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Le stress au travail : ennemi officiel de la bonne santé

Malgré toutes les études qui paraissent dans le domaine médical et les nombreux conseils alimentaires prodigués, il n’en demeure pas moins que le stress est un des ennemis, sinon le principal, à abattre pour maximiser ses chances de vieillir en santé.

Le stress, on le retrouve partout de nos jours, particulièrement dans le cadre des fonctions de notre emploi. Trop souvent, les employés sont surchargés, peu encouragés, travaillent de longues heures et passent de moins en moins de temps de qualité avec leurs proches ou à relaxer.

e-sante.com parle également des conflits fréquents au sein d’un milieu de travail, des décisions difficiles ainsi que du sentiment d’injustice souvent ressenti par beaucoup d’employés. Le manque d’autonomie (pauses rares, surveillance, confinement, etc.) est aussi un problème majeur de nombreux lieux de travail.

On recommande de faire un sérieux bilan de vie si vous considérez être trop stressé par votre travail, car il est aussi possible que vous ne soyez pas dans la bonne branche. Pour s’épanouir pleinement, il faut aimer ce que l’on fait, sinon le stress risque d’avoir votre peau.

Par exemple, si vous n’aimez pas la pression et les prises de décision, il existe plusieurs options qui n’en demandent pas. Certains voudront se tourner vers des emplois qui utilisent un concept de travail autonome, une réalité de l’avenir qui finira par rattraper les compagnies moins efficaces et surchargées.

Il existe aussi plusieurs cas de gens qui ont décidé de troquer la cravate pour la tronçonneuse, décidant de dire adieu au bureau pour retrouver le plaisir de travailler à l’extérieur.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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Le travail humanitaire favoriserait l’anxiété et la dépression

 Les bonnes âmes qui se dévouent chaque jour un peu partout sur la planète devraient surveiller leur santé mentale, affirme nlm.nih.gov.

En effet, il appert que le travail humanitaire favoriserait les problèmes d’anxiété et de dépression nerveuse, qui peuvent survenir pendant le voyage et au retour.

Un rapport propose donc aux employeurs dans ce domaine de mettre en place certaines mesures pour contrer le phénomène.

Dans l’étude, les chercheurs ont sondé plus de 200 travailleurs humanitaires et les ont suivis avant, pendant et après leurs interventions.

Au départ, on notait 4 % des travailleurs sujets à l’anxiété, et 10 % qui présentaient des symptômes de dépression. Il s’agit de statistiques normales, en comparaison avec le reste de la population.

Durant les affectations, les chiffres ont grimpé jusqu’à 12 % (anxiété) et 19 % (dépression diagnostiquée). Au retour, le taux d’anxiété rapporté chutait immédiatement de 8 %. La dépression, quant à elle, poursuivait sa hausse vertigineuse avec un taux de 20 %.

Tout comme pour les militaires, le retour à la maison peut s’avérer difficile, et il faut prendre conscience de ce phénomène, selon Alastair Ager, professeur à la Columbia University’s Mailman School of Public Health de New York.

Une vie sociale bien remplie et un soutien soutenu des proches sont des éléments clés dans le maintien d’une bonne santé mentale pour les gens qui vivent des expériences intenses comme l’aide humanitaire, conclut l’étude.

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Le burnout associé aux risques de crise cardiaque

Le surmenage professionnel pourrait mener tout droit à un infarctus, selon ce que rapporte lanutrition.fr.

D’autres maladies cardiovasculaires pourraient aussi être encouragées par un comportement professionnel excessif.

L’épuisement professionnel, on le sait, se reconnaît par ses symptômes de fatigue émotionnelle extrême, de fatigue physique et certaines difficultés cognitives. Bref, le corps ne répond plus, ou très mal. Il a été établi bon nombre de fois, par plusieurs études, que le surmenage peut facilement mener vers une dépression.

On apprend maintenant qu’il peut tout aussi bien mener à une crise cardiaque, selon une étude effectuée par des chercheurs israéliens effectuée sur 8838 hommes et femmes de 19 à 67 ans. Les patients ont été suivis sur une période moyenne de 3,4 années.

Les résultats sont clairs : les gens qui se surmènent au travail augmentent radicalement leurs chances de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire un infarctus. On parle même de 79 % d’augmentation du risque dans les cas d’épuisement sévère.

Le sport est une arme redoutable pour contrer les effets du surmenage, recommandent les experts. L’activité physique, alliée à un rythme de travail sain, permettrait de faire chuter les risques et de maintenir une bonne santé cardiaque.

