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Manger selon nos humeurs, ou mieux comprendre les signaux du corps

Plusieurs écarts et sautes d’humeur, qu’elles soient positives ou négatives, pourraient bien indiquer les changements observés par le corps et ainsi signifier quel aliment serait le bienvenu dans votre organisme.

Même chose en ce qui concerne plusieurs petits « problèmes de santé », selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), puisqu’une multitude de messages seraient envoyés par notre corps pour nous indiquer les manques à pallier.

Par exemple, une humeur maussade pourrait signifier qu’il est temps de vous offrir un apport en viande comme un steak, alors que des chevilles enflées pourraient plutôt signifier un besoin en potassium (comblé par la banane, notamment). Les maux d’estomac pourraient être réglés par un apport en vitamine A, alors que la perte du goût indiquerait un manque en fer. Les douleurs musculaires (en général) pourraient quant à elles signifier un besoin en vitamine D.

C’est le genre de constat auquel arrivent plusieurs spécialistes, qui y vont de ces recommandations. Mangez donc selon vos humeurs et écoutez attentivement votre corps, qui détient souvent la clé de vos maux, mais qui demeure souvent incompris!

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Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

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19 juin : Twitter sensibilise au syndrome de la Tourette

Le syndrome de la Tourette, ou Gilles de la Tourette, attaque Twitter aujourd’hui, alors que plusieurs personnes se joignent à un effort virtuel de sensibilisation à la maladie, rapportent plusieurs sources.

C’est le cas de Top Santé, qui parle d’une « façon originale de faire connaître cette maladie ». Originale, oui, puisque des millions d’internautes utilisent le système de messagerie et de nouvelles.

Certains pourraient d’ailleurs être surpris aujourd’hui, alors que des gros mots ou des répétitions étonnantes pourraient apparaître sur leur fil Twitter, sans avertissement!

Se déroulant toute la journée et pour une période de 24 heures, le concept intitulé #surrenderyoursay (Surrender Your Say ou Abandonnez-vous à vos mots) propose aux habitants de la planète Twitter d’ajouter ce hashtag à une courte phrase associée au syndrome de la Tourette.

Les injures et propos incohérents choqueront sans doute quelques âmes sensibles, ce qui permettra de comprendre encore mieux ce que peuvent vivre les victimes de ce mal.

Cette campagne de sensibilisation en est une originale, et il ne faudrait pas s’étonner que d’autres organisations et causes tentent aussi ce genre d’expérience dans le futur!

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De plus en plus de troubles mentaux associés au super-cannabis

La montée en flèche des troubles mentaux et des maladies neurologiques associés à la consommation massive de super-cannabis commence à inquiéter plusieurs organisations de la santé, à commencer par celles d’Angleterre, selon le Telegraph (UK).

C’est que selon les statistiques rapportées ici, les cas de troubles mentaux liés à ce type de drogue que l’on dit de moins en moins douce sont en progression constante, et rien n’indique que le phénomène est sur le point de ralentir.

Le problème, comme l’indique la spécialiste Mary Brett (du CanSS), se situe principalement dans la puissance des nouvelles souches de cannabis, qui possèdent des taux de THC affolants, contrairement à ce que l’on retrouvait sur le marché il y a plusieurs années.

La marijuana, de base, n’est pas associée à de sérieux problèmes de santé et est même prescrite de façon médicinale dans plusieurs cas.

Malheureusement, la volonté des revendeurs à créer des souches de plus en plus puissantes commence à nuire aux consommateurs, comme l’indique la hausse de 54 % des troubles mentaux associés à ces super-cannabis, dont le « super-skunk », qui peuvent maintenant atteindre jusqu’à 17 % de THC.

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Anxiété et cancer : Comprendre les émotions des proches d’un patient

Les proches d’un patient souffrant d’un cancer peuvent également vivre de grandes émotions et en subir les contrecoups sur leur santé physique. Mais qui a le temps de s’occuper de ça quand un proche reçoit un diagnostic de la maladie la plus terrifiante connue?

Il semble qu’il faudra bien aborder le problème, car Santé Log rapporte des statistiques intéressantes qui confirment l’existence de ce problème collatéral.

L’étude en question vise pour l’instant les conjoints, amoureux et époux de patients atteint d’un cancer, et démontre que l’anxiété frappe beaucoup plus souvent et beaucoup plus violemment la tendre moitié que le patient lui-même.

Plus de 30 % de chances de développer des troubles anxieux, note la recherche, un problème qui peut perdurer sur une période de plus de dix ans! La férocité et la longévité du problème sont de plus encouragées par le fait que personne (ou presque) ne reconnait le phénomène.

