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Les meilleurs souvenirs confinés aux 25 premières années d’une vie?

Est-ce que les meilleurs souvenirs d’une vie entière se cacheraient presque tous au cours des 25 premières années? C’est ce que semble laisser entendre une nouvelle étude sur la mémoire et le comportement, rapporte The National Library of Medicine.

Cette étude menée par Kristina Steiner et en provenance de l’Université du New Hampshire analysait la vie et les réponses de 34 sujets volontaires qui devaient raconter leurs parcours. Ceux-ci ont majoritairement repris des événements qui s’étaient déroulés entre l’âge de 17 et de 25 ans.

« Quand les gens regardent leur vie et qu’ils doivent choisir des souvenirs importants, la plupart divisent les histoires par chapitres, définis par des moments importants qui sont universels : l’amour, l’entrée à l’université, un premier emploi et les enfants.

Comme ces grands changements et événements surviennent pour une majorité de gens avant l’âge de 25 ou 30 ans, les chercheurs américains remarquent que bien peu de souvenirs des périodes entre 30 et 70 ans refont surface lorsqu’ils questionnent leurs sujets.

Est-ce là une réaction normale ou devrions-nous nous assurer de nous créer des souvenirs aussi magiques qu’à 25 ans, une fois la trentaine passée? L’étude de Kristina Steiner a de quoi faire réfléchir.

Les résultats ont été publiés dans le journal Memory.

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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Des avantages inédits pour les grossesses tardives

Il semblerait donc que contrairement à ce qu’en disent les médecins et autres spécialistes, il n’y a pas que des dangers qui sont reliés aux femmes enceintes qui dépassent la trentaine. Avec une grossesse tardive, la croissance du bébé serait favorisée, et son métabolisme moins à risque de contracter des maladies infantiles.

Selon PLoS ONE, ce sont 277 bébés qui ont été pesés et suivis. Les chercheurs ont par ailleurs constaté que la production de la molécule IGF-I, chaînon important de la croissance, se faisait en plus grande quantité chez ces enfants. Cela expliquerait que tous les bébés étaient plus grands que ceux des mères de moins de 30 ans.

Quant aux mamans de plus de 35 ans, à ces données s’ajoutait un poids différent et mieux réparti. Les gras étaient moins présents, donnant des bébés plus minces, mais ayant développé une sensibilité accrue au sucre. Résultat : un avantage qui fait chuter le risque d’obésité.

Pour le moment, les chercheurs de cette étude sont les seuls à contrer les autres études, qui tendent toutes vers les risques associés aux grossesses tardives. À vous de voir si les avantages prévalent pour vous lancer dans l’aventure.

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Arrêter de fumer est plus facile à partir de la mi-trentaine

Une étude américaine dévoile que les personnes qui souhaitent arrêter de fumer auraient plus de facilité à le faire entre 35 et 40 ans.
 
Les résultats présentés au congrès de l’European Respiratory Society à Amsterdam, et publiés dans Le Parisien, démontrent que cesser de fumer serait plus simple à la mi-trentaine.
 
Toutefois, on ignore les raisons de ce phénomène. On insiste également sur le fait qu’arrêter de fumer est bénéfique à tout âge, et que les gens n’ont pas à attendre jusqu’à 35 ans avant d’écraser.
 
De plus, on sait que les fumeurs feront environ 7,9 tentatives dans leur vie pour cesser de fumer. Cela explique le fait qu’il est très difficile de se débarrasser de la nicotine.
 
Cette semaine on apprenait que boire de l’eau pouvait aider à calmer les envies de fumer.
 
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L’âge du père ne change rien

La tendance actuelle est à ce que l’on ait nos enfants de plus en plus tard. Des effets néfastes de tout ordre ont été relevés, ces dernières années, quant à l’âge du père. On pense à certaines corrélations avec l’apparition de troubles neuropsychiatriques.

On a donc voulu tester ces suppositions, et voir si un enfant dont le père est dans la cinquantaine, par exemple, aura plus de difficulté à réussir à l’école, ou encore plus tendance à la quitter.

Une recherche parue dans PLoS ONE nous apprend pourtant que le fait qu’un père soit plus vieux que la moyenne n’empêchera en rien la réussite scolaire de son enfant. Cela dément les sorties quant à un impact négatif de l’âge avancé du père sur la cognition de son enfant.

Menée par l’Institut Karolinska, cette étude a porté sur 135 000 enfants de Stockholm, lesquels avaient abandonné l’école entre 2000 et 2007. On n’a remarqué aucune différence entre les enfants dont le père était dans la cinquantaine et ceux dont le père avait une trentaine d’années.

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La ménopause précoce comme cause de l’infertilité

Comme la fertilité chute 10 ans avant la fin des menstruations, une femme ayant une ménopause précoce pourrait connaître des problèmes d’infertilité dès l’âge de 30 ans.

Ainsi, comme nous pouvons le lire sur Le Monde.fr, cela pourrait avoir de grandes répercussions puisque la majorité des femmes ont aujourd’hui des enfants à partir de 30 ans.

La ménopause avant 45 ans touche 1 femme sur 20. Seulement 1 % des femmes la commencent dès l’âge de 40 ans.

Il y a toutefois de l’espoir pour ces femmes, puisque des chercheurs britanniques, de l’Université d’Exeter et de l’Institut de recherche sur le cancer, se sont intéressés à ce sujet.

Ils ont d’abord recherché 4 variantes génétiques chez 2 000 femmes ménopausées avant 45 ans. Ils ont ensuite comparé les résultats avec ceux observés chez des femmes âgées de 51 ans en moyenne.

Ils ont pu conclure que la présence de ces variantes serait un bon indice de ménopause précoce. Donc, les femmes pourraient être avisées plus tôt de possibles problèmes d’infertilité.

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Un retour d’âge dès 35 ans

Il semblerait que le retour d’âge n’est plus vécu dans la quarantaine et la cinquantaine, mais bien à la mi-trentaine, comme le rapporte MailOnline.

En effet, l’âge de 35 ans est maintenant celui attendu comme le tournant de la vie adulte. Une étude a aussi démontré que les personnes dans la trentaine et la quarantaine sont les plus malheureuses, toutes tranches d’âge confondues.

Plus de 2 000 personnes ont participé à cette étude réalisée le mois dernier par Relate et TalkTalk en Angleterre. Plusieurs tranches d’âges ont été examinées.

Les attentes de notre société, laquelle est basée sur le travail et la performance, causent de nombreux problèmes d’anxiété. Ce serait la raison de cette migration. En d’autres mots, la génération actuelle vivrait en accéléré par rapport à la précédente.

Par exemple, l’âge moyen d’accession à un poste de chef exécutif, qui est de haute gestion, est passé de 59 ans à 48 ans en une seule génération, soit environ 30 ans.