Des chercheurs de l’Hospital of Philadelphia auraient ciblé un traitement possible contre le trouble du déficit de l’Attention avec hyperactivité (TDAH).
Comme on nous l’explique dans Nature Genetics, on a remarqué des influences génétiques quant au TDAH. Des altérations à certains gènes qui jouent un rôle dans des voies du cerveau en feraient partie.
Les gènes qui entrent ici en jeu atteignent les neurotransmetteurs du cerveau qui sont en lien avec le trouble de l’inattention.
Selon les chercheurs américains, il serait donc possible que des médicaments ayant une influence sur cesdites voies cérébrales puissent représenter un nouveau traitement pour les enfants atteints d’un TDAH.
Dans la cohorte de leur recherche, au moins 10 % des enfants atteints présentaient les variations génétiques mentionnées. On détient donc une explication génétique, et ce lien s’applique déjà à un sous-ensemble de tous les enfants atteints d’un TDAH.