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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.

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Le manque de sommeil n’est pas compensé par la grasse matinée du week-end

Dormir tard le samedi et le dimanche comporte ses bienfaits, mais ne parviendrait pas à compenser le manque de sommeil accumulé au fil de la semaine par les gens qui sont débordés, selon une étude rapportée par le Telegraph (UK).

L’étude américaine, menée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, constate que deux bonnes nuits de sommeil ne s’avèrent pas suffisantes pour récupérer adéquatement. Conséquemment, les personnes qui se privent de sommeil en semaine pour le rattraper le week-end s’exposeraient à plusieurs problèmes de santé, cognitifs et de performance.

« Deux nuits de récupération de sommeil ne seraient peut-être pas suffisantes pour annuler les déficits d’attention résultants d’un manque de sommeil. Ce comportement peut avoir des implications importantes pour les personnes qui travaillent dans des domaines critiques comme le milieu de la santé et du transport », met en garde le Dr Alexandros Vgontzas, spécialiste du sommeil.

Il est donc conseillé de ne pas sous-estimer l’importance de bonnes nuits de sommeil tout au long de la semaine ni les impacts négatifs à long terme d’une privation de sommeil sur la santé physique et mentale.

Un récent sondage sur les habitudes de sommeil dans le monde démontrait qu’une grande proportion de la population mondiale ne dort pas suffisamment, ce qui inquiète les spécialistes. 

 

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Les agrumes en prévention des kystes

On apprend via Santé Log que les agrumes et ses produits dérivés seraient de puissants ennemis des kystes, et préviendraient notamment de la formation de kystes rénaux, un problème de santé grave.

Ce serait une composante spécifique des agrumes qui serait particulièrement efficace contre la formation de kystes, soit la naringénine.

Cette dernière serait en fait un antioxydant, on l’aurait deviné, et permettrait de lutter efficacement contre la polykystose rénale, selon cette nouvelle étude publiée dans le British Journal of Pharmacology.

La polykystose rénale touche pas moins d’un million de personnes à travers le monde et peut mener à l’insuffisance rénale, et donc à la mort prématurée.

Alors que les traitements de la maladie se font rares, une équipe de scientifiques de l’Université Royal Holloway et de l’Université de Londres croient qu’une partie de la solution se trouve peut-être dans la naringénine.

Après avoir injecté l’antioxydant compris dans les agrumes à une lignée cellulaire, sur laquelle on a déclenché la formation de kystes, les chercheurs ont constaté que la naringénine bloquait le processus kystique, tout simplement.

D’autres études sont à prévoir pour confirmer la cause à effet, mais on suggère déjà aux patients à risque de développer ce genre de problèmes de consommer régulièrement des produits aux agrumes, et on avance même que ces derniers pourraient également venir en aide au métabolisme de personnes diabétiques.

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Dormir trop ou dormir trop peu, du pareil au même

« Trop, c’est comme pas assez » est une expression quasi folklorique qui s’applique parfaitement au sommeil, si l’on se fie à cette nouvelle recherche proposée par le CDC.

Rapportée par Santé Log, l’étude en question affirme qu’une trop grande quantité de sommeil est aussi dommageable pour la santé que le manque de sommeil, et pourrait même s’avérer encore pire.

Alors qu’on établit la durée « normale » recommandée de sommeil à 8 heures par nuit en moyenne, des nuits de dix heures et plus feraient augmenter les risques de développer plusieurs troubles de santé.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne les maladies chroniques comme le diabète, l’obésité et les maladies cardiovasculaires. Là où le bât blesse, c’est que ces maladies sont souvent justement des moteurs de troubles du sommeil. Mieux vaut donc agir rapidement avant d’être prisonnier d’un cercle vicieux, et mettre tous les efforts pour s’assurer de nuits de sommeil suffisantes et de qualité.

Ces liens entre les maladies chroniques et la durée du sommeil, particulièrement trop accrue dans ce cas-ci, sont réalisables grâce à des analyses effectuées sur plus de 50 000 patients et leurs habitudes de sommeil.

Les résultats et conclusions ont par la suite été publiés dans la plus récente édition du magazine Sleep.

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?

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Des congés « mentaux » débattus à la suite de la publication d’une étude

On le sait, le monde dans lequel on vit tourne à une vitesse folle, et les notions de performance et de rentabilité ont pris le dessus sur la santé et le bien-être des gens qui se tuent à la tâche.

Cinq jours par semaine de labeur ponctués de quelques minimes congés et de deux ou trois semaines de vacances annuelles, voilà la réalité de bien des gens. Et quand ceux-ci s’octroient un congé pour cause de maladie, ils ne peuvent souvent pas réellement en profiter, puisqu’ils sont malades!

