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Don Cherry : « On a assez de dingues de gauche »

Le commentateur sportif et star de Coach’s Corner à Hockey Night In Canada ne veut rien savoir des transfuges américains provenant du show-business et des médias.

Prenant la parole sur Twitter, Don Cherry avait une réponse pour les vedettes qui souhaitaient déménager au Canada en cas d’élection de Donald Trump.

« Les artistes dingues de gauche et les bizarres des médias de gauche aux États-Unis qui ont dit qu’ils déménageraient au Canada si Trump gagnait la présidence. S’il vous plaît, on a assez de ce genre ici en ce moment », laisse tomber un Don Cherry en forme sur son compte Twitter.

Ouvertement plus à droite sur le spectre politique et pressenti dans le passé à se lancer pour les conservateurs, il sera maintenant intéressant de découvrir quel veston arborera Don Cherry lors du prochain Coach’s Corner, samedi soir prochain (12 novembre) sur CBC.

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Bon Cop Bad Cop 2 : un bon flash électoral

Le coup de publicité est passé un peu inaperçu dans le brouhaha des élections américaines ayant finalement mené au président Trump : une affiche pour Bon Cop Bad Cop 2 se voulant rassurante pour nos voisins du Sud a été dévoilée, avec le slogan « It’s okay America, les Canadiens sont là ».

L’affiche promo propose également les deux stars du film original, Patrick Huard et Colm Feore, de retour pour l’occasion. Plus subtilement, on peut apercevoir le drapeau américain en arrière-plan, sur lequel certaines des étoiles ont été remplacées par des feuilles d’érable.

Le résultat est superbe, et franchement bien pensé.

On attend maintenant avec impatience un aperçu du film, qui doit prendre d’assaut les salles de cinéma canadiennes en mai 2017.

Lucie Laurier et Sarah-Jeanne Labrosse sont également de la distribution de Bon Cop Bad Cop 2, alors que la réalisation a été confiée à Alain Desrochers.

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Lady Gaga prend la Trump Tower d’assaut

L’interprète de Million Reasons, qui a accompagné Hillary Clinton au cours des derniers jours dans sa campagne, n’a pas retrouvé le chemin du lit après l’élection de Donald Trump.

Lady Gaga s’est plutôt présentée devant la Trump Tower de New York, prenant symboliquement d’assaut l’immeuble doré de Donald Trump, armée d’un camion à ordures et d’une affiche promotionnelle d’Hillary Clinton.

Gaga a publié une photo de son geste sur son compte Twitter, alors qu’il était 5H42 AM (heure de l’Est).

La chanteuse y est également allée de quelques commentaires controversés, qui sont maintenant introuvables sur le compte officiel de Lady Gaga.

Chose certaine, celle qui vient de lancer l’album Joanne aura bien du mal à trouver le sommeil au cours des prochains jours, tout comme d’autres stars de la musique publiquement contre Donald Trump comme Madonna, Demi Lovato, Jon Bon Jovi, Bruce Springsteen et Katy Perry.

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Rencontre virtuelle avec Jennifer Lawrence

Le réalisateur Darren Aronofsky y est allé d’un effort électoral de dernière minute, en se présentant sur le campus de l’Université Duke.

Téléphone à la main, le réalisateur de Black Swan en a surpris plusieurs en proposant un échange virtuel par l’entremise de FaceTime avec sa nouvelle flamme alléguée, une certaine Jennifer Lawrence.

Des étudiants pouvaient ainsi discuter avec la superstar et interprète de Katniss Everdeen, en échange d’un vote pour Hillary Clinton.

« Je viens de parler tranquillement avec Jennifer Lawrence. Darren Aronofsky est le meilleur », a écrit l’étudiant Ethan Udell sur Twitter, photo à l’appui.

Selon les informations rapportées par E!, une vingtaine d’étudiants ont ainsi pu profiter d’un moment virtuel avec Jennifer Lawrence.

Un autre coup d’épée dans l’eau de la part de grosses pointures hollywoodiennes, cependant, considérant le résultat de l’élection d’hier (8 novembre).

