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Dépression saisonnière : soyez proactifs

On parle beaucoup de dépression saisonnière avec l’arrivée de l’hiver et bien qu’elle soit dite « normale », cela ne veut pas dire que rien n’est possible pour tenter d’en inverser les effets.

Si vous êtes victime d’une baisse de régime, d’énergie, de vitalité ou de moral en cette saison hivernale, ne restez pas les bras croisés à attendre que ça passe. Soyez proactifs, suggère notamment www.nlm.nih.gov.

Car si vous ressentez massivement les effets de la dépression saisonnière, de simples gestes sont à votre portée pour améliorer votre sort.

Notamment, on suggère de sortir faire des marches à l’extérieur lors des pointes de soleil, afin de faire le plein d’énergie et de luminosité tout en pratiquant un effort physique (aussi moindre soit-il).

Il est d’ailleurs fortement conseillé de poursuivre, ou d’entamer, son programme d’activité physique durant l’hiver. On suggère trois fois 30 minutes par semaine, pour un effet maximal.

Pour ceux qui ne peuvent profiter de l’extérieur ou pour les victimes de tempêtes hivernales, il est possible de se procurer certaines lampes de luminothérapie.

Au final, il semble que la socialisation soit parmi les meilleurs moyens de garder la forme mentalement, alors ce n’est pas le temps de vous enfermer et d’hiberner! Visitez vos proches et amis, et sortez aussi souvent que vous le pouvez.

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Penser avant de manger, ça marche

Il existe une panoplie de trucs et conseils sur la nutrition, en plus des sempiternelles rengaines à propos des fruits, des légumes et de l’exercice régulier.

Voilà que www.nlm.nih.gov rapporte un conseil qui pourrait s’avérer l’un des plus importants de tous, quoique si simple qu’on l’oublie trop souvent. Il s’agit de penser avant de manger!

Les anglophones appellent le phénomène de manger sans réfléchir le « mindless eating », que l’on pourrait traduire par « la nutrition irresponsable ».

Par là, on entend qu’aucun questionnement n’est effectué avant la consommation d’aliments, qu’aucun processus de réflexion n’est fait avant de porter la fourchette à sa bouche.

On conseille plutôt de se demander d’abord si l’on a vraiment faim, la plupart des collations et repas devenant trop fréquents et lourds dans notre mode de vie.

De plus, évitez de vous créer des limites, des impositions, mais misez surtout sur la modération et l’incorporation d’un régime alimentaire quotidien sain, ce qui vous permettra de « tricher » à l’occasion sans remords.

L’un des meilleurs conseils (et des plus efficaces) est de noter ce que l’on mange dans un livre de bord, par exemple, afin de garder le compte des apports nutritionnels et des calories ingérées dans la journée.

On suggère aussi de consulter un spécialiste, un médecin ou un (e) nutritionniste pour vous aider à prendre de bonnes décisions.

 

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Le bouillon de poulet serait un antivirus naturel puissant

Le bouillon de poulet n’aurait pas que des propriétés psychosomatiques ou placebo, bien qu’il soit réconfortant, selon une récente étude sur le sujet.

En effet, topsante.com rapporte plutôt que selon les conclusions des chercheurs de l’étude, le bouillon de poulet serait bien plus qu’un remède de grand-mère ou une simple source de chaleur et de réconfort.

Il appert que le bouillon de poulet aurait aussi de véritables propriétés antivirales et permettrait ainsi de prévenir, guérir ou combattre la grippe.

Ce serait notamment grâce à une composante retrouvée généralement dans tous les bons bouillons de poulet : la carnosine.

Selon l’étude, publiée dans la plus récente édition de l’American Journal of Therapeutics, la carnosine permet d’attaquer l’influenza dès son apparition dans l’organisme, tout en augmentant les capacités du système immunitaire.

Plusieurs études précédentes viennent corroborer celle-ci, alors que d’autres chercheurs se sont longtemps demandé comment une « simple soupe » pouvait être aussi efficace contre un virus bien réel.

On en sait maintenant un peu plus. La carnosine, combinée à l’effet psychologique réconfortant et douillet du bouillon chaud, permet une revigoration presque instantanée.

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On se remet à l’exercice? Évitez les blessures

Le temps des fêtes est le moment idéal pour décider de se remettre en forme. D’abord parce que les kilos en trop sont fréquents en cette période de l’année où il fait bon vivre, et aussi parce que la nouvelle année apporte son lot de promesses et résolutions.

L’une des résolutions les plus populaires est de retrouver la forme en se remettant à l’activité physique. S’il s’agit d’une très bonne idée, il faut aussi éviter les blessures qui surviennent trop souvent lorsque l’on reprend du service physique.

C’est ce que rappelle www.nlm.nih.gov, qui y va de certains conseils pour ceux qui veulent entamer 2013 du bon pied… sans le briser.

Donc, on suggère de consulter son médecin de famille avant d’entreprendre des activités physiques intenses, afin d’avoir un bilan de santé et quelques conseils.

On rappelle l’importance de porter des protections, comme un casque lorsque vous êtes sur patins, à vélo ou en ski.

Il est primordial d’effectuer des réchauffements avant de se lancer dans une activité. Des réchauffements adéquats préviennent de beaucoup les risques de blessures.

Il faut s’hydrater abondamment et ne pas pousser trop fort lorsqu’on ressent de la fatigue. Allez-y progressivement et donnez-vous du temps. On suggère des séquences de 10 à 20 minutes pour commencer, puis augmentez lorsque vous vous sentez bien et à l’aise.

