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Espoir pour le combat contre les tumeurs cérébrales chez l’enfant

Le Medical New Today publie qu’une étude conjointe entre l’Hôpital général de Harvard et l’équipe du Dr. Peter Carmeliet du VIB-Ku Leuven a démontré que le blocage du facteur de croissance placentaire enrayerait la formation de métastases de ce cancer.

Cette technique étudiée sur des souris a démontré une réduction des métastases ainsi que le ralentissement de la croissance des tumeurs, rallongeant ainsi leur espérance de vie.

L’importance clinique du blocage de croissance placentaire a aussi été confirmée auprès des patients atteints de médulloblastome. Le traitement actuel pour ce type de cancer commun chez les enfants consiste à un retrait chirurgical partiel de la tumeur, suivit de radiothérapie et de chimiothérapie.

Malheureusement, il s’agit de traitements très handicapants, qui peuvent aller jusqu’à créer des dommages permanents au cerveau. Cette découverte majeure ouvre donc la voie à un nouveau traitement causant moins d’effets secondaires, tant pour les patients déjà aux prises avec des dommages post-traitement que ceux pour qui la thérapie actuelle n’a pas été concluante.

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Un vaccin contre le cancer du cerveau pédiatrique?

Encore aujourd’hui, il y a peu d’espoir pour les enfants atteints de tumeurs cérébrales, alors que la seule option efficace est souvent la radiothérapie.

Or, une nouvelle alternative pourrait bien faire briller une lumière au bout du tunnel, ont expliqué des chercheurs à la réunion annuelle de l’American Association for Cancer Research (AACR) à Chicago récemment.

En effet, le Dr Ian Pollack de l’Université de Pittsburgh, auteur de l’étude dont les données et les conclusions doivent être encore considérées comme provisoires, a démontré qu’un vaccin pouvait être bien toléré et avoir des réponses favorables, voire surprenantes, sur le système immunitaire des petits atteints d’un cancer du cerveau.

La majorité des 27 enfants participants à l’étude ont bien répondu au vaccin. Par voie de communiqué, le spécialiste explique : « Certains des enfants ont connu ce qu’on appelle une “pseudoprogression” après avoir reçu le vaccin, ce qui signifie que la tumeur a progressé temporairement et les symptômes de la maladie se sont aggravés, mais plus tard, la tumeur est devenue plus petite et la maladie s’est stabilisée ».

Devant cette première étude de ce genre, qui a permis de voir un rétrécissement des tumeurs dangereuses dans le cerveau de plusieurs petits, les chercheurs sont épatés et très encouragés par les résultats.

Bien que pour le moment, il soit impossible de savoir si ce vaccin pourra améliorer la qualité de vie et le taux de survie global, il devient tout de même un nouvel espoir considérable dans le combat de la maladie.