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Cauchemars répétés reliés à des troubles mentaux chez les enfants

Selon une nouvelle étude effectuée en Angleterre par le Dr Dieter Wolke, les cauchemars et terreurs nocturnes au-delà de 12 ans peuvent être le catalyseur de troubles psychotiques. On entend par là de la paranoïa, des hallucinations et des délires, rapporte Top Santé.

Ce sont 6800 enfants qui ont été étudiés jusqu’à l’âge de 12 ans. Les parents remplissaient un questionnaire associé à la fréquence des mauvais rêves. Par la suite, les enfants étaient interrogés sur le plan psychologique.

– 37 % des enfants faisaient des cauchemars pendant plusieurs années.

– 1 enfant sur 10 vivait des terreurs nocturnes.

– 47 enfants sur 1000 avaient vécu des troubles psychotiques.

– Les enfants qui faisaient des cauchemars répétitifs au-delà de 12 ans augmentaient leur risque de trouble de santé mentale de 3 fois et demie.

– Les enfants qui vivaient des terreurs nocturnes doublaient encore ce risque.

« Les enfants devraient se coucher à heures fixes, éviter de voir des films anxiogènes le soir et ne pas regarder l’ordinateur la nuit », rapporte le Dr Wolke.

Cependant, la cause du lien entre les cauchemars et les troubles psychotiques doit fait l’objet de plus de recherches.

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Immigrer à un jeune âge peut accroître les troubles psychotiques

Les chercheurs ont expliqué qu’immigrer dans la petite enfance augmente les risques de troubles psychotiques. L’étude a été publiée dans la revue American Journal of Psychiatry.

Ceux qui avaient immigré très jeunes, avant l’âge de cinq ans, avaient un risque deux fois plus élevé que ceux qui avaient immigré à l’âge de 10 à 14 ans, et un risque trois fois plus élevé que ceux qui l’avaient fait à l’âge adulte.

« Les expériences sociales négatives en début de vie, comme les traumatismes de l’enfance ou la séparation des parents, augmentent les risques », ont expliqué les chercheurs.

Ils ont indiqué qu’il y avait beaucoup de facteurs possibles pouvant accroître ce risque, notamment le stress de vivre avec le statut de minorité ethnique.

Des études antérieures ont également démontré que les changements sociaux liés à la délocalisation culturelle et géographique peuvent être un facteur important de l’apparition de troubles mentaux.

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Le cannabis augmente les risques de troubles psychotiques

Des experts allemands, néerlandais et londoniens mentionnent que les adolescents et les jeunes adultes qui consomment du cannabis sont plus susceptibles de développer des troubles psychotiques.

Selon le British Medical Journal, des chercheurs ont suivi 1 900 personnes âgées de 14 à 24 ans pendant 8 ans.

Ceux qui avaient consommé du cannabis après le début de l’étude et ceux qui en avaient consommé avant et après avaient deux fois plus de risques de souffrir de troubles psychotiques que ceux qui n’en avaient jamais pris.

« La consommation de cannabis constitue un facteur de risque quant au développement de symptômes psychotiques. Cette étude ajoute un complément d’information à l’évidence déjà solidement établie que la consommation continue de cannabis accroît les risques de symptômes et de maladies psychotiques », explique Robin Murray, professeur en recherches psychiatriques à l’Institut de psychiatrie de Londres.