Mine de rien, Darren Aronofsky a plus ou moins ainsi confirmé sa relation personnelle avec Jennifer Lawrence.

Rappelonsque l’actrice sera en vedette dans le prochain film d’Aronofsky, prévu pour 2017.

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Trump : les stars paniquent

Signe que l’élite hollywoodienne et new-yorkaise n’a pas le monopole de la pensée aux États-Unis, Donald Trump est désormais président-élu.

Qu’en est-il de toutes ces célébrités qui n’ont pas mâché leurs mots quant à Donald Trump tout au long de la campagne électorale 2016?

De la stupeur… et un brin de panique.

Captain America lui-même, Chris Evans, s’est dit « embarrassé ». Ariana Grande aurait « sangloté ». Aaron Paul semblait confus.

John Cusack, volubile lors de la campagne, parle de « gestes organisés » tout en y allant d’un appel « au calme » contradictoire.

Sophia Bush affirme que ses proches sont « apeurés » et ont « le coeur brisé ».

Ruby Rose analyse quant à elle que le peuple américain vote parce que trop de gens ont été blessés dans le passé.

Will Arnett estime de son côté qu’il sera difficile d’expliquer le résultat de l’élection aux futures générations de femmes et aux minorités, et se dit honteux.

Mandy Moore tente quant à elle de « garder espoir », alors que Michelle Rodriguez croit qu’il faut respecter le choix des Américains, tout en « préparant la Dolorian » pour un « retour dans le temps ».

Jessica Chastain croit que « l’élément positif » de ce résultat est qu’on ne peut désormais plus ignorer la présence du sexisme et du racisme aux États-Unis.

Katy Perry et Lady Gaga, deux volubiles partisanes d’Hillary Clinton, ont appelé les citoyens à ne pas demeurer immobiles et éviter de pleurer sur leur sort.

La liste des stars qui ont réagi et réagissent toujours ne fait que continuer de s’allonger, signe que, cette fois, ils n’auront pas eu leur mot à dire dans le choix d’une majorité d’Américains.

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Un électeur poursuit Trump pour un milliard de dollars

Un électeur de la région de New York en a assez de la campagne présidentielle 2016, et affirme que Donald Trump lui a causé des problèmes psychologiques.

Louis Tafuto maintient qu’en intimidant les électeurs et en affirmant qu’il n’accepterait pas les résultats de l’élection s’il perdait, Donald Trump cause du tort à la démocratie, ainsi que de la peur et de l’anxiété.

Basé sur cette détresse psychologique et sur le fait qu’on « prive les électeurs d’un candidat sérieux, honnête et capable » du côté républicain, Louis Tafuto intente donc une poursuite au civil évaluée à un milliard de dollars.

Tafuto poursuit également dans sa requête le colistier de Trump, Mike Pence, le haut placé républicain Reince Priebus, ainsi que le parti républicain en soi.

Le demandeur plaide une « détresse émotionnelle sévère », rapporte TMZ.

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Lady Gaga s’attaque à Melania Trump

Engagée, mais plutôt discrète, Lady Gaga n’a cependant pu s’empêcher de répondre directement à Melania Trump, l’aspirante première dame chez les républicains, sur Twitter.

La goutte qui a fait déborder le vase de l’interprète de Perfect Illusion serait la prétention « anti-intimidation » de Melania Trump, une attitude qu’affichait la femme de « The Donald » lors d’une allocution.

« @MELANIATRUMP de dire que tu vas te tenir debout pour « contrer l’intimidation » est de l’hypocrisie. Ton mari est l’un des plus grands intimidateurs que nous ayons connus », écrit notamment Lady Gaga sur son compte.

« J’ai parcouru le monde. Cette élection est un problème international. Si c’est « lui » qui gagne, nous serons dans une position de faiblesse dans le monde », ajoute la chanteuse, pour inciter les gens à sortir voter demain (8 novembre).

Plusieurs autres messages de la superstar de la pop peuvent également être lus sur le compte Twitter de Lady Gaga, dont certains s’adressent directement à Donald Trump.

