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L’exercice physique aide à conserver les capacités mentales

Deux études rapportées par les Archives of Internal Medicine démontrent que l’activité physique permet aux personnes âgées de conserver de bonnes capacités mentales.
 
La première étude, effectuée à Harvard, a examiné les bienfaits de l’exercice sur le déclin mental de 2 800 femmes de plus de 65 ans qui avaient des problèmes cardiaques associés à des risques accrus de troubles cognitifs.
 
Après des tests sur une période de cinq ans, on constate que les femmes les plus actives ont obtenu de meilleurs résultats cognitifs que celles qui bougeaient moins.
 
La deuxième étude, réalisée sur 197 personnes (hommes et femmes) ayant en moyenne 75 ans, arrive aux mêmes résultats.
 
De plus, pour conserver ses capacités, il est recommandé par la Clinique Mayo d’éviter la solitude, qui augmente le stress et la dépression, deux problèmes à l’origine des pertes de mémoire.
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Être actif à l’adolescence est le plus important

Les femmes qui sont physiquement actives tout au cours de leur vie ont moins de chances de développer des déficiences cognitives, surtout si elles étaient actives durant leur adolescence, mentionnent des chercheurs canadiens dans leur étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.
 
Les chercheurs ont comparé le niveau d’activité physique de 9 344 femmes à l’adolescence, à 30 ans, à 50 ans et en fin de vie. 15,5 % des femmes étaient inactives lorsqu’elles étaient adolescentes, alors qu’elles étaient 29,7 % à ne pas bouger à 30 ans, 28,1 % à 50 ans et 21,1 % en fin de vie.
 
Finalement, les experts ont démontré que le risque de déficience cognitive chez les femmes inactives se situait entre 50 et 100 %.
 
Ils ont également observé que les performances cognitives étaient meilleures si les femmes bougeaient durant leur adolescence.
 
La Dre Laura Middleton du Sunnybrook Health Sciences Centre au Canada explique : « Notre étude montre que les femmes qui pratiquent une activité physique régulière, quel que soit l’âge, ont moins de chances de développer un jour des troubles cognitifs que les femmes inactives, mais la pratique d’une activité physique à l’adolescence est encore plus importante pour la prévention de la déficience cognitive ».