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Savoir reconnaître la mononucléose

L’automne apporte son lot de jolis paysages, de feuilles colorées, de soirées fraîches et de… baisse d’énergie. Les gens qui sont frappés par une forme de dépression saisonnière ou une autre sont nombreux, mais certains pourraient bien être aux prises avec un autre type de mal : la mononucléose.

Comment reconnaître une mono d’une simple fatigue saisonnière? Voici quelques informations, rapportées par e-sante.fr.

D’abord, il faut comprendre que la mononucléose est un virus, qui se transmet et s’attrape un peu comme la grippe. Elle n’est pas considérée comme une maladie grave, mais elle affectera certainement le quotidien des gens qui l’attraperont.

Si elle frappe surtout les plus jeunes (adolescents), les adultes sont tout aussi à risque de contracter cette maladie transmise majoritairement par la salive.

Impossible de ne pas la remarquer non plus, puisque la fatigue intense qu’elle procure est indiscutable. Une personne peut se voir dans l’incapacité totale de fonctionner normalement.

S’ajoutent aux symptômes de fatigue intense : maux de gorge, forte fièvre, frissons et courbatures (douleurs musculaires). Bref, le corps ressent un malaise général, ce qui la rend facile à détecter.

Il est important de consulter si vous reconnaissez ces symptômes, car vous n’êtes peut-être pas seulement atteint d’un mal automnal.

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Trucs pour éviter de manger ses émotions

Le phénomène qui implique de « manger ses émotions », ou stress eating, est de plus en plus répandu.

D’abord parce que le stress est omniprésent dans notre style de vie moderne, tout comme la nourriture, et pas toujours la bonne.

Lanutrition.fr rapporte les propos de Susan Albers, une psychologue américaine qui tente d’aider les femmes (plus touchées par ce phénomène) à contrer les troubles alimentaires liés au stress et aux émotions.

D’abord, elle suggère d’éviter d’embouteiller ses émotions. Il faut les affronter, les avouer et les évacuer. Écrire ce que l’on ressent sur papier s’avère un excellent truc, selon la psychologue.

Ensuite, prenez le temps de cerner les niveaux d’intensité de vos émotions et de réfléchir à comment vous pourriez les ramener à un niveau inférieur. Par exemple, elle suggère d’utiliser une échelle de 0 à 20. Situez votre émotion (exemple : 17/20), puis réfléchissez à comment il serait possible de la ramener à 10.

En terminant, on explique de ne plus essayer de lutter contre les émotions ressenties et de laisser aller vos pensées comme elles arrivent. En combattant, on emprunte une voie qui mène inévitablement à la perte de contrôle… et peut-être au pot de crème glacée!

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Les règles d’usage concernant la bière

Conseilsnutrition.tv s’est penché sur le dossier des bières et rapporte quelques constats. Mais d’abord, revenons sur les effets bénéfiques de la bière, avant de sombrer dans ses mauvais côtés.

Avant tout, il est vrai qu’elle contient de la vitamine B bénéfique à l’organisme. De plus, on le répète, l’alcool permet de faire grimper le taux de bon cholestérol dans le sang (HDL), lorsque consommée avec modération.

Et c’est bien le premier facteur qui fera varier une consommation d’alcool saine pour le corps à une autre, néfaste. Il est déconseillé de prendre plus de trois bières lorsqu’on consomme de l’alcool, car ses bons effets sont ainsi neutralisés.

Entre autres, l’apport calorique élevé des boissons de houblon favorise un gain de poids. Également, plusieurs contenants vendus en épiceries et dépanneurs sont trop volumineux et incitent le consommateur à prendre des portions trop grandes.

Il serait donc plus facile de boire modérément en achetant de plus petites portions. On vante également les mérites des bières moins caloriques comme la Corona, populaires chez les femmes, mais que les hommes gagneraient à découvrir et à intégrer dans leurs habitudes de consommation.

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Un geste simple pour ne pas crouler sous la pression

Une nouvelle étude démontre qu’un tout petit geste pourrait améliorer la résistance à la pression, selon nlm.nih.gov.

Le secret résiderait dans la main gauche!

