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Le stress au travail augmente le risque de diabète chez les femmes

Le journal Occupational Medicine rapporte que le stress au travail a de nombreux effets sur la santé, mais chez les femmes, il augmente notamment les risques de diabète. Un effet que l’on ne retrouve pas chez les hommes.
 
On a examiné le lien entre l’environnement de travail et l’incidence du diabète chez 7443 personnes de 35 à 60 ans, suivies pendant 9 ans.
 
19 % des cas de diabète chez les femmes seraient liés au stress au travail, et ce, après avoir tenu compte des facteurs de risque comme le tabagisme, la consommation d’alcool et le régime alimentaire.
 
Le manque de contrôle des tâches et l’absence d’autonomie affectent donc grandement la gent féminine, et pas les hommes.
 
Les chercheurs croient que c’est peut-être en raison d’une réponse différente au stress, des types d’emplois occupés et des hormones. Les recherches doivent donc se poursuivre.

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Ce que papa ne devrait pas faire en salle d’accouchement

D’abord, évitez de vous endormir durant le travail, même si cette étape de la grossesse est aussi exigeante pour vous et que vous n’avez pas fermé l’oeil depuis un moment.

Souvenez-vous de ne pas oublier l’appareil-photo, puis demandez à votre conjointe si elle se sent à l’aise que vous la preniez en photo durant le travail. Certaines femmes préfèrent avoir des photos d’elles et de leur poupon dans leurs bras après l’accouchement seulement.

De plus, tentez de ne pas vous évanouir durant le processus. Il peut être pratique de suivre des cours prénataux afin de savoir à quoi vous attendre.

Ensuite, éteignez votre cellulaire. Si votre partenaire est d’accord, vous pouvez envoyer quelques nouvelles à votre famille durant l’accouchement, mais n’abusez pas et concentrez-vous sur votre conjointe.

Ne vous plaigniez pas de douleurs que vous ressentez. Au moment d’accoucher, madame souffrira bien plus que vous, quoi que vous ayez.

Finalement, ne regardez pas la télévision pendant que votre femme est en travail. Concentrez-vous plutôt sur elle. Les experts croient qu’il est préférable de lui tenir la main et de l’encourager.

Rappelons qu’il est important de soutenir votre conjointe après l’accouchement également. Si elle a eu une césarienne, attendez-vous à ce qu’elle soit clouée au lit pour un moment.

À la suite de cette intervention, elle devra impérativement prendre soin d’elle, puisque les risques d’infections après une césarienne sont plus élevés qu’après n’importe quelle opération.

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Quelques trucs pour faciliter le travail

 

Afin d’éviter d’être trop stressée à peu de temps de votre accouchement, les experts recommandent de s’y préparer. Prévoyez un plan pour plusieurs scénarios; celui où vous rentrez à l’hôpital et que votre conjoint est au boulot, par exemple.

De plus, être en bonne forme physique peut aider à mieux supporter la douleur. Plusieurs femmes se mettent au yoga durant leur grossesse pour apprendre des techniques de respiration qui peuvent être utiles au moment de l’accouchement. Une fois le travail amorcé, essayez de marcher, de bouger un peu afin de vous détendre.

Ensuite, entourez-vous de gens sur lesquels vous pouvez compter lors de l’accouchement. Ils devront savoir comment prendre soin de vous.

Aussi, lors des premières heures du travail, essayez de vous détendre et grignotez un peu. Une fois à l’hôpital, vous ne pourrez peut-être pas manger et aurez besoin de toute votre énergie.

Puis, ne vous mettez pas trop de pression quant à l’accouchement. Soyez ouverte d’esprit, notamment en ce qui a trait à la position dans laquelle vous accoucherez. Vous pouvez utiliser la gravité en accouchant en position plus verticale.

Finalement, écoutez votre obstétricien. S’il vous dit de pousser un peu, évitez d’y mettre trop d’énergie et conservez vos forces pour plus tard.

Rappelons que les femmes qui supportent moins bien la douleur peuvent avoir recours à l’épidurale. Cette piqûre dans le bas du dos permet instantanément d’éliminer les douleurs causées par les contractions, mais peut aussi avoir des effets secondaires indésirables.  Renseignez-vous.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Les performances liées à l’exercice physique

Ne pas bouger assez nuit non seulement votre santé, mais aussi votre rendement au travail.

