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Le mois de février serait-il le plus difficile pour le sommeil?

Si vous avez des problèmes de sommeil comme l’insomnie, ou que vous arrivez à dormir, mais que le sommeil ne s’avère pas réparateur, il faudra peut-être pointer du doigt le mois dans lequel on se trouve.

En effet, selon une étude-sondage révélée par Top Santé, il appert que le mois de février serait le plus difficile pour les nuits de sommeil. C’est après avoir interrogé près de 21 000 répondants que les chercheurs anglais sont arrivés à cette conclusion.

Donc, nous dormirions plus mal en février, mais nous aurions aussi besoin de plus de temps pour sombrer dans les bras de Morphée, soit huit minutes de plus.

Plus encore, les pauvres gens qui souffrent déjà d’insomnie ou de problèmes à s’endormir auraient besoin de dix minutes supplémentaires avant de fermer l’œil!

On noterait déjà une amélioration dès les premiers jours du mois de mars.

Pour le professeur en tête de l’étude, Colin Espie, une partie de la réponse se trouve dans le froid, alors que les gens surchauffent leur chaumière afin de s’en protéger, ce qui nuit au sommeil de qualité.

Il semble également que les femmes soient davantage touchées par le phénomène.

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Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

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L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.

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Les dangers que cachent les tatouages

Le Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues (SNDV) met en garde la population contre les tatouages, rapporte Top Santé.

Le regroupement tient à dévoiler certains dangers associés à cette pratique afin que les gens puissent être bien informés et, par conséquent, fassent des choix éclairés en la matière.

On rappelle donc que le tatouage n’est pas une option à prendre à la légère. D’abord, on veut informer le public sur les encres permanentes qui contiennent des éléments potentiellement cancérigènes. Du lot, de l’aluminium, du fer, du mercure, du cuivre, du chrome et du nickel peuvent se retrouver dans ces encres.

Des infections et affections diverses sont aussi possibles, comme de l’eczéma, la sarcoïdose ou encore des allergies.

On demande aux gens de se méfier aussi de la paraphénylènediamine, utilisée notamment pour les tatouages qui durent moins longtemps. On recommande de ne pas hésiter à demander de quoi sont constitués les produits et outils utilisés lors du processus.

Pour terminer, on suggère aux gens qui souffrent déjà de problèmes de peau de s’abstenir complètement de passer sous l’aiguille d’un tatoueur. Ce dernier est par ailleurs à choisir avec soin et précaution.

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Trop de café pourrait mener à des problèmes d’incontinence

Les hommes qui ont certains problèmes d’incontinence devraient surveiller leur consommation de café et de caféine, suggère une étude rapportée par The National Library of Medicine.

« C’est quelque chose à considérer. Les gens qui ont des problèmes urinaires, dont l’incontinence, devraient modifier leur consommation quotidienne de caféine. Je crois que cela s’inscrit dans une démarche clinique », lance la Dre Alayne Markland, auteure principale de l’étude.

Dre Markland, de l’Université de l’Alabama à Birmingham, rappelle toutefois qu’il n’y a pas de causalité prouvée entre la prise de caféine et des dommages subséquents à la vessie chez les hommes.

Toutefois, l’étude qui observait les dossiers de plusieurs hommes a permis de constater que ceux qui consommaient plus de café que les autres étaient clairement plus sujets à ce genre de problème urinaire.

L’étude suivait les comportements de 4000 hommes par voie de sondage et cherchait à établir l’impact de la caféine sur la santé de ces sujets. Après trois ans de recherches, il est évident pour Dre Markland que ses théories s’avèrent exactes.

On conseille donc vivement aux hommes qui souffrent d’incontinence de ralentir la caféine, ce qui pourrait s’avérer un excellent premier pas pour régler le problème.

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Le ginseng et la dysfonction érectile

On prête depuis des lunes des propriétés thérapeutiques ainsi que des vertus sexuelles et aphrodisiaques au ginseng.

Si certaines théories s’avèrent exactes, d’autres ne seraient que des légendes et des mythes. L’une d’entre elles propose que le ginseng puisse venir en aide aux hommes souffrant de troubles érectiles. Mythe ou réalité?

Santé Log s’est penché sur la question, en rapportant une étude coréenne sur le sujet. Publiés dans le Journal of Impotence Research, les résultats décevront les fans du ginseng : celui-ci n’aurait presque aucun effet sur les problèmes de dysfonction érectile.

Les chercheurs coréens parlent de « presque », car ils notent un léger effet placebo chez certains sujets, en plus d’une certaine amélioration des fonctions sexuelles chez des hommes déjà en bonne santé.

On lierait plutôt ce phénomène aux vertus aphrodisiaques confirmées du ginseng, plutôt que de parler de résolution dans les cas de troubles érectiles.

On attend d’autres recherches sur le sujet, mais il semble que ceux qui comptaient sur cet ancien ingrédient pour régler leur problème devront se tourner vers d’autres solutions.

Le ginseng ne comporte essentiellement aucun effet secondaire et peut être utilisé sans risque par la population.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

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La « fatigue de jour » pourrait être liée au niveau de vitamine D

Plusieurs personnes affirment être victimes de « fatigue de jour », caractérisée par des élans de somnolence en pleine journée, et ce, malgré une nuit de sommeil normale.

Avec l’hiver qui est finalement arrivé, et les heures de luminosité retranchées du même coup, le nombre de personnes qui ressentent ce phénomène ne fait que s’accentuer.

Selon une récente étude rapportée par www.nlm.nih.gov, il est possible que le niveau de vitamine D retrouvé dans l’organisme joue un rôle dans le processus.

L’étude analysait les cas de 81 patients admis en clinique du sommeil, qui ont par la suite reçu un diagnostic de trouble du sommeil. Une bonne portion de ces sujets a reçu également un diagnostic d’apnée du sommeil, un problème respiratoire nocturne qui explique souvent bien des maux et surtout la fatigue de jour.

Pour les autres, on a noté des réactions et des variations d’énergie dans la journée en fonction du taux de vitamine D retrouvé dans le sang.

Les résultats, qui parlent d’une « corrélation significative entre la vitamine D et la somnolence ou la fatigue de jour », ont été publiés dans la plus récente édition du Journal of Clinical Sleep Medicine.