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Les troubles du sommeil et la maladie de Parkinson

L’insomnie, des éveils fréquents durant la nuit et la somnolence excessive durant le jour sont des problèmes qui affectent le quotidien de près de 70 % des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, indique une étude de l’Université de Dresde parue dans le Journal of Parkinson’s Disease.

Ces inconvénients peuvent engendrer des problèmes plus graves. Par exemple, la somnolence peut conduire à un risque de chutes ou de blessures, diminuer la concentration et la cognition, augmenter les risques de dépression et affecter l’humeur et la vie sociale des gens malades.

Selon le Dr Wiebke Schrempf, auteur de l’étude, de petites doses de lévodopa ou agonistes de la dopamine pourraient aider à améliorer la qualité du sommeil et atténuer les symptômes moteurs ou mouvements non contrôlés par les malades qui perturbent souvent leur sommeil. Un calcul précis pour le dosage de ces traitements doit toutefois être effectué, car ces médicaments peuvent engendrer de la somnolence diurne.

Les troubles du sommeil peuvent également être révélateurs de la présence du Parkinson pour certaines personnes et même prédire la maladie.

« Dans les cas extrêmes, les patients peuvent présenter un trouble comportemental du sommeil paradoxal et vivre leurs rêves en actions, avant même que les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson apparaissent. Ainsi, des chercheurs de l’Université de Toronto ont déjà suggéré que les troubles comportementaux en sommeil paradoxal peuvent être prédictifs de développement de maladies neurologiques chroniques comme le Parkinson ou certaines formes de démence », explique Santé Log.

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Un bon sommeil est primordial pour la future maman

On apprend sur Santé Log que l’apnée du sommeil durant la grossesse serait en lien avec certains risques graves, tant pour maman que pour bébé.

Rappelons que l’apnée du sommeil se caractérise par des arrêts ou des diminutions de la respiration pendant que l’on dort.

Une étude de l’Université Northwestern (Chicago) aurait en effet démontré que les femmes enceintes qui en souffrent seraient plus enclines à souffrir de diabète de grossesse ou d’hypertension gravidique.

Elles courraient aussi plus de risques de mettre au monde un bébé prématuré. La prématurité, dans le cadre de cette étude, concernait les accouchements survenant à partir de la 34e semaine de grossesse.

Il existerait finalement un lien entre l’apnée du sommeil, les problèmes de grossesse cités et l’obésité, mais il est encore difficile de démontrer dans quelle mesure ils seraient de cause à effet.

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Deux fois plus de risques d’anxiété chez les enfants avec des problèmes cardiaques congénitaux

Tel que vu sur Acta Paediatrica, un projet de recherche de l’hôpital universitaire d’Oslo, HEARTKIDS, a fait la lumière sur le lien existant entre les troubles du sommeil, l’anxiété et les problèmes cardiaques d’enfants d’à peine 18 mois.

Sur les 198 poupons de l’étude, qui avaient tous des problèmes cardiaques congénitaux, 58 d’entre eux faisaient état d’un degré sévère de complications. Les chercheurs ont ainsi pu établir une différence entre les deux groupes.

Ces problèmes d’anxiété ne toucheraient donc pas les poupons ayant des troubles cardiaques mineurs, mais pour ceux qui vivent avec des complications plus graves, les risques d’anxiété sont deux fois plus élevés que chez les enfants en général.

Ce phénomène en si bas âge s’expliquerait probablement par les nombreux séjours à l’hôpital et les procédures médicales découlant de ces malformations congénitales.

D’autre part, une étude précédente de HEARTKIDS avait démontré que les bébés de six mois ayant des problèmes cardiaques légers à moyens étaient plus aptes à vivre des épisodes très émotifs, comme l’irritabilité et les pleurs incessants.

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Aide aux parents de bébés ayant des difficultés à dormir

Selon Canada.com, ce sont environ 30 % des familles à travers le monde qui ont un bébé qui ne dort pas facilement, ce qui peut causer de sérieux problèmes.

Quand un bébé pleure et ne peut pas s’endormir, les parents peuvent déplacer l’enfant du berceau au lit ou entre autres essayer de laisser le petit dormir seul.

Les informations proposées aux parents à ce sujet sont contradictoires, les laissant sans aide et confus, d’après des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique.

Ceux-ci et des infirmières spécialisées recrutent donc en ce moment 240 familles afin de participer à l’étude Rocky Sleep Study qui offrira des solutions à maman et papa.

« Les parents sont surmenés et, avec une visite de 15 minutes chez le docteur, croient que c’est normal pour les enfants de ne pas dormir toute la nuit et que ça va aller mieux. Mais pour certaines familles, ça n’arrive pas. Nous parlons aux familles et elles peuvent être en grande détresse », a révélé la coordonnatrice de l’étude, Kathy Gregg.