En effet, il semble que de simplement presser une balle (les balles antistress, par exemple) de la main gauche aurait un effet bénéfique sur le cerveau.

Les mêmes effets seraient observables en pliant simplement la main gauche à quelques reprises.

Ainsi, les gens qui doivent performer sous pression pourraient voir diminuer leur chance de s’écrouler dans les moments importants. Les athlètes, par exemple, sont des exemples parfaits de personnes qui peuvent bénéficier de ce « traitement ».

Les chercheurs allemands de l’étude ont testé leur théorie sur des joueurs de soccer, de badminton et des judokas. Les tests ont été effectués durant des pratiques et des compétitions.

L’étude, publiée dans le Journal of Experimental Psychology: General, conclut que les droitiers qui pressent une balle dans leur main gauche avant une compétition ont une meilleure résistance à la pression que ceux qui font le même geste, mais de la main droite.

On peut donc déduire que la main gauche a bel et bien un effet sur le cerveau, activant l’hémisphère droit. Les données concernant les gauchers n’ont pas été compilées.

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Pour combattre les problèmes de digestion

De plus en plus de gens souffrent de problèmes de digestion, à commencer par les « ballonnements ». Ces désagréables symptômes digestifs pourraient être évités, selon ce qu’avance conseilsnutrition.tv.

D’abord, il faut comprendre que ceux-ci sont souvent causés par des aliments dits « fermentescibles », dont les sucres ne sont pas digérés par l’organisme.

Malheureusement, les aliments de ce genre sont souvent ceux que l’on conseille pour une bonne santé, ce qui peut créer un problème de taille pour ceux qui surveillent leur alimentation. On parle ici des légumineuses, des choux, des brocolis, de l’ail et de l’oignon, entre autres.

Les boissons gazeuses sont aussi à éviter pour contrer ce type de problème digestif, ce qui vous permet de faire d’une pierre deux coups pour votre santé.

On parle également de ce qui laisse « entrer de l’air » lorsqu’on mange, comme la soupe. La gomme à mâcher est aussi à éviter.

Aussi, on recommande de prendre six repas (plus petits) par jour au lieu des trois conventionnels, et d’espacer les desserts. Ainsi, il faudrait attendre une heure après le repas pour manger son plaisir sucré.

En terminant, on suggère de consommer des probiotiques pour contrer les effets de « ballonnements » ou d’autres problèmes digestifs connus.

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La nutrition pour célibataires endurcis

C’est bien connu que de manger seul est moins motivant que de préparer des plats pour deux. Manger à deux apporte une dynamique d’échange et de partage des plaisirs qu’une personne seule pourra difficilement ressentir, bien assis devant son téléviseur.

Ainsi, il faut contrer cela par des techniques et astuces de « célibataires » (qui s’appliquent aussi si vous ne l’êtes pas!), explique www.extenso.org.

Fini les repas congelés, les céréales en boîte ou encore le poulet rôti livré directement chez vous. Il faut d’abord bien préparer son plan de match. La préméditation est la clé, puisqu’il est décourageant de contempler un réfrigérateur et des armoires vides lorsqu’on a très faim.

On suggère donc de toujours avoir de bons aliments chez soi, des aliments qu’on aime et qui s’apprêtent de plusieurs façons. Salades, poissons en conserve, œufs, pains (réguliers, pitas, etc.), fromages et légumes frais sont tous des ingrédients faciles à apprêter, et ce, rapidement.

Vous devez d’abord penser à ce que vous aimez vraiment manger, et en faire des provisions. Ensuite, il est conseillé de ne pas attendre à la dernière minute pour penser à son repas, puisqu’une faim trop puissante vous poussera vers des solutions rapides et peu efficaces.

Faites aussi congeler vos repas favoris!

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Bien manger rime avec qualité et non quantité

Selon les statistiques, 10 % des enfants québécois âgés de quatre ans font de l’embonpoint, alors que 4 % sont obèses.

Pour la première fois dans la province, une étude permet de voir que ce ne sont pas tous les parents d’enfants d’âge préscolaire qui perçoivent correctement ce que signifie une saine alimentation.

