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Six articles pour aider votre enfant trisomique à marcher

Voici quelques articles à se procurer pour les encourager, selon Babble.

1. Un tapis de jeu ou une couverture épaisse : Laisser l’enfant sur le ventre est le moyen le plus efficace pour lui permettre de travailler ses muscles, tout en étant plus facile.

2. Un tapis d’exercices : Celui-ci protège les enfants tout en les stimulant.

3. Des prothèses pour les hanches : Les bébés trisomiques sont très flexibles, ce qui peut ralentir leur développement. Ces prothèses abordables peuvent les aider.

4. Un siège « Bumbo » : Ce siège donne un peu d’aide aux bébés pour s’asseoir, et il leur permet de découvrir leur environnement.

5. Un siège pour le bain : Ce siège permet au petit d’être en position assise et de se servir de ses mains pour jouer dans le bain.

6. Un assistant à la marche « Moon Walk » : Celui-ci ne fait par marcher l’enfant tout seul, mais peut lui donner juste le petit coup de pouce dont il a besoin, tout en étant sécuritaire.

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Plus d’un bébé sur 50 naît avec une malformation

Le nombre de naissances avec anomalies aurait presque doublé au cours de la dernière décennie, passant ainsi d’un bébé touché sur 80 à un bébé sur 50.

Ceci est le compte-rendu d’un rapport de Joan Morris, professeure du département de statistiques médicales de l’Université londonienne Queen Mary, et du British Isles Network of Congenital Anomaly Registers (Binocar).

Les dernières statistiques ont révélé que ces bébés étaient atteints majoritairement de trisomie 21, d’anomalies du tube neural comme le spina-bifida (un cas sur 1000), de gastroschisis (un cas sur 1000) et de cardiopathie congénitale (plus de 5 bébés sur 1000). Six pour cent des bébés atteints de cette dernière malformation mourront avant d’avoir eu un an.

Seulement en Angleterre et au Pays de Galles, les chercheurs estiment que 14 500 bébés seraient nés avec l’un de ces handicaps en 2009. Cinquante-trois pour cent de ces cas ont été détectés durant la grossesse, et 43 % de ceux-ci se sont terminés en avortement. Soixante-huit pour cent ont été diagnostiqués à la naissance, 9 % après une semaine, et 17 % après un mois.

Selon un sondage, les parents qui ont un bébé malade parlent peu de leur vie personnelle. Il existe tout de même de plus en plus de registres avec divers renseignements, dans différents pays, pour permettre l’avancée des recherches.

L’environnement dans lequel on vit, un jeune âge chez la mère et la consommation de drogue, de cigarettes et d’alcool sont tous des facteurs qui entreraient en ligne de compte.

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Le commissaire à la santé et au bien-être du Québec tranche

Un article publié dans le quotidien La Presse nous apprend que M. Robert Salois, commissaire à la santé et au bien-être du Québec, recommande le test de dépistage gratuit du syndrome de Down chez toutes les Québécoises enceintes.

En ce moment, il faut débourser pour subir une échographie de clarté nucale combinée à une prise de sang. L’amniocentèse est offerte gratuitement pour les femmes enceintes considérées à risque.

La décision de M. Salois est toutefois nuancée alors qu’il souhaite que les médecins aient le consentement « libre et éclairé » des parents avant que le test soit effectué. « On devra parler des risques, mais aussi de comment vivre avec un enfant trisomique et aussi parler de ce que les personnes trisomiques peuvent apporter à la société », a mentionné la commissaire adjointe à l’éthique, Guylaine de Langavant.

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Un test sanguin plutôt que l’amniocentèse

Régen Drouin, un chercheur de l’Université de Sherbrooke, devrait mettre au point un test sanguin qui détecterait les maladies génétiques chez le foetus et éviterait ainsi aux femmes de subir une amniocentèse.

L’amniocentèse consiste à extraire du liquide amniotique afin de déterminer la maturité du futur bébé, le degré de souffrance foetale en cas d’immunisation foetomaternelle et de diagnostiquer une aberration chromosomique, ou le sexe de l’enfant.

Cette opération, surtout pratiquée chez les femmes enceintes de plus de 40 ans, n’est pas sans risques chez la future mère et le bébé et peut causer une fausse couche, une fuite du liquide amniotique, une rupture prématurée des membranes ou pire, la mort du foetus dans l’utérus.

Le simple test sanguin est sans risque pour la femme enceinte et son enfant. Il consiste à extraire lors de la treizième ou quatorzième semaine de gestation les cellules foetales pour ensuite les analyser. La présence accrue de ces cellules dans le volume sanguin, de deux à dix fois plus, permet de détecter la trisomie 21, 13 ou 18.

M. Drouin espère maintenant effectuer des essais cliniques de ce test sanguin.