Joyeuses fêtes et bonne année en santé!

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Comment gérer l’intolérance au fructose

L’intolérance au fructose est probablement moins connue que celle au lactose, mais elle n’en demeure pas moins bien réelle.

On appelle intolérance au fructose la réaction du corps qui ne tolère pas la présence de fructose, retrouvé notamment dans les fruits, les légumes et le miel.

Il s’agit d’un état très difficile à vivre pour les gens qui en souffrent, vu le nombre de produits qui contiennent du fructose. Selon www.nlm.nih.gov, qui reprend des suggestions de l’American Gastroenterological Association, il est toutefois possible d’éviter le pire.

D’abord, il faut réduire sa consommation de jus de fruits et, malheureusement, de fruits. Les jus sont par ailleurs souvent trop sucrés. Même chose du côté du miel, qui est à proscrire.

Un autre ennemi majeur des intolérants au fructose est certainement les boissons gazeuses, qui contiennent des parts importantes de fructose ajoutées. Voilà probablement une bonne chose que d’éviter ces boissons, de toute façon.

L’alcool est aussi à éviter, ce qui n’est pas une mauvaise chose pour votre santé en général non plus.

On conseille de tenir un journal de vos consommations de sucre et de fructose dans la journée, afin de savoir où vous en êtes et de garder l’absorption du produit dans le corps au minimum.

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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Cet hiver, misez sur les enzymes

Si vous ne connaissez pas les enzymes et leur impact sur l’organisme, vous voudrez peut-être lire ceci avant d’affronter la dure saison hivernale.

C’est topsante.com qui rapporte l’importance de ces éléments pour le corps, notamment afin de conserver une belle énergie lors de la saison morte.

Tout d’abord, les enzymes sont ces substances qui jouent un rôle constant dans les diverses réactions de l’organisme. Ce sont des catalyseurs biologiques qui permettent au métabolisme de fonctionner, et ainsi de vivre.

Le site avance même que plus de 7000 réactions métaboliques sont dues aux enzymes (quelques 3000) quotidiennement. On peut donc comprendre que si le corps vient à en manquer, plusieurs systèmes de l’organisme pourraient commencer à mal fonctionner.

Des problèmes de digestion peuvent s’avérer l’un des symptômes de ce phénomène. De plus, c’est à ce moment que le fameux effet de fatigue commence à se faire sentir en hiver.

Alors, comment s’assurer de ne pas manquer d’enzymes? D’abord en surveillant son alimentation, bien entendu, mais aussi en privilégiant des aliments crus, les légumes par exemple.

Il semble que les enzymes soient éliminées massivement des aliments lorsque ceux-ci sont cuits à une température de 70 degrés Celcius, ce qui n’est pas très élevé. On suggère donc de faire cuire vos aliments à la vapeur.

Les jus de fruits maison sont aussi une excellente source d’enzymes, tout comme les salades et les poissons.

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Évitez de prendre des kilos à l’arrivée de la ménopause

Beaucoup de femmes craignent de prendre du poids à l’arrivée de la ménopause, et c’est une possibilité bien réelle, quoique non obligatoire, selon ce que rappelle Topsante.com.

C’est que ces dames devront tout simplement faire sérieusement attention à ce qu’elles mangent si elles veulent conserver relativement le même poids qu’avant la ménopause, et les directives ressemblent drôlement à celles établies pour le reste de la population.

Ainsi, on suggère d’abaisser sa consommation de friandises et de desserts afin de favoriser plutôt les fruits et les légumes. Pas si évident de remplacer le bon vieux gâteau par une pomme, mais c’est exactement le genre de sacrifice qui vous permettra de conserver la ligne.

On conseille aussi de remplacer les viandes rouges et grasses par le poisson, toujours une excellente source d’oméga-3 et de vitamines, rappelons-le.

Aussi, l’alcool semble être un ennemi de taille, puisque l’on suggère fortement de se limiter à quelques verres lors de grandes occasions, mais de l’éliminer de l’alimentation quotidienne.

Pour terminer, les produits laitiers sont aussi à surveiller. Il est important d’en consommer pour ses apports en calcium et vitamine D, mais les matières grasses qu’ils contiennent sont sournoises.

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Comment bien traiter une bronchite

L’hiver arrive à vitesse grand V, et les désagréments qu’il apporte peuvent être nombreux pour les millions de personnes qui devront braver le froid quotidiennement.

Il y a bien sûr les classiques rhumes et grippes, mais certains peuvent dégénérer en une bronchite, ce qui est beaucoup moins simple à traiter et à vivre.

La bronchite est une infection virale (ou bactérienne) qui provoque l’inflammation des bronches, rendant la respiration difficile.

www.nlm.nih.gov rapporte des suggestions émises par le National Heart Lung and Blood Institute afin de traiter adéquatement les cas de bronchites.

On conseille d’abord le repos complet, ainsi que l’absorption de beaucoup de liquides, exactement comme dans les cas de grippes « traditionnelles ».

Si la migraine est présente dans les symptômes, l’aspirine est conseillée, sauf pour les enfants, à qui l’on suggère plutôt l’acétaminophène.

Placez-vous dans un endroit chaud et humide ou utilisez un humidificateur afin d’ouvrir les voies respiratoires.

N’utilisez un médicament contre la toux et l’inflammation que sur les conseils de votre médecin afin d’éviter d’aggraver votre cas, et rappelez-vous que les antibiotiques ne sont efficaces que dans les cas de bronchite bactérienne. Ceux-ci n’auraient aucun effet dans les cas de bronchites virales.