Parmi les parents des 1257 familles interrogées, 40,8 % croient que bien manger rime avec alimentation saine, alors que 31,4 % croient que cela consiste en la variété, et 23,5 % en l’aspect visuel de l’assiette.

Selon Stéphanie Pernice de l’Université de Montréal, nutritionniste et auteure de l’étude, le parent joue un rôle primordial dans l’influence alimentaire des petits. Ces derniers développent d’ailleurs leur comportement et intérêt alimentaire pour le futur jusqu’à l’âge de trois ans.

Au journal La Presse, Mme Pernice a conseillé aux parents d’offrir des aliments sains à leurs enfants, mais de les laisser choisir la quantité à manger.

« À long terme, ça fait des enfants qui ont une alimentation plus variée et une relation plus saine avec les aliments que si on met de la pression », dit-elle.

Parmi les trucs dévoilés par les parents sondés pour que leur enfant mange mieux, la nutritionniste trouve intéressant le fait que 71 % des familles partagent des discussions plaisantes à table, que 40,4 % mangent en famille, que 30,4 % n’ouvrent pas la télévision, que 22,9 % misent sur l’ambiance, et que le quart des parents font participer leurs enfants à la préparation des repas.

Selon la professionnelle, ces points sont beaucoup plus stratégiques que les astuces qui forcent les enfants à manger, comme le camouflage de légumes ou le chantage avec le dessert.

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7 trucs pour élever un enfant résistant

Au terrain de jeu, il vous faudra peu de temps avant d’entendre une multitude de : « Bravo! Tu as fait la plus belle glissade au monde », « Ne va pas trop loin » ou encore « Fais attention, c’est dangereux ».

Il est clair que la génération de parents actuelle encourage plus qu’à son tour l’estime de soi et est quelque peu trop protectrice.

L’éducatrice et chroniqueuse Alissa Sklar remarque que la plupart des enfants ne sont pas prêts à faire face à la réalité et s’écroulent au moindre obstacle, difficulté ou échec.

Selon elle, ces enfants n’ont pas évolué dans la « douleur nécessaire ». « Ne criez pas de faire attention lorsqu’il court. Laissez-le faire. Il faut qu’il tombe pour connaître la douleur des genoux blessés. Ainsi, il fera plus attention la prochaine fois ».

L’idée est de continuer à encourager nos enfants et de les aimer, mais de les préparer à être confiants et compétents pour l’avenir. Comment y arriver?

Développez ses compétences
Aidez-le à trouver ce dans quoi il sentira qu’il est bon. Cela peut se traduire par laisser le petit s’habiller seul ou passer du temps à faire une activité qu’il aime vraiment et qu’il maitrise bien.
 
Faites-lui confiance
Donnez-lui des responsabilités et de l’autonomie afin qu’il vous prouve ses réelles capacités. (Emmener sa petite sœur au terrain de jeu, le laisser régler un conflit avec un ami sans être à ses côtés, etc.)
 
Entourez-le de bonnes personnes
Tissez des liens avec les membres de la famille, les amis, les collègues et le voisinage propices à avoir une belle relation et une bonne influence pour votre enfant. Il aura ainsi plusieurs modèles adultes.
 
Développez son caractère et ses valeurs
Apprenez-lui le bien et le mal. Servez-vous de films et de livres d’histoires pour lui faire comprendre différentes leçons.
 
Altruisme
Montrez-lui que ces actions peuvent donner le bien-être à d’autres. Développez son besoin d’altruisme en lui faisant participer à des activités bénévoles ou autres.
 
Servez-lui d’exemple
Les enfants qui ont appris de leurs parents la résolution des problèmes à la maison et l’importance de ne pas être stressé pour un rien seront mieux armés.
 
Apprenez-lui à se contrôler et à prendre des décisions
C’est important de lui enseigner, car ce n’est pas inné chez l’enfant. Lorsqu’il est fâché, enseignez-lui à prendre de grandes respirations. Dites-lui qu’il a une heure au total pour jouer aux jeux vidéo et qu’il doit lui-même choisir comment répartir ces minutes dans sa journée, etc.