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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Prise de sang pour déceler les fausses contractions

La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.

Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.

Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.

« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »

Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.

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Conciliation travail et famille encore loin de satisfaire les parents

Des données de deux sondages en ligne sont rapportées par La Presse. Il semble que deux tiers des travailleurs québécois ne voient aucun effort de la part de leur employeur pour faciliter leurs responsabilités familiales.

« Les femmes ont des responsabilités de plus en plus grandes au travail, mais elles s’occupent encore de la majorité des tâches à la maison. Et avec toutes les activités des enfants, les parents ont de moins en moins de temps pour eux. Ça finit par miner leur moral », a confié Marianne Roberge, spécialiste de la conciliation travail/famille à la firme KOEVÄ.

Comme le souligne Dre Diane-Gabrielle Tremblay, trop peu d’employeurs offrent la flexibilité nécessaire. Ils croient notamment que les employés sont moins productifs à la maison, alors que c’est tout le contraire, puisqu’ils sont « reconnaissants ».

Ceux qui s’en tirent le mieux à l’heure actuelle sont malheureusement les familles séparées qui ont la garde partagée des enfants. Une semaine sur deux, ils sont en mesure de prioriser le travail.

Au terme des sondages, les trois quarts des travailleurs ont un sentiment de culpabilité lorsqu’ils font passer le travail avant les enfants, mais 43 % affirment que l’employeur s’attend à passer en premier.

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L’exposition aux produits chimiques sur les lieux de travail inquiète

Certains spécialistes s’inquiètent de la surexposition aux produits chimiques que doivent vivre plusieurs employés et employeurs sur leur lieu de travail, rapporte Top Santé.

C’est le cas des experts de l’Organisation internationale du travail (OIT), qui y vont d’un plaidoyer au lendemain de la Journée mondiale de la sécurité au travail, et qui publient un rapport sur le phénomène souvent méconnu par plusieurs.

On découvre d’abord dans ce rapport que la plupart des gens sont effectivement exposés à certaines matières chimiques au boulot, et que certains travailleurs se retrouvent plus à risque qu’il n’y parait.

Ce serait le cas des coiffeurs et coiffeuses, des employés de salon de manucure, du personnel de bureau et, bien sûr, des ouvriers.

« Tous les lieux de travail ont recours aux produits chimiques, et de fait, de nombreuses catégories de travailleurs sont potentiellement exposées », mentionne le rapport de l’OIT.

L’Organisation croit que près de 160 millions de personnes développent une maladie quelconque, même non mortelle, en lien avec leur travail annuellement.

On invite donc les travailleurs et employeurs à la prudence, à se renseigner et à trouver des pistes de solution afin de garantir la sécurité des membres de leur équipe.

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Resident Evil 6 en écriture

CinemaBlend rapporte que le travail d’écriture sur le scénario du prochain Resident Evil est bel et bien entamé, une bonne nouvelle pour les fans de franchise.

Et ils sont nombreux, si l’on se fie aux chiffres proposés, alors que les deux derniers volets de la série ont engrangé respectivement 296 millions de dollars et 240 millions de dollars.

Aucune surprise, donc, de voir le réalisateur Paul W.S. Anderson de retour au travail pour une cinquième suite, alors que la franchise semble vieillir comme le bon vin.

Par ailleurs, on apprend que le sixième volet de la série adaptée du célèbre jeu vidéo de Capcom ne s’intitulera pas Resident Evil: Rising.

De passage en entrevue, Anderson affirme que le nouveau Resident Evil pourrait être lancé en 2015, année qui verra apparaître sur le marché une panoplie de superproductions. Il confirme également le retour de sa femme, Milla Jovovich, dans le rôle d’Alice, et du personnage d’Ada Wong, interprété par Li Bingbing.

Le dernier volet de la série, Resident Evil: Retribution, a été lancé en 2012.

Écoutez Paul W.S. Anderson en entrevue à propos du prochain Resident Evil.

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Les projets créatifs augmentent la productivité au travail

Les personnes qui s’adonnent à des projets créatifs dans leurs loisirs seraient plus performantes au travail, peut-on conclure des analyses révélées dans une nouvelle étude en la matière.

The National Library of Medicine rapporte en effet la publication d’une étude sur les impacts de la création, effectuée par des chercheurs basés à l’Université de San Francisco.

On note une capacité accrue de résolution des problèmes et une plus grande capacité de performance chez ceux qui s’adonnent à des projets créatifs.

« Peu importe leur activité créative, les participants la décrivent habituellement comme une expérience profonde et luxuriante, qui procure beaucoup d’avantages pour eux. Ils mentionnent également que l’idée de l’auto-expression est une occasion d’en apprendre davantage sur eux-mêmes », résume le professeur Kevin Eschleman, de l’Université de San Francisco.

