réintégrer un milieu où de nombreux avantages existent pour faciliter la conciliation travail-famille. Dans mon cas, cela signifie notamment une semaine sur 4 jours, un horaire flexible et une possibilité de télétravail lors de situations particulières. C’est l’idéal lorsqu’on a plusieurs enfants en bas âge et j’en suis extrêmement reconnaissante!

D’un autre côté, malgré toutes ces conditions facilitantes me permettant un retour au travail harmonieux, je dois avouer que la dernière année nous a permis de mettre notre vie mouvementée sur pause et de reprendre notre souffle. Même avec un jeune bébé, je me suis sentie plus disponible physiquement et mentalement pour mon conjoint et mes trois grands. J’ai cuisiné plus souvent des plats faits maison, j’ai emmené les enfants au parc lorsqu’ils avaient congé et joué davantage avec eux, j’ai eu moins l’impression d’être dépassée par les tâches ménagères?

J’ai aussi constaté des répercussions directes de cette année de répit sur mes enfants : meilleure concentration lors des devoirs (avec hausse des résultats scolaires), moins d’agitation lors des routines, plus d’harmonie dans la maison en général.

Ces conséquences positives de mon congé de maternité m’ont beaucoup fait réfléchir sur mon avenir. Avec 4 enfants, devrais-je me retirer du marché du travail pour me consacrer entièrement à mon rôle de mère? Bien que cette option possède ses avantages, je ne suis pas prête à renoncer à ma carrière et tous les bienfaits qu’elle m’apporte. Je sais que ce n’est pas le cas de tous, mais j’ai la chance d’avoir un travail que j’ai choisi, que j’apprécie et qui me rend vraiment heureuse.

C’est pourquoi je souhaite donner l’exemple à mes enfants (qui m’observent de près) en leur démontrant que leur maman peut s’épanouir dans son rôle d’employée comme elle le fait déjà dans celui de mère, d’amoureuse ou d’amie. Je désire leur apprendre que l’équilibre travail-famille, c’est précaire, mais ça existe. Puis que c’est possible de dénicher la carrière qui nous convient dans un milieu où l’on est véritablement apprécié, valorisé et stimulé? même si cela nous met un peu plus à la course le matin et le soir.

Comment avez-vous vécu votre retour au travail suite au congé parental?

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Art de vivre

Choisir le statu quo professionnel

(chronique)

L’argent et l’ambition professionnelle sont de grands tabous, encore en 2019. Je croyais révolue l’époque où les gens jugeaient la réussite d’une personne en fonction de son salaire annuel et de son désir d’avancement. Mais apparemment qu’un malaise subsiste, du moins autour de moi, et c’est pourquoi je ressens souvent le besoin de me justifier à ce sujet.

Mon conjoint et moi gagnons bien notre vie. Nous avons des emplois stables que nous apprécions, de bons salaires et on ne manque de rien. Nous faisons partie de ce qu’on appelle la classe moyenne.

Nous avons tous deux complété avec brio des études universitaires. Au travail, nous sommes généralement des employés performants. Nous avons un excellent rendement et recevons une rétroaction positive de la part de nos employeurs. Toutes les conditions sont réunies pour une carrière prometteuse et une progression hiérarchique certaine. Mais il y a un hic : en ce moment, ce n’est pas ce à quoi nous aspirons.

Pourtant, ce ne sont pas les opportunités qui manquent! J’aperçois régulièrement des postes affichés qui constitueraient une promotion par rapport à mon emploi actuel. Bien que le défi professionnel soit alléchant, je ne peux pas me faire à l’idée de consacrer moins de temps à mes enfants? du moins, pas pour l’instant, à l’âge et avec les besoins qu’ils ont.

Récemment, mon conjoint s’est vu proposer une opportunité d’avancement par son gestionnaire? un beau poste correspondant à son profil qui lui permettrait de voyager partout à travers le monde! Nous en avons discuté ensemble, mais de lui-même il a pris la décision de conserver ses fonctions actuelles. Il ne pouvait tout simplement pas concevoir d’être éloigné de sa famille sur une base régulière.

Au fil des années et avec l’arrivée de nos bébés, nous avons adopté un mode de vie confortable mais cohérent avec notre revenu. On ne fait pas de folies, mais on se permet de petites sorties pendant les vacances et occasionnellement, un séjour à l’extérieur. Nous allons peu au restaurant, mais on adore recevoir nos amis pour souper à la maison. Je n’appellerais pas ça des sacrifices ni des compromis, c’est un choix de vie qui nous rend vraiment heureux.

Ces décisions professionnelles que nous avons prises nous permettent d’être plus présents, physiquement et mentalement, pour nos enfants. Nos horaires de bureau nous laissent nos week-ends de congé et favorisent une bonne conciliation travail-famille. Nous cumulons aussi plusieurs semaines de vacances par année, pendant lesquelles on recharge nos batteries en famille ou en couple.