Comme on le sait, les troubles anxieux et d’angoisse peuvent mener directement à plusieurs problèmes de santé majeurs.

La publication de cette étude, parue dans le magazine Lancet Oncology, s’avère un excellent point de départ pour les conjoints et les proches d’une personne atteinte d’un cancer, souvent impuissantes et délaissées.

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Les anti-inflammatoires pourraient causer des problèmes cardiaques

L’ibuprofène et ses homologues de la famille des anti-inflammatoires s’avèrent souvent la solution la plus efficace et abordable pour plusieurs problèmes de santé.

Qui n’a jamais utilisé les anti-inflammatoires, véritables sauveurs, pour se soulager! Cependant, une nouvelle étude vient mettre en garde les consommateurs contre une utilisation massive et à long terme de ces produits.

Des chercheurs de l’Université d’Oxford se sont penchés sur la question et ont découvert certains effets potentiellement désastreux des anti-inflammatoires sur la santé cardiaque, rapporte Top Santé

L’étude est bien étoffée, comptant sur l’analyse de près de 400 000 patients consommateurs de ce type de médicaments.

Les risques de troubles cardiaques ou d’infarctus sont bien réels, notent les chercheurs, mais les chiffres restent relativement et heureusement bas.

On note une hausse de huit patients affichant des problèmes cardiaques sur un bassin de mille. Plusieurs cas d’ulcères ont cependant été rapportés.

« Ces risques de maladie cardiovasculaire ou d’infarctus ne concernent que les patients qui prennent de fortes doses quotidiennes et sur le long terme. Mais ces patients ne doivent pas perdre de vue ce risque, et ne pas hésiter à en parler à leur médecin traitant », conclut le professeur Colin Baigent, directeur de l’étude. 

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Une super-étude vilipende les oeufs

Il y a de ces aliments qui semblent ne jamais cesser d’attiser la polémique. Les œufs font manifestement partie de cette catégorie, les spécialistes et nutritionnistes de ce monde y allant constamment d’opinions divergentes sur le sujet.

Cette fois, c’est une super-étude publiée dans le magazine Atherosclerosis, et rapportée par Nutrition News, qui risque de faire jaser. La recherche étoffée, qui compilait les données de plusieurs autres études précédentes sur le sujet, accuse les œufs de faire grimper les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires.

Ceux qui mangent le plus d’œufs hebdomadairement verraient leurs risques de développer ce genre de problème de santé bondir de plus de 60 %!

Pire encore, les gens déjà aux prises avec des problèmes liés au diabète auraient, quant à eux, 83 % plus de chances de développer un problème cardiaque dans l’avenir.

D’autres études ont cependant vanté plusieurs propriétés des œufs dans le passé, ce qui témoigne de l’absence de consensus en la matière.

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Le syndrome prémenstruel finalement reconnu par les spécialistes

Peut-être aura-t-il fallu qu’un plus grand nombre de femmes accèdent à des postes importants, notamment en sciences et en recherche, pour que le fameux syndrome prémenstruel (SPM) soit finalement reconnu pour autre chose qu’une vulgaire blague.

C’est que selon ce que rapporte La Presse, l’Association psychiatrique américaine (APA) reconnait enfin les conséquences bien réelles du SPM, spécialement dans ses formes les plus violentes.

Tellement que l’Association a décidé d’inclure le syndrome dans son fameux DSM, soit le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

Publié depuis le début des années 50, l’ouvrage retrace tous les troubles mentaux reconnus, et le syndrome prémenstruel y fait son apparition pour la toute première fois.

Baptisé trouble dysphorique prémenstruel, ce diagnostic est associé dans cette nouvelle édition du DSM à des problèmes psychologiques comme la dépression et la bipolarité, ce qui choque certains observateurs.

« Le critère important est qu’à cause des symptômes, le fonctionnement de tous les jours est perturbé », nuance cependant le Dr Richard Bergeron, fondateur de la Clinique du syndrome prémenstruel du Centre hospitalier Pierre-Janet.

Le syndrome ne serait donc applicable qu’aux femmes qui n’arrivent plus à jouir de la vie ou à vaquer à leurs occupations quotidiennes lors de la période prémenstruelle.

Plusieurs femmes se réjouissent de cet ajout au DSM, témoignant des difficultés vécues lors d’épisodes graves de SPM, souvent mal compris et mal diagnostiqué par les médecins traitants, qui ont trop souvent recours aux antidépresseurs pour tenter de régler le problème.

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.