Il appert que de lire les étiquettes et les tableaux de valeurs nutritives sur les aliments ne suffit plus.
C’est la première constatation qui nous frappe à la lecture de l’article publié par Lorishemek, qui parle des quantités de sucre « cachées » dans nos aliments.
On explique d’abord qu’une des principales clés d’une bonne santé est d’éviter et de prévenir les inflammations de bas niveau (low-level), souvent causées par le sucre.
Or, même en essayant d’éviter le sucre à tout prix, il semble qu’il soit bien difficile d’y parvenir dans le cadre de nos régimes alimentaires nord-américains.
De ce fait, les aliments qui renferment discrètement dans ses emballages l’ennemi numéro 1 de la bonne santé sont nombreux.
Heureusement, toujours selon l’article, il est possible de déjouer le système et de démasquer le sucre qui se cache dans nos aliments. D’abord, on doit bien comprendre que les ingrédients sont placés en ordre d’importance, donc de quantité, sur les étiquettes. Si le sucre est le premier mentionné, le produit doit être évité…
De surcroît, plusieurs autres appellations représentent le sucre, à commencer par les notions de « sirop (syrup) », « sucre brun », « dextrose », « miel », « jus de fruits », « lactose », « maltose », « sirop de malt », « mélasse », « jus de canne », et « sucrose ». En bref, ce sont presque tous les éléments qui se finissent en « ose » qui devraient être évités. Bonne chasse!