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Les troubles obsessionnels compulsifs reliés à la schizophrénie

Le chevauchement de ces deux maladies a des précédents. Mais cette fois, l’étude s’est étendue auprès de plus de 46 000 personnes nées entre 1955 et 2006, et suivies entre 1995 et 2012.

Les données comprenaient au moins 1 million de citoyens, sur lesquels 16 231 ont développé la schizophrénie, et 30 556 le trouble du spectre de la schizophrénie. Dans le premier groupe, 447 personnes avaient préalablement reçu un diagnostic de TOC, alors qu’elles étaient 700 dans le second cas.

Si cela ne représente même pas 3 % des gens atteints d’une forme ou l’autre de schizophrénie, il n’en demeure pas moins que ce sont les TOC, selon les chercheurs, qui augmentent considérablement le risque de développer la schizophrénie et non l’inverse.

« Malgré le fait que nos résultats indiquent le chevauchement de certains facteurs étiologiques de TOC et de schizophrénie ou de trouble du spectre de la schizophrénie, cela ne suggère pas pour autant que l’on puisse les regrouper dans un diagnostic global. »

Ainsi, la théorie de coexistence entre les deux maladies est bien réelle, mais elles demeurent tout de même indépendantes selon les spécialistes.

Les résultats ont été publiés dans la revue JAMA Psychiatry.

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Les nouvelles mamans et les troubles obsessionnels compulsifs

Selon une publication du Mail Online, 1 femme sur 10, nouvellement maman, développe les symptômes.

Un TOC (trouble obsessionnel compulsif) est une condition mentale caractérisée par une envie incontrôlable à répéter une pensée qui se transforme en geste.

Par exemple, les nouvelles mères vont parfois se mettre à constamment vérifier que les moniteurs du bébé fonctionnent correctement ou que les bouteilles sont bien stérilisées. Ces actions sont déclenchées par la phobie de blesser accidentellement leur bébé ou de faire des erreurs pouvant leur nuire. Le lavage excessif des mains est aussi très courant, de peur de contaminer le bambin.

Ce trouble (TOC) est maintenant encore plus souvent diagnostiqué que la dépression post-partum. Certains spécialistes croient que les deux pourraient être liés, mais ils n’en possèdent pas encore la preuve.

Il est important de comprendre la différence entre les compulsions saines et malsaines. Développer une plus grande hygiène et s’assurer que tous les besoins de bébé soient comblés reste sain, tant que ces habitudes ne nuisent pas à votre fonctionnement quotidien.

Sinon, il est fort probable que ces comportements deviennent inadéquats et pathologiques.