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Elle Macpherson et le cancer

Alors qu’elle gagne sa vie grâce à son corps, Elle Macpherson a récemment confié au Daily Mail que celui-ci lui avait fait des misères au cours des dernières années.

À 51 ans, Macpherson révèle que son hygiène de vie avait dû subir des changements il y a deux ans, alors qu’elle a eu la frousse de sa vie en se découvrant une bosse au sein. Elle était alors persuadée d’avoir un cancer.

Finalement, après une biopsie et quatre interminables semaines d’attentes, les résultats ont montré qu’il ne s’agissait que d’une masse bénigne.

Le mannequin dit avoir eu terriblement peur, mais que c’est ainsi qu’elle s’est rappelée l’importance de bien s’occuper de sa santé. C’est une diététiste qui lui a fait réaliser combien elle maltraitait son corps, et qu’elle pouvait améliorer sa santé avec une meilleure alimentation et plus de sommeil, ce qu’elle s’est empressée de faire.

Depuis, Macpherson a fondé sa propre marque de complé­ments alimen­taires, Welleco, avec son amie Andrea Bux. Elle Macpherson encourage maintenant les femmes de partout à prendre mieux soin d’elles.

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Utilisation de cannabinoïdes pour réduire les tumeurs cancéreuses

The Conversation rapporte qu’il y a déjà des médicaments sur le marché développés à partir d’extrait du cannabis. Notamment le Sativex, résultat des cannabinoïdes tétrahydrocannabinol (THC) et du cannabidiol (CBD). Il s’agit d’un vaporisateur buccal pour traiter la sclérose en plaques.

On utilise déjà le dronabinol et le nabilone pour diminuer les effets secondaires attribuables au cancer, mais cette fois, la combinaison du THC et du CBD a donné des effets spectaculaires en laboratoire.

Il a fallu procéder à divers essais pour optimiser la dose combinée de l’un et l’autre des composants. Lorsque les spécialistes ont réussi, ils ont constaté des réductions de tumeurs cérébrales importantes.

L’objectif de cette recherche vise le traitement des tumeurs cérébrales les plus communes, mais surtout de la plus agressive : le gliome. L’espérance de vie de 36 % des gens atteints ne dépasse pas 1 an, et une seule personne sur 10 réussit à passer le cap du 5 ans.

Selon les spécialistes, ces résultats sont fort prometteurs, et ce, dans un avenir proche.

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Des cellules transgéniques pour tuer les tumeurs cérébrales

Les scientifiques de l’école médicale de Harvard ont raison de se taper sur l’épaule pour se féliciter. Ils ont réussi à transformer des cellules normales en soldats mortels pour les cellules cancéreuses, rapporte BBC.com.

Le plus difficile aura été de faire en sorte que les cellules génétiquement modifiées, qui produisent et sécrètent une toxine, s’attaquent uniquement aux cellules tumorales.

Dr Khalid Shah de l’Hôpital général du Massachusetts affirme qu’il s’agit du « traitement du futur » pour éradiquer le cancer.

Son étude a été publiée dans la revue scientifique Stem Cells. Dans le processus de recherche, les experts ont dû faire en sorte que ces cellules souches transgéniques résistent à leur propre toxine.

« Les toxines qui tuent le cancer ont été utilisées avec succès dans une grande variété de cancers du sang, mais elles ne fonctionnent pas aussi bien sur des tumeurs solides, puisque les cancers ne sont pas aussi accessibles, et les toxines ne vivent pas suffisamment longtemps. »

Dr Shah se dit certain de pouvoir utiliser cette méthode en clinique d’ici les 5 prochaines années.

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Les tumeurs cérébrales préfèrent les hommes

Une protéine retrouvée chez la gent féminine constituerait l’explication des scientifiques. Plusieurs conditions médicales ont leur préférence quant au sexe du sujet qu’elles attaquent. Les tumeurs ne font pas exception, rapporte Science World Report.

Puisque les tumeurs au cerveau représentent la seconde principale cause de décès reliés au cancer chez les moins de 20 ans et les hommes de 20 à 39 ans, ces informations sont cruciales.

Une étude récente menée par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington à St. Louis a mis en lumière la raison pour laquelle certaines tumeurs cérébrales sont deux fois plus fréquentes chez les hommes.