Selon une étude américaine parue dans le Population Health Management, avoir une mauvaise alimentation peut réduire de 66 % notre productivité, alors que le manque d’exercice peut la réduire de 50 %.

Les chercheurs constatent également que les fumeurs voient leur productivité chuter de 28 % au travail.

Ce sont les 30 à 39 ans qui en ressentent le plus les effets. Les personnes de 60 ans et plus semblent ne pas marquer de différences, avec ou sans exercice et une saine alimentation.

L’étude dévoile également que certains secteurs d’activités sont les plus touchés par les baisses de productivité qui découlent d’un mode de vie malsain. Il s’agit de secteurs des services, des transports, de la pêche, de la construction et de l’agriculture.

Le sommeil influe aussi sur le rendement au travail.

Idéalement, il faudrait donc bénéficier de bonnes nuits de sommeil, faire du sport et manger sainement.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Ce que vous ressentirez après votre accouchement

 

D’abord, il est normal qu’après le travail vous ressentiez des tremblements dans tout votre corps. Il est normal de les ressentir à cause du changement hormonal subi par votre corps après la naissance. Vous pourriez également suer davantage qu’à l’habitude après cet effort physique intense.

Vous pourriez avoir besoin de points de suture au vagin après que le docteur ait dû sectionner la peau pour laisser plus de place au bébé.

Puis, il est possible que bébé ne veuille pas être allaité durant les quinze à trente premières minutes après l’accouchement. Toutefois, ne le renvoyez pas à l’infirmière, gardez-le en contact avec votre peau. Cette proximité est très importante.

Il est possible que vous ressentiez des contractions utérines après l’accouchement. Votre utérus doit en effet reprendre sa taille normale. Votre médecin le massera afin de l’aider à rapetisser plus vite et ainsi minimiser la douleur.

Également, vous continuerez à perdre du sang jusqu’à dix minutes après l’accouchement.

Il sera normal de ressentir de la douleur au niveau de vos parties génitales jusqu’à ce qu’elles se remettent totalement de l’accouchement.

Finalement, si vous avez eu une césarienne, attendez-vous à être clouée au lit pour un moment.

Rappelons qu’après cette intervention, vous devez impérativement prendre soin de vous, puisque les risques d’infections après une césarienne sont plus élevés qu’après n’importe quelle opération.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

 

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Arrêter de travailler n’est pas toujours un choix pour les mères

Selon deux nouvelles études, une parue dans L’Express.fr et l’autre dans Allocations familiales, une mère au foyer sur deux aurait préféré continuer de travailler.
 
Ce n’est donc pas toujours un choix si les femmes mettent fin à leur carrière ou ne retournent pas sur le marché du travail.
 
Parfois, elles renoncent à travailler en raison de leur niveau de scolarité moindre, du nombre d’enfants qu’elles ont, ou encore en raison de l’image de soi.
 
La majorité des femmes (94 %) préfèrent de loin prendre seulement leur congé parental.
 
« 42 % des mères devenues inactives auraient souhaité continuer à travailler, mais plusieurs paramètres les en ont empêchées. Les mères qui ne travaillent plus sont nettement moins diplômées que les mères qui travaillent toujours, mais davantage que les mères qui n’ont jamais travaillé. Toutefois, ce qui détourne le plus les mères de l’emploi est, toujours toutes choses égales par ailleurs, l’absence de conjoint combinée à un faible niveau de vie », mentionne l’auteure principale de l’étude, Bénédicte Galtier.
 
Selon les études, 58 % des femmes disent avoir choisi d’arrêter de travailler, et 19 % disent que cela était plus intéressant financièrement.
 
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Le travail plus long pour les futures mamans nerveuses

En fait, la naissance pourrait même prendre jusqu’à 90 minutes de plus si maman est nerveuse.

De façon générale, les femmes nerveuses avant l’accouchement prennent huit heures pour mettre leur enfant au monde, tandis que celles n’ayant pas peur en prennent six et demie.

La peur de l’accouchement, la tocophobie, atteint le cinquième des femmes. Elle nuit à la naissance puisque l’adrénaline relâchée par le corps de la femme empêche les muscles de se contracter dans le ventre et de propulser le bébé comme il se doit.

De plus, ces femmes sont plus susceptibles d’avoir recours à la césarienne ou à l’épidurale.

