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Neil Young à la rescousse de la forêt tropicale

Quelque temps à peine après avoir finalisé sa campagne de financement pour son système musical Pono, rapporte le Rolling Stone, Neil Young est de retour et réutilise le même stratagème cette fois pour contribuer à une cause écologique.

S’alliant à Rainforest Connection, un concept qui tente de secourir les forêts tropicales humides menacées, Neil Young fait la promotion d’une nouvelle technologie capable de « nous faire entendre la forêt ». Cherchant à amasser des fonds pour la cause tout en sensibilisant les citoyens du monde à l’importance du problème, Neil Young est donc de retour sur Kickstarter pour mener à bien sa nouvelle quête.

La technologie en question permet de détecter en temps réel les activités se déroulant dans toutes les forêts du monde, semble-t-il.

« Cette technologie permet à la forêt de parler au monde. Quand une forêt est menacée, elle peut parler, et vous pouvez l’entendre », explique le chanteur.

On peut lire sur le groupe du projet Kickstarter : « Les systèmes de détection actuels par satellite montrent la destruction des forêts des jours ou semaines trop tard. Notre système propose le premier système de détection en temps réel ».

Il s’agit en effet d’une idée possiblement révolutionnaire, et qui démontre encore une fois que l’utilisation des technologies et de la créativité peut largement contribuer à une cause noble ou sociale.

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Neil Young à la rescousse de la forêt tropicale

Quelque temps à peine après avoir finalisé sa campagne de financement pour son système musical Pono, rapporte le Rolling Stone, Neil Young est de retour et réutilise le même stratagème cette fois pour contribuer à une cause écologique.

S’alliant à Rainforest Connection, un concept qui tente de secourir les forêts tropicales humides menacées, Neil Young fait la promotion d’une nouvelle technologie capable de « nous faire entendre la forêt ». Cherchant à amasser des fonds pour la cause tout en sensibilisant les citoyens du monde à l’importance du problème, Neil Young est donc de retour sur Kickstarter pour mener à bien sa nouvelle quête.

La technologie en question permet de détecter en temps réel les activités se déroulant dans toutes les forêts du monde, semble-t-il.

« Cette technologie permet à la forêt de parler au monde. Quand une forêt est menacée, elle peut parler, et vous pouvez l’entendre », explique le chanteur.

On peut lire sur le groupe du projet Kickstarter : « Les systèmes de détection actuels par satellite montrent la destruction des forêts des jours ou semaines trop tard. Notre système propose le premier système de détection en temps réel ».

Il s’agit en effet d’une idée possiblement révolutionnaire, et qui démontre encore une fois que l’utilisation des technologies et de la créativité peut largement contribuer à une cause noble ou sociale.

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L’eau tropicale de Sisley sera mise en vente en mai 2014

La nouvelle fragrance estivale de la marque de cosmétiques Sisley sera dévoilée dès mai prochain. Elle s’articule autour de notes très exotiques.

L’Eau Tropicale de Sisley est une invitation au voyage lointain, évoquant des forêts tropicales, mais également de longues plages de sable blanc et une eau turquoise.

Le parfum s’ouvre sur des notes de frangipanier, de passiflore, de gingembre, et de bergamote zestée, conjuguées à des senteurs d’hibiscus, de tubéreuse, de rose turque et de violette. Des essences de cèdre, patchouli et graines d’ambrette referment l’essence.

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Cinéma

La forêt tropicale « comme on ne l’a jamais filmée »

« Ces forêts ont été calomniées. L’enfer vert, c’est un vieux poncif datant de l’époque coloniale qu’il est grand temps de faire tomber par terre, l’objectif du film, c’est de montrer à quel point c’est beau, intéressant et pas dangereux! », explique à l’AFP le botaniste Francis Hallé, inspirateur et seul personnage humain du film Il était une forêt.

Le scientifique connaît parfaitement les forêts tropicales dont il a pris l’habitude d’arpenter la canopée à bord d’un « radeau des cimes » et a su convaincre le réalisateur Luc Jacquet, oscarisé en 2006 avec La Marche de l’Empereur, de faire découvrir ces géants des tropiques.

« C’est la forêt comme on ne l’a jamais filmée », se réjouit Francis Hallé, 75 ans, qui se bat contre la « disparition de son objet d’étude » depuis les années 60.

Mais plutôt qu’un énième manifeste contre la déforestation galopante — 13 millions d’hectares de forêts, principalement tropicales, disparaissent chaque année pour être convertis en terres agricoles selon la FAO —, les deux hommes ont choisi de rendre hommage à la beauté de ces arbres et de raconter la genèse d’une forêt primaire, ces forêts jamais abîmées par l’homme qui ont aujourd’hui disparu ou presque.

Pour cette « évocation poétique et esthétique » de la forêt, tournée au Gabon et au Pérou, le « grand défi » est précisément d’avoir dû « faire un film avec des arbres, c’est-à-dire ce dont les cinéastes ont le plus peur », souligne Francis Hallé. « C’est immobile, silencieux et cela ne rentre pas dans le format du cinéma. »

Ce défi a « stimulé la créativité » du réalisateur, qui a mis au point un système de cordages sophistiqué, baptisé « Arbacam », permettant des travellings très souples le long d’arbres pouvant atteindre 70 mètres de haut, et utilisé un drone pour des vues aériennes magnifiques.

Le parti pris du film : sensibiliser le spectateur à travers l’émotion plutôt qu’un cours magistral sur la géographie ou l’économie de forêts grignotées année après année par l’exploitation du bois, l’élevage, la culture de céréales ou l’extraction minière et pétrolière…

Pour un biologiste, « aller là-haut, c’est normal », ajoute-t-il. « Dans les sous-bois, comme il y a très peu de lumière, il y a très peu de plantes donc très peu d’animaux… Tout se passe là-haut! Les branches d’arbres sont couvertes de jardins suspendus… Il y a des montagnes de fleurs là-haut », raconte Francis Hallé, toujours aussi fasciné par un monde qu’il a découvert à 22 ans en Côte-d’Ivoire.

Et de s’enthousiasmer : « Les arbres, ce sont eux qui gouvernent la forêt alors qu’ils n’ont pas de cerveau! Les animaux sont à leur service. Ils arrivent à les faire venir quand ils en ont besoin, à les chasser quand ils n’en plus besoin… Ce qu’on a voulu faire, c’est un peu une réhabilitation de la fonction de l’arbre. »