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Près de la moitié des gens licenciés seraient prêts à reprendre leur poste

Une étude américaine démontre que la façon dont une entreprise traite ses employés lors des congédiements a un impact important, non seulement au niveau psychologique de la personne qui a perdu son travail, mais aussi pour la réputation de la compagnie.
 
« La manière dont les employeurs traitent leurs employés lors de ce processus est importante et le deviendra encore plus quand l’économie repartira », explique Gary J. Blau, auteur principal de l’étude publiée dans le Career Development International.
 
En fait, il faut que les employés licenciés aient aussi une volonté de conserver l’image de l’entreprise, malgré leur colère. La compagnie doit demeurer attractive pour de nouveaux candidats en cas de reprise économique.
 
L’étude américaine démontre que malgré d’importants diplômes, 65 % des employés licenciés sont demeurés sur le chômage plus de six mois, et 23 % plus de deux ans. Un état de désespoir peut se noter chez plusieurs d’entre eux.
 
Les résultats démontrent aussi que 45 % des personnes congédiées seraient prêtes à reprendre leur ancien poste.
 
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De longues heures de travail augmentent les risques de crise cardiaque

Une méta-analyse confirme le lien entre les longues heures de travail et un risque considérablement accru de crise cardiaque.
 
Chez les personnes qui travaillent de 40 à 65 heures par semaine, les risques de maladies coronariennes seraient accrus de 80 %, mais une autre analyse dit plutôt que les risques augmentent de 40 %.
 
Ces études se basent aussi sur l’hypothèse que les personnes qui travaillent sont plus exposées aux stress et à la pression. Elles ont moins de temps pour elles, pour les loisirs ou activités physiques.
 
Comme ces personnes bougent moins et vivraient plus de stress, elles augmentent donc leurs risques d’avoir des troubles cardiaques importants.
 
Les études de ce genre, bien qu’elles soient prises au sérieux, demeurent encore quelque peu floues.
 
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Les mères qui travaillent à temps partiel sont-elles plus heureuses?

Les résultats sont étonnants. Le temps complet, que ce soit au travail ou à titre de mère au foyer, ne satisfait pas les femmes. Elles ne sont pas heureuses avec ce choix, puisque l’une des responsabilités est négligée.

En tout, 982 mères ont participé à ce sondage. 664 étaient au travail, et 34 % d’entre elles admettaient que leur performance au travail s’était amoindrie. Elles souhaitaient plutôt être à la maison avec leurs enfants. En fait, 47 % de ces femmes auraient préféré ne pas travailler du tout.

D’un autre côté, tant les femmes au travail que celles au foyer prennent ces décisions pour les enfants, que ce soit pour la stabilité financière ou la présence de la mère. Ainsi, elles se laissent de côté au profit de l’une ou l’autre des décisions.

Carley Roney, éditrice en chef chez TheBump.com, relate : « Ce sondage révèle que peu importe le choix des femmes, elles ressentent la pression financière et celle de leur partenaire. Les dépenses personnelles sont relayées aux enfants, dans un cas comme dans l’autre ».

La conclusion tirée de ce sondage est la suivante : est-ce que les mères qui travaillent à temps partiel ont le meilleur des deux mondes? Elles participent ainsi aux finances et passent du temps de qualité avec les enfants.

Cela, du moins selon les sondeurs, éviterait aux mères de se sentir déchirées entre le revenu supplémentaire et leur responsabilité de mère.

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3 jeunes femmes sur 4 préféreraient être mères au foyer

C’est 75 % des 1008 femmes interrogées, dans le cadre de la recherche, qui affirment que si ce n’était pas des difficultés financières, elles resteraient à la maison pour élever leurs enfants.

Le Dailymail rapporte que c’est donc à reculons qu’elles reprennent le marché du travail, dans l’espoir d’amoindrir les dettes accumulées pendant le congé de maternité.

Par contre, il n’y a pas que les questions d’argent. Les femmes ont peur du jugement de leurs pairs, puisque l’idée, de nos jours, est qu’une famille traditionnelle est constituée de deux parents qui travaillent à temps plein. Un stéréotype qui fait malheureusement écho à la majorité du reste du globe.

Pourtant, l’étude démontre clairement que seule 1 femme sur 7 souhaite développer sa carrière, et aucune autre étude ou analyse gouvernementale n’a été publiée à ce propos.

La recherche a été menée sous la supervision d’Ann Robinson de uSwitch. « L’époque actuelle fait en sorte que les femmes se sentent obligées de retourner au travail, surtout à cause de la pression financière. »