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Nouvelle hypothèse pour combattre le cancer

Jusqu’à présent, les médecins croyaient que pour freiner la propagation du cancer, il fallait couper l’alimentation sanguine vers les tumeurs, ce qui causait leur mort.
 
Cependant, le cardiologue ontarien Geoffrey Pickering croit que c’est plutôt l’inverse qu’il faut tenter, indique Radio-Canada.
 
La Société canadienne du cancer vient de lui donner un financement afin qu’il prouve son hypothèse qu’en augmentant l’alimentation sanguine vers les tumeurs, on freine ainsi leur propagation.
 
Le Dr Pickering et son équipe feront d’abord des tests sur des souris ayant différents cancers comme ceux du sein, des poumons, du cerveau et du côlon.
 
Selon le médecin, en freinant l’alimentation en sang, les tumeurs deviennent plus agressives et se propagent. En augmentant la circulation sanguine vers elles, les tumeurs seraient moins agressives, et il croit que cela pourrait également augmenter l’efficacité des médicaments anti-cancer.
 
Si son hypothèse se confirme, la médecine devra revoir tous les traitements pour le cancer.
 
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Une nouvelle méthode pour mieux détecter et opérer les tumeurs du foie

La Commission européenne a déclaré que des chercheurs et des chirurgiens français, allemands, britanniques et suisses travaillent au développement d’un foie virtuel qui permettrait de mieux cibler l’endroit de la tumeur dans le foie et faciliterait ainsi la chirurgie pour l’extraire.
 
Le projet, intitulé PASSPORT, a débuté en 2008. Bien qu’il ne soit pas encore prêt à être commercialisé maintenant, il semble prometteur.
 
Ce foie virtuel est centré sur les clichés médicaux qui sont envoyés au projet. Ainsi, on détermine si l’opération est nécessaire et l’endroit précis où se situe la tumeur.
 
« Le cancer du foie fait des centaines de milliers de victimes en Europe et dans le monde. La technologie mise au point dans le cadre du projet PASSPORT, financé par l’Union européenne, est une avancée décisive qui permettra d’améliorer le diagnostic et la chirurgie et de contribuer à sauver des vies », précise la vice-présidente de la Commission, Neelie Kroes.
 
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Découverte surprenante au sujet de l’acide biliaire

L’acide lithocholique, communément appelé acide biliaire, est naturellement sécrété par le foie lors de la digestion.
 
Des chercheurs des universités Concordia, McGill et de la Saskatchewan ont découvert que cet acide pouvait détruire certaines cellules cancéreuses, notamment dans les tumeurs cérébrales et du sein.
 
Le plus surprenant est que l’acide biliaire cible les cellules malades tout en laissant les cellules saines intactes, rapporte la revue Oncotarget.
 
Non seulement l’acide peut enrayer les cellules cancéreuses, mais il peut également freiner la croissance des tumeurs.
 
« L’acide lithocholique ne détruit pas seulement les cellules cancéreuses individuelles; il empêche aussi la croissance de la tumeur », explique le professeur Vladimir Titorenko.
 
On croit que les cellules cancéreuses seraient sensibles à l’acide biliaire, car elles possèderaient plus de capteurs que les cellules normales, ce qui les rendrait plus vulnérables.

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Un gène qui protège contre le cancer colorectal

Des équipes européennes de l’Inserm et du CNRA ont découvert un gène qui protègerait contre le cancer colorectal.
 
Le Deleted Colorectal Cancer (DCC) offre une protection contre l’apparition de tumeurs en tuant les cellules cancéreuses.
 
« L’organisme est naturellement protégé du développement de cancers grâce à la présence de ce gène suppresseur de tumeurs. Malheureusement, certaines cellules cancéreuses échappent à ce contrôle en bloquant un mécanisme de “récepteurs à dépendance”. On sait ainsi que le gène DCC est éteint dans la majorité des cancers chez l’homme », expliquent les auteurs des travaux, cités dans la revue spécialisée Nature.
 
À la lumière de cette découverte, les scientifiques travaillent déjà à l’élaboration de nouveaux traitements mieux ciblés qui pourraient également servir pour traiter les autres types de cancers.
 
Les recherches ne sont encore qu’au tout début du processus, mais les premiers résultats sont encourageants.
 
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Un vaccin prometteur contre le cancer du sein

Une équipe du Centre de lutte contre le cancer de la Clinique Mayo en Arizona a créé un vaccin qui incite l’organisme à cibler seulement les cellules cancéreuses.
 
Selon la revue de l’Académie américaine des sciences (PNAS), ce vaccin aide à la production d’anticorps qui s’attaquent aux cellules cancéreuses uniquement.
 
Notre organisme est incapable de différencier les tissus sains des tissus malades. Bien souvent, c’est ce qui pose problème dans la lutte contre le cancer, car les bonnes cellules sont aussi détruites dans les traitements, ce qui affaiblit les patients.
 
Le vaccin en question a été testé sur des souris ayant une tumeur mammaire, et celle-ci a été réduite de 80 %.
 
« Ce vaccin injecté à des souris atteintes d’une tumeur mammaire a entraîné une très importante réaction immunitaire, qui a été capable d’activer trois composantes du système immunitaire pour réduire de 80 % la taille de la tumeur », dit un des coauteurs des travaux, Geert-Jan Boons.
 
« C’est la première fois qu’un vaccin est développé pour entraîner le système immunitaire à distinguer et tuer les cellules cancéreuses grâce aux structures d’hydrates de carbone sur la protéine MUC1 », ajoute sa collègue, Sarah Gendler.
 