Une étude publiée cette semaine semble ouvrir un nouveau débat sur l’importance de préserver une bonne santé mentale au travail, et de la nécessité d’octroyer de nouveaux congés « mentaux » qui permettraient de reposer un travailleur afin de revenir en force.

L’étude révèle qu’un Canadien sur dix démontrait des symptômes de troubles mentaux ou de dépendance à l’alcool et aux drogues au cours de la dernière année, et qu’un demi-million de travailleurs sont en congé forcé pour cause de problèmes reliés à la santé mentale.

Radio-Canada, qui rapporte ces statistiques, soumet également l’hypothèse que l’instauration de nouveaux congés destinés à reposer un travailleur ou lui permettre de se refaire une santé mentale serait tout à fait indiquée.

Un débat nécessaire, qui s’amorce à peine malgré un phénomène présent depuis longtemps et en pleine progression. 

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Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

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La thérapie thermale serait une bonne alternative aux médicaments

Des spécialistes français confirment et vantent les mérites de ce qu’on appelle « la thérapie thermale », qui consiste en une série de traitements par des bains d’eau bien chaude, selon ce qu’on comprend des informations proposées par Top Santé.

Le Dr Olivier Dubois est celui qui dépose ses conclusions en lien avec ses recherches sur ce type de traitement alternatif, après avoir mis sur pied le programme SPECth. Son but était d’analyser les impacts de la thermalisation sur la santé de patients donnés, et de voir si cette méthode pouvait bel et bien venir en aide aux personnes souffrant de problème de sommeil et de dépendance.

Comme les troubles du sommeil sont malheureusement trop souvent réglés à coup de prescription, un problème de dépendance aux psychotropes peut finir par se développer. Même chose en ce qui concerne l’anxiété et les problèmes d’angoisse chronique.

Les résultats proposés par Olivier Dubois semblent étonnants, et celui-ci est ravi de pouvoir confirmer les effets de la thérapie thermale sur ce type de patient.

« Dans le trouble anxio-dépressif, le résultat est spectaculaire », lance Dubois, qui croit que la thermalisation doit devenir un outil privilégié dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, afin de non seulement améliorer le sort des patients, mais aussi éviter une surconsommation de médicaments.

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L’impact du sommeil sur la beauté démontré

Une étude en provenance de l’Université du Michigan confirme les effets positifs d’une bonne nuit de sommeil sur la beauté physique, rapporte Santé Log.

En effet, selon les chercheurs américains, la qualité du sommeil d’un individu transparait bel et bien sur sa beauté, notamment celle du visage. C’est ce qui ressort de l’étude complétée sur une poignée de sujets âgés dans la vingtaine et atteints d’apnée du sommeil.

Il est démontré que l’apnée du sommeil a plusieurs effets néfastes sur la santé, augmentant entre autres les risques de développer des problèmes cardiaques. C’est cependant la première fois que l’on confirme un effet négatif sur la santé du visage et sa beauté, des conclusions publiées dans le Journal of Clinical Sleep Medicine.

Placés sous traitement, les patients de l’étude ont été analysés par les chercheurs avant d’être soumis au jugement d’un deuxième groupe d’observateurs. Ces derniers devaient analyser et donner leurs appréciations des visages, avant et après le traitement.

Les résultats sont clairs : des visages plus jeunes, plus invitants, moins ridés et bouffis, mais surtout moins tendus et plus alertes, tout comme le regard.

Le fameux beauty rest, ou repos de beauté, n’est donc pas qu’une légende!

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Les aliments à proscrire avant d’aller au lit

C’est bien connu, manger avant de s’installer pour une nuit de sommeil peut s’avérer dommageable et mauvais pour la santé. Non seulement les aliments ingérés sont plus susceptibles de faire grossir lorsqu’ils sont avalés juste avant d’aller au lit, ils peuvent aussi créer de sérieux problèmes de sommeil.

Top Santé dresse donc une petite liste des aliments à proscrire la nuit, à commencer bien sûr par l’alcool et la caféine. Ces boissons peuvent sérieusement nuire à un sommeil de qualité ou carrément vous priver de sommeil.

On déconseille ensuite les corps gras, qui créent des brûlements d’estomac ou des troubles digestifs, pavant ainsi la voie à une nuit d’enfer et à un réveil de mauvais poil.

Viennent ensuite les épices, qui peuvent créer cauchemars et agitations durant le sommeil. On conseille donc de ne pas en abuser au souper également, qui doit par ailleurs être pris préférablement au moins trois heures avant le coucher, rappelle-t-on.

La liste noire se termine avec les protéines qui, malgré leurs qualités reconnues, sont plus difficiles à digérer et vont donc nécessiter un travail digestif toute la nuit durant.