Les activités décrites vont de l’écriture à l’utilisation des jeux vidéo, rapporte-t-on, toutes des activités empreintes de créativité et de liberté se qualifiant comme bienfaitrices pour la productivité et les capacités cognitives.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Occupational and Organizational Psychology.

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Invalidité au travail : Le mal de dos en serait la cause principale

Les maux de dos seraient désormais la principale cause d’invalidité professionnelle dans le monde, selon Top Santé, qui rapporte la publication de deux études sur le sujet.

Ces deux études dites croisées sont le fruit des efforts de chercheurs américains et australiens, qui se sont penchés sur plusieurs autres recherches en la matière effectuées dans pas moins de 187 pays dans le monde.

Les résultats semblent clairs pour le Dr Damien Hoy de l’Université du Queensland, en Australie, et le Dr Roy Burstein de l’Institute for Health Metrics and Evaluation, à l’Université de Washington.

Les deux spécialistes constatent que les maux de dos sont devenus la première cause qui explique les requêtes en invalidité de la part des travailleurs sur la planète.

« La lombalgie entraine une invalidité globale et ces douleurs dans le dos ont tendance à augmenter avec l’âge. Avec le vieillissement de la population, il est urgent de poursuivre les recherches pour mieux comprendre les lombalgies et trouver des traitements efficaces », croit par ailleurs le Dr Hoy.

Les pires statistiques en matière d’invalidité due aux maux de dos et à la lombalgie seraient observables en Afrique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient.

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Les nouvelles règles de la LNH n’ont pas changé la donne en matière de santé

The National Library of Medicine rapporte des statistiques qui en disent long sur l’inefficacité des nouvelles règles implantées par la Ligue nationale de hockey en matière de violence, de sécurité et de commotions cérébrales.

Selon les informations rapportées, c’est pas moins des deux tiers des joueurs, soit deux sur trois, qui aura manqué au moins un match en raison d’une blessure au cours d’une période de temps estimée à trois saisons.

Financièrement, cela se traduit aussi par une somme estimée de 653 millions de dollars versés à des joueurs qui ne jouent pas, selon une étude proposée par le Dr Michael Cusimano du St. Michael’s Hospital de Toronto.

Mais le Dr Cusimano se soucie davantage de la santé des sportifs, et croit que ces « employés » méritent les mêmes égards que les autres travailleurs.

« Les employeurs ont la responsabilité morale de protéger leurs employés. Les propriétaires de la LNH doivent faire un meilleur travail à protéger leurs athlètes, sinon pour le bien des joueurs, pour celui de leurs propres portefeuilles », lance le médecin canadien.

Les données de Cusimano sont celles recueillies au cours des saisons 2009 à 2012, et reflètent un problème criant.

Les commotions et les blessures au cou arrivent deuxièmes derrière les blessures aux pieds et aux jambes, mais s’avèrent en somme les plus coûteuses en termes de temps et d’argent. Les blessures à la tête sont aussi celles qui favorisent le plus de séquelles ou de problèmes de santé, à long terme.

La voix du Dr Cusimano se joint donc à celle de plusieurs autres spécialistes, joueurs et fans qui croient qu’il est temps de sévir contre la violence au hockey, et d’imprégner à nouveau notre sport national de fierté et de respect.

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Les femmes de carrière dépriment-elles les hommes?

Top Santé dévoile les résultats d’une étude psychosociale qui trace un parallèle entre le salaire et le rythme de vie professionnel des femmes, et les impacts sur l’humeur de leurs amoureux.

Selon les chercheurs de l’Université de Gand, en Belgique, les hommes seraient généralement affectés par le statut professionnel et le salaire de leur partenaire de vie. Si on peut croire que ceux-ci préfèrent voir leur copine et épouse travailler dur et ramener elle aussi le plus d’argent possible à la maison, il semble que ce soit plutôt le contraire.

En fait, les observations effectuées auprès de plus de 1000 couples révèlent que les hommes subissent une baisse de moral et ressentent un certain sentiment de déprime lorsque leur compagne gagne plus d’argent qu’eux. Cela devient bien pire pour les hommes lorsque cela signifie en plus qu’ils devront effectuer plus de tâches ménagères à la maison!

Une tendance qui ne serait pas observable chez la femme, parait-il.

« Dans les ménages à deux revenus, le fait que la femme travaille à temps plein peut provoquer plus d’agitation et une moins bonne santé mentale chez son partenaire, et ce, d’autant plus si elle perçoit un salaire plus élevé que lui. Nous avions décidé de mener cette étude afin de démontrer que nous étions sur la voie d’une société égalitaire entre les sexes. Mais nous en sommes encore loin », tranche Piete Bracke, professeur et auteur de l’étude.

Si les clichés ont parfois la vie dure, il semble que l’orgueil et l’instinct masculin aussi.