La protéine du rétinoblastome (RB), une protéine qui aide à réduire les risques de cancer, est beaucoup plus active dans les neurones cérébraux de la femme.

« C’est la première fois que quiconque relate une différence reliée au sexe en ce qui a trait au risque de tumeur », a commenté Dr Joshua Rubin, responsable de la recherche.

Selon lui, cette avancée permettra désormais de s’attarder à l’efficacité des traitements selon le sexe du patient, mais pas uniquement en ce qui a trait aux tumeurs cérébrales. Il faudra élargir le champ de recherche aux autres cancers.

Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Journal of Clinical Investigation.

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3 bonnes raisons de consommer des plats épicés

Les données proviennent de nombreuses recherches qui s’accordent toutes pour dire que les mets épicés contribuent à améliorer votre santé, notamment :

En vous redonnant une vague de libido pour pimenter votre vie sexuelle. Des études démontrent que manger épicé est aphrodisiaque. Selon la revue Food Research International de 2011, il faut aussi tenter le ginseng et le safran. Ils amélioreraient la performance sexuelle.

Les plats épicés peuvent vous aider à perdre du poids. Ce sont des études récentes qui affirment que l’ajout d’un peu d’épices à votre régime peut diminuer votre tour de taille de quelques pouces. Selon le Los Angeles Center for Human Nutrition, même le poivre peut vous faire brûler plus de calories. Il a d’ailleurs été utilisé dans une pilule pour perdre du poids et s’est avéré efficace.

En diminuant les risques de tumeurs. Une fois de plus, le poivre est utilisé pour démontrer que ses effets déclenchent des récepteurs situés dans l’intestin, contribuant à la diminution du risque de développer certaines tumeurs.  En plus, le poivre augmenterait l’espérance de vie.

Les recherches ont été publiées dans le Journal of Clinical Investigation.

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Un nouvel espoir pour les enfants atteints de sclérose tubéreuse de Bourneville

La sclérose tubéreuse de Bourneville est rare, mais impossible à guérir à ce jour. C’est un diagnostic très effrayant pour un parent et son enfant. Le désordre génétique créé des tumeurs bénignes au niveau de plusieurs organes, entrainant des troubles cérébraux, rénaux, cardiaques et plus encore.

« Elle est difficile à déceler, puisqu’elle apparaît notamment sous forme de taches blanches sur la peau qui ne sont pas visibles à l’œil nu ainsi qu’une croissance anormale du muscle cardiaque », rapporte le Dr Nikolas Mata-Machado.

Le pédiatre et neurologiste du Loyola University Health System est l’un des seuls physiciens à utiliser un nouveau médicament s’apparentant à la chimiothérapie. Celui-ci réduit les tumeurs et offre un nouvel espoir aux patients qui ne répondent pas aux traitements traditionnels.

Il existe des solutions chirurgicales, et certains répondent bien aux médicaments contre l’épilepsie, l’une des graves conséquences de la maladie. Mais d’autres y sont insensibles, ce qui offre une nouvelle alternative.

La sclérose tubéreuse de Bourneville atteint 1 enfant sur 25 000 aux États-Unis, rapporte Medical Xpress.

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Une étude établit un lien réel entre le téléphone et le risque de tumeur

Les téléphones intelligents et cellulaires sont soupçonnés depuis longtemps de hausser les risques de développer une tumeur, notamment au cerveau.

Une nouvelle recherche semble vouloir confirmer ces craintes, rapporte Top Santé, alors qu’une étude française propose des statistiques sur le sujet.

Selon la recherche menée par des chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’Université de Bordeaux, les personnes qui utilisent constamment leur téléphone portable pour parler avec leurs proches ou pour affaires seraient effectivement plus à risque. On estime qu’un temps moyen minimum d’utilisation de trente minutes par jour peut constituer un risque bien réel de développer une tumeur cérébrale.

« Le risque de contracter un gliome est multiplié par deux pour les utilisateurs de longue durée d’un portable », estime la Dre Annie Sasco, Galement épidémiologiste.

On suggère donc l’utilisation d’oreillette ou d’un système comme le Bluetooth, d’éviter de téléphoner dans des zones de mauvaise réception ou encore de téléphoner lorsque s’on se déplace à grande vitesse, tous des facteurs qui pourraient contribuer au risque.

Les conclusions des chercheurs européens ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.