Cette découverte laisse présager la même possibilité pour d’autres cancers. Jusqu’à présent, les essais pour des vaccins contre le cancer ont échoué, et l’avenir nous dira donc si celui-ci franchit toutes les étapes.
 
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Les antécédents familiaux de cancer du sein et l’alcool ne font pas bon ménage

Il y a quelques jours, on apprenait que même une consommation modérée d’alcool favorisait le développement du cancer du sein.
 
Cette fois, le Daily Mail rapporte que les risques sont encore plus importants chez les femmes ayant des antécédents familiaux.
 
Les femmes dont certains membres de leur famille ont eu un cancer du sein sont deux fois plus susceptibles de développer une tumeur bénigne si elles consomment de l’alcool.
 
En réduisant leur consommation, elles réduisent du même coup les risques d’être malades.
 
L’équipe de la Harvard Medical School a suivi 7000 jeunes filles âgées de 9 à 15 ans, de 1996 à 2007. Dix-sept pour cent d’entre elles avaient une mère, une tante ou une grand-mère ayant un cancer du sein, et un peu plus avaient une mère ayant eu une tumeur bénigne.
 
Parmi les femmes qui buvaient le plus, soit environ un verre par jour à 22 ans, 3,1 % avaient développé une tumeur bénigne, alors qu’elles n’étaient que 1,3 % chez celles qui ne consommaient pas d’alcool.
 
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Une bactérie du sol pour vaincre le cancer?

Une bactérie présente dans le sol ciblerait les tumeurs et permettrait une meilleure lutte contre le cancer, rapporte le Daily Mail.
 
Il s’agit d’une souche bactérienne commune, Clostridium sporogenes, qui évolue dans un environnement pauvre en oxygène. Voilà pourquoi elle serait attirée vers les tumeurs solides. Elle pourrait donc servir à transporter les médicaments pour enrayer les tumeurs.
 
Cette bactérie pourrait être injectée à la personne malade. On estime que lorsqu’elle atteindrait la tumeur, une enzyme bactérienne activerait le médicament, détruisant donc les cellules tumorales tout en préservant les cellules saines avoisinantes.
 
On espère pouvoir effectuer des tests sur des humains en 2013.
 
Entre-temps, les chercheurs doivent continuer leurs travaux afin que tout soit en règle et sécuritaire pour procéder éventuellement aux essais cliniques.
 
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Nouvel espoir dans la lutte contre le cancer

Des chercheurs canadiens, américains et sud-coréens se sont montrés très encouragés par une nouvelle technique qui pourrait aider à vaincre le cancer.
 
Un virus, que l’on peut administrer par intraveineuse, aurait la capacité de s’attaquer directement aux tumeurs solides, tout en préservant les tissus sains avoisinants.
 
L’essai clinique effectué sur 23 personnes avec un cancer avancé, qui ont reçu une dose de JX-594, a été encourageant.
 
« C’est la première fois que nous arrivons à démontrer que nous pouvons administrer le virus par intraveineuse et qu’il se rend effectivement là où se trouvent les tumeurs. Il se propage de façon satisfaisante et détruit la tumeur », explique le Dr John Bell, un des auteurs de l’étude.
 
« Nous en sommes aux toutes premières étapes de l’étude, avec l’administration d’une seule dose, mais les résultats sont prometteurs », a précisé le Dr Bell. « Nous devrons mener d’autres essais pour déterminer si le virus peut vraiment améliorer le sort des patients », ajoute-t-il.
 
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Découverte dans la recherche sur le cancer du sein

Le Cancer Research mentionne que des chercheurs de l’Inserm et du CNRS qui travaillent sur les tumeurs du cancer du sein ont trouvé des vaisseaux spécifiques qui ouvrent la voie à de nouvelles thérapies contre la maladie.

Les vaisseaux HEV permettraient un meilleur accès des lymphocytes tueurs vers les cellules cancéreuses. Ce sont les globules blancs de défense. De cette façon, il serait possible de détruire les tumeurs efficacement.

Les lymphocytes ont déjà pour but de détruire les cellules malades, mais pour ce faire, il est nécessaire d’en avoir en grand nombre. Avec ces vaisseaux spécifiques, il serait possible d’en obtenir en quantité suffisante pour combattre la tumeur.

Lorsque les médecins trouvent des lymphocytes dans les tumeurs du cancer du sein, c’est habituellement bon signe déjà, mais en maximisant leur accès, cela pourrait éradiquer les tumeurs.

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Risques de cancer pour certains bébés

Un bébé qui naît avec une anomalie ou dont la mère a déjà eu un enfant mort à la naissance est exposé à un plus grand risque de cancer du cerveau. Des chercheurs viennent de présenter cette découverte dans Pediatrics.

Ce constat semble alarmant, mais les chercheurs soulignent que le risque demeure faible et que le type de cancer est rare. Il s’agit ici d’une tumeur au système nerveux central.

Malgré tout, si dans quelques cas il s’agit d’un syndrome génétique, on en sait encore très peu quant au développement d’un tel cancer chez de nombreux enfants.

Ainsi, chez les enfants atteints d’une tumeur au système nerveux central, 1,2 % d’entre eux présentaient une anomalie de naissance, contre 0,6 % pour les enfants non atteints de ce cancer.

Les risques d’autres types de cancer du cerveau ont aussi été mis en corrélation. D’autre part, si la perte d’un bébé durant la grossesse est liée à des anomalies génétiques, cela pourrait expliquer de plus hauts risques de cancer.