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Jay Leno de retour au Tonight Show

Feignant une blessure, le populaire Jimmy Fallon a cédé sa place à son prédécesseur, Jay Leno, devant une foule en délire à The Tonight Show, hier, (31 octobre).

Ces apparitions semblent devenir un segment récurrent au Tonight Show, au grand plaisir des fans loyaux de Leno et de l’émission culte de fin de soirée.

Pour l’occasion, Jay Leno n’a pas manqué cette belle opportunité de tirer sur tout ce qui bougeait dans le monde politique américain actuellement. Clinton, Trump, Bush, Wiener, tout le monde y est passé.

Jimmy Fallon est ensuite retourné aux côtés de Jay Leno pour terminer le numéro, alors que les deux se sont échangé une bonne poignée de main à la fin d’une série de blagues expliquant « à quel point l’économie va mal » aux États-Unis.

Découvrez ici le numéro de Jay Leno au Tonight Show, avec Jimmy Fallon.

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Potins

Trump déclenche la guerre chez les Baldwin

La famille d’acteurs composée notamment d’Alec, William, Stephen et Daniel Baldwin aime la politique, c’est bien connu. Les comptes de réseaux sociaux de William et Stephen sont d’ailleurs truffés de références politiques.

À quelques jours du crucial vote présidentiel, ces derniers semblent cependant diamétralement opposés sur le spectre politique actuel, donnant lieu à un moment cocasse sur Twitter.

« Si mon père était en vie aujourd’hui (un vétéran), il serait honteux et dégoûté de la manipulation des médias biaisés par des gens comme @AndersonCooper », écrit Stephen Baldwin.

Le message dirigé vers le pilier de CNN obtiendra toutefois non pas une réponse d’Anderson Cooper, mais plutôt de William Baldwin.

« Si notre père était en vie aujourd’hui… il te frapperait sur le côté de la tête pour supporter Donald Trump », écrit William Baldwin à son frère.

L’histoire a fait boule de neige et est reprise en boucle depuis le début de cette guerre de mots entre les frères Baldwin, alors que de nombreux internautes commentent et demandent maintenant une prise de position du plus populaire des frères Baldwin: Alec.

William Baldwin est revenu sur l’affaire au cours des dernières heures, affirmant qu’il « adore son frère Stephen », mais que son père ne supporterait jamais les politiques d’un homme comme Donald Trump.

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Musique

Pussy Riot profite de la manne Trump

Politisées et engagées, les jeunes femmes de la formation russe Pussy Riot envoient quelques messages forts à l’aube de l’élection présidentielle américaine, et à l’aube du lancement de son tout nouvel EP, intitulé xxx.

Pussy Riot propose en effet Make America Great Again, un extrait assorti d’un vidéoclip qui en laisse peu pour l’imagination. Le message est clair et direct : l’élection de Donald Trump pourrait s’avérer dangereuse.

Si l’on devine bien qu’il s’agit d’un véritable filon pour les filles de Pussy Riot et qu’il s’agit aussi d’une belle manœuvre commerciale de leur part, on ne peut que se pencher sur les inquiétudes soulevées par la formation.

Pas parce que l’élection possible de Donald Trump est aussi inquiétante que ce qui est décrit dans le vidéoclip, mais plutôt parce que le groupe a combattu pour la liberté d’expression en Russie et s’est retrouvé devant de grands dangers pour dénoncer le régime actuel du président russe Vladimir Poutine.

Ekaterina Samoutsevitch, Nadejda Tolokonnikova et Maria Alekhina avaient d’ailleurs été emprisonnées en 2012 pour une prestation antireligieuse et anti-Poutine exécutée dans une cathédrale.

Outre Make America Great Again, Pussy Riot a également tout récemment proposé un clip saisissant pour Organs, dans lequel la formation s’attaque encore au président Poutine et au trafic des femmes. Un autre, féministe pour Straight Outta Vagina, est également disponible depuis peu.

Découvrez ici celui pour Make America Great Again, de Pussy Riot.

Le EP xxx sera disponible ce vendredi (28 octobre).

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