« Cette recherche montre que les femmes qui ont peur d’accoucher sont plus susceptibles d’avoir besoin d’interventions, et on doit chercher davantage de ce côté pour que les obstétriciens et les sages-femmes puissent fournir du soutien et des conseils », explique John Thorp du BJOG: An International Journal of Obstetrics ans Gynaecology.

Rappelons que les césariennes ne devraient pas être pratiquées trop souvent. De récentes recherches de l’Université Harvard et du Boston Children’s Hospital ont permis de découvrir que les enfants nés par césarienne étaient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

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Travailler de nuit augmente les risques de cancer du sein de 40 %

Le travail de nuit perturbe le rythme circadien, ce qui est déjà reconnu pour augmenter les risques de maladies cardiaques et de troubles métaboliques.
 
Une nouvelle étude parue dansl’International Journal of Cancer confirme maintenant que le travail de nuit est cancérigène.
 
Les chercheurs ont comparé le parcours professionnel de 1200 femmes ayant eu un cancer du sein entre 2005 et 2008 à celui de 1300 autres femmes qui n’ont pas eu de cancer.
 
On constate que 13 % des répondantes qui ont eu un cancer ont déjà travaillé de nuit, contre 11 % chez le groupe en bonne santé.
 
Les femmes qui ont fait partie d’une équipe de nuit voient leurs risques de cancer du sein augmenter de 35 %. Si elles ont travaillé de nuit pendant plus de 4,5 ans, ces risques grimpent à 40 %, et ils se retrouvent à 43 % si les femmes ont travaillé trois nuits ou moins par semaine.
 
De plus, on apprend que si les femmes ont travaillé de nuit plus de quatre ans avant leur première grossesse menée à terme, les risques de cancer du sein sont accrus de 95 %.
 
« Nos travaux confortent les résultats d’études antérieures et posent le problème de la prise en compte du travail de nuit dans une optique de santé publique, d’autant que le nombre de femmes travaillant avec des horaires atypiques est en augmentation », indique l’auteur principal de la recherche, Pascal Guénel.
 
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La motivation dépend du niveau de dopamine dans le cerveau

Le Journal of Neuroscience révèle que la motivation et le découragement dépendraient du niveau de dopamine dans certaines zones du cerveau lors de l’accomplissement d’une tâche.
 
Cette découverte expliquerait pourquoi certaines personnes sont capables de travailler plus durement que d’autres.
 
À l’Université Vanderbilt, on a demandé à des personnes d’appuyer rapidement sur un bouton pour gagner de l’argent. Chacune d’elles devait démontrer jusqu’à quel point elle était prête à fournir des efforts pour gagner. Certaines ont même relevé des défis extrêmes.
 
Grâce à l’imagerie de leur cerveau, on a pu mesurer l’activité de celui-ci. On remarque ainsi que les personnes qui sont prêtes à fournir des efforts ont une réaction plus forte de la dopamine dans le cerveau, comparativement à celles qui n’osent même pas essayer de relever le défi, en raison des efforts supplémentaires que cela leur demande.
 
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Les femmes obèses victimes de discrimination au travail

Une étude de l’Université de Manchester et de la Monash University à Melbourne démontre que l’apparence physique est un critère important lors de l’embauche d’une personne.
 
En fait, plus une personne qui recherche le candidat idéal est satisfaite de son apparence physique, plus ce critère est important pour elle, et plus cette personne fera de la discrimination auprès de candidats potentiels qui sont obèses, surtout pour les femmes.
 
Les femmes obèses sont moins susceptibles d’être embauchées et gagnent souvent un salaire moins important que leurs homologues de poids normal.
 
L’International Journal of Obesity rapporte qu’au départ, la Dre Kerry O’Brien et son équipe souhaitaient savoir si certains profils étaient plus favorisés que d’autres à l’embauche, et apparemment, la réponse est oui.
 
On a montré une série de CV avec une petite photo des candidates à des chercheurs. Ils devaient se prononcer sur les aptitudes, le salaire de départ et l’employabilité des personnes. Les photos étaient des images de femmes avant et après une chirurgie bariatrique.
 
Malheureusement, on constate une grande discrimination en fonction de l’obésité des candidats potentiels, surtout si la personne qui embauche est satisfaite de sa propre apparence physique.