Crédit: John-Mark SmithUnsplash

Pour l’instant, cette extraordinaire qualité de vie que nous avons, nous ne sommes pas prêts à la sacrifier pour quelques dizaines de milliers de dollars de plus annuellement. Alors non, ma carrière ne progressera pas significativement durant les prochaines années et mon revenu annuel n’augmentera pas de façon fulgurante, mais j’en suis très heureuse ainsi.

Nous avons choisi le statu quo professionnel. Ça ne fait pas de nous des personnes moins carriéristes ou ambitieuses, au contraire. Cet équilibre nous permet de performer davantage? tant au travail que dans nos vies personnelles, familiales et amoureuses. Et puis, rien ne nous empêchera de propulser nos carrières dans quelques années, si tel est notre souhait!

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Musique

Carly Rae Jepsen déjà de retour au travail

Carly Rae Jepsen n’aura pas grandement profité de la période des fêtes pour prendre du repos et se ressourcer.

La chanteuse canadienne s’est simplement accordé une brève pause, mais est déjà de retour au travail. Celle qui a lancé en 2015 l’album E-mo-tion, salué par la critique, mais boudé par le public, n’entend pas s’arrêter en si bon chemin.

En plus de poursuivre la promotion de son nouvel album, Jepsen est en répétition pour Grease Live, aux côtés de Jessie J, Vanessa Hudgens et Julianne Hough.

« Je n’ai que quatre jours de congé. Ce n’est pas long, mais je serai à la maison en famille au Canada », a expliqué la sympathique chanteuse.

Jepsen entame également sa nouvelle tournée, le Gimme Love Tour, dès février 2016.

Par ailleurs, tout indique que Carly Rae Jepsen travaille déjà à l’écriture d’un autre album, elle qui se retrouve dans une quête perpétuelle de faire oublier Call Me Maybe à un public toujours plus avide de hits commerciaux.

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Potins

Madonna ne socialise pas beaucoup

Selon ses propres dires, Madonna n’est pas sorteuse. Pas qu’elle n’aime pas socialiser, mais avec son rythme de vie, elle ne peut pas se le permettre. Elle raconte qu’elle doit s’en tenir à une routine très stricte si elle veut avoir la forme nécessaire pour faire ses spectacles.

«J’ai une vie très disciplinée. Je ne sors pas beaucoup. Ma vie tourne autour de mes spectacles, mes quatre enfants et garder un mode de vie sain», a-t-elle confié au magazine HELLO.

Alors qu’elle travaille actuellement sur sa 10e tournée mondiale, Madonna confiait récemment qu’avec le temps, elle trouvait de plus en plus difficile d’offrir une expérience de concert unique et que, pour ce faire, elle doit laisser de côté des aspects qu’elle adore pour rafraîchir la production. 

La star explique qu’elle aime surtout ses titres moins commerciaux, plus abstraits, mais quelle les met de côté pour offrir ce que les fans veulent vraiment. 

«Je réalise que je dois faire les chansons avec lesquelles les gens sont plus familiers et qu’ils peuvent chanter avec moi. Je dois donc équilibrer le tout et ne pas seulement faire un spectacle créatif qui ne serait qu’à mon goût», termine-t-elle.

Le Rebel Heart Tour est la dixième tournée de Madonna, pour le moment composée de 81 dates à travers le monde. Cette tournée a commencé le 9 septembre 2015 à Montréal.

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Potins

Lindsay Lohan plus heureuse que jamais

Lindsay Lohan se porte bien et serait « plus heureuse que jamais », selon sa mère.

La star de Mean Girls vient notamment de voir sa probation être levée, une première en huit ans.

« Elle est plus heureuse que jamais. Elle obtient des offres de films à gauche et à droite », soutient sa mère Dina en entrevue avec RadarOnline.com.

Lindsay Lohan voit enfin ses problèmes judiciaires prendre fin avec la levée de sa probation, elle qui avait retrouvé le juge à la suite d’une affaire de conduite dangereuse en 2012.

L’actrice a complété ses 125 heures de travail communautaire imposé au cours des dernières semaines.

Lohan a notamment offert ses services de jardinière à un centre pour femmes, en plus de travailler dans un centre pour enfants de Brooklyn.

Remerciant tout le monde à la suite de la finalisation de ses travaux, Lindsay Lohan promettait récemment de s’offrir un « nouveau départ » et de repartir à neuf.

Pourra-t-elle relancer sa carrière du même souffle? Si l’on se fie à sa mère, oui.

Lindsay Lohan n’a cependant toujours aucun projet de film confirmé pour 2015-2016.