Une équipe du Centre universitaire de santé McGill a découvert que la forme la plus mortelle du cancer de l’ovaire débutait souvent dans les trompes de Fallope.
Voilà donc une découverte qui pourrait remettre en question les méthodes de dépistage utilisées présentement.
Une équipe du Centre universitaire de santé McGill a découvert que la forme la plus mortelle du cancer de l’ovaire prenait souvent source dans les trompes de Fallope.
Voici donc une découverte qui pourrait remettre en question les méthodes de dépistage utilisées en ce moment.
Une meilleure connaissance de la genèse de ce type de cancer permettrait non seulement de meilleurs diagnostics, à un stade plus précoce, mais aussi de nouveaux traitements possibles.
Chaque année, 216 000 femmes reçoivent un diagnostic de cancer de l’ovaire dans le monde, 2600 au Canada seulement, et 70 % en mourront.
La forme la plus mortelle de la maladie cause 90 % des décès par cancer de l’ovaire. Un diagnostic précoce permet d’augmenter les chances de guérison. Malheureusement, les femmes ont souvent peu de symptômes au début de la maladie.
« Le type de cancer de l’ovaire mortel n’est pas vraiment le cancer des ovaires tel qu’on le connaît maintenant; nous devons donc repenser les tests diagnostiques, sinon ces cancers vont nous échapper », mentionne la Dre Lucy Gilbert à la revue The Lancet Oncology.