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Le cellulaire serait finalement sans danger

La multiplication des téléphones cellulaires de cette décennie a fait naître des craintes quant au développement d’une tumeur cérébrale, en particulier chez les plus jeunes. On croyait de plus en plus qu’une grande utilisation d’un cellulaire augmentait ce risque.

La raison en est que le système nerveux des enfants est en développement et que leur circonférence crânienne est plus petite. Les plus jeunes seraient donc moins bien protégés des champs électromagnétiques.

Or, aucune étude n’avait jusqu’à présent réellement examiné le possible lien entre le téléphone cellulaire et l’apparition d’une tumeur au cerveau.

C’est maintenant chose faite, comme nous pouvons le lire dans la présente édition du Journal of The National Cancer Institute.

Des chercheurs du Swiss Tropical and Public Health Institute ont démontré que les enfants et adolescents qui utilisent un téléphone cellulaire ne sont pas plus à risque que les autres de souffrir d’un cancer du cerveau.

S’étant étalée de 2004 à 2008, cette étude a porté sur des sujets âgés de 7 à 19 ans. Les données médicales de 352 patients atteints d’un cancer du cerveau ont été comparées à celles de 646 sujets témoins.

Aucune association valable entre le cellulaire et la tumeur cérébrale n’a pu être établie.

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La vie future des jeunes cancéreux

Une étude parue dans le Journal of Clinical Oncology présente un constat inquiétant pour les jeunes survivants du cancer. Menée par le St. Jude Children’s Research Hospital, elle suggère que ces enfants développeront d’autres tumeurs plus tard dans leur vie.

Sur 14 358 sujets ayant eu le cancer à un jeune âge, on a reporté 1 382 nouveaux cas de cancer quelques années plus tard, ce qui revient à 9,6 %. De plus, pour 30 % de ces survivants, 386 auront développé une troisième tumeur.

Dans le cadre de cette étude en particulier, les sujets avaient survécu au moins 23 ans après leur diagnostic de cancer durant l’enfance.

Les chiffres ne sont pas plus encourageants au fil des ans : chez 153 sujets, au moins 4 tumeurs seront apparues. Cette recherche fait donc la lumière non seulement pour les cas de cancer subséquent à l’enfance, mais aussi à la plus grande exposition de ces personnes à diverses formes de la maladie.

On déplore, parallèlement, le manque de suivi hâtif pour les survivants. Par exemple, le test pour le cancer du sein devrait être fait dès l’âge de 25 ans pour les survivants d’un cancer infantile, non pas à 40 ans comme chez les autres femmes.

Mentionnons finalement qu’à l’heure actuelle, aux États-Unis seulement, 360 000 enfants survivent du cancer. Le taux de rémission est de 80 % et l’on prévoit qu’il sera croissant.

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Bientôt un médicament contre tous les cancers

Des chercheurs britanniques de l’Université de Newcastle ont découvert qu’un médicament contre le cancer du sein serait aussi efficace contre de nombreux autres, voire tous les cancers.
 
Selon le Nature Medicine, ce type de pilules utilisé en ce moment contre le cancer du sein cible uniquement la tumeur en la détruisant, mais sans endommager les cellules saines comme le font les traitements de chimiothérapie et radiothérapie.
 
De plus, les effets secondaires comme les nausées et la fatigue seraient moindres.
 
Ce médicament est en fait une famille de pilules, les PARP inhibiteurs, qui affectent la façon dont les cellules cancéreuses arrivent parfois à se réparer. Ainsi, ces médicaments freinent également leur multiplication.
 
Bien que les études à ce sujet n’en sont qu’au tout début du processus, les premiers résultats, obtenus sur des souris, sont particulièrement encourageants et donne une lueur d’espoir que l’on pourra, à l’avenir, créer de nouveaux traitements contre tous les types de cancers.
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Bientôt un vaccin pour combattre le cancer de la prostate?

Des chercheurs britanniques ont mis au point un vaccin qui cible les tumeurs du cancer de la prostate avec un taux de réussite de 80 %.
 
Ce vaccin ne présenterait pas d’effets secondaires et laisserait les tissus sains intacts.
 
Pour le moment, les tests ont été réalisés en laboratoire, notamment sur des souris, mais on espère pouvoir faire quelques essais sur des humains d’ici quelques années.
 
Les chercheurs croient également que le vaccin ne serait pas seulement efficace contre le cancer de la prostate à un stade avancé, mais également pour d’autres cancers mortels comme ceux du sein, des poumons et du pancréas.
 
Contrairement aux autres vaccins donnés à titre préventif, celui-ci est administré une fois que la maladie est déclarée.
 
Le Daily Mail rapporte que des avancées pour des vaccins similaires ont été faites en ce qui concerne le mélanome, la forme la plus agressive de cancer de la peau.

Ce vaccin est une forme de thérapie génétique et il stimule le système immunitaire.

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Diminuer les glucides et augmenter les protéines pour combattre le cancer

Le Cancer Research mentionne qu’une alimentation faible en glucides et riche en protéines diminue les risques de développer un cancer et ralentit la croissance des tumeurs déjà présentes dans le corps.
 
Les résultats obtenus sur des souris de laboratoire sont si probants que les scientifiques croient fermement qu’ils seront les mêmes chez les humains.
 
Les rongeurs ont été divisés en deux groupes. Le premier avait une alimentation occidentale typique avec 55 % de glucides, 23 % de protéines et 22 % de graisses. Le second groupe avait un régime comportant 15 % de glucides, 58 % de protéines et 26 % de graisses.
 
Dans le second groupe, on a constaté qu’il y avait moins de tumeurs.
 
Chez les souris prédisposées au cancer, celles avec le premier régime ont été près de la moitié à développer un cancer du sein dans leur première année et une seule souris a atteint son deuxième anniversaire.
 
Avec le deuxième régime, il n’y a eu aucun cas de cancer dans la première année et près de la moitié ont atteint leur deux ans.

De plus, privilégier l’alimentation pauvre en glucides et riche en protéines permet de mieux maîtriser le taux d’obésité.

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Nouvel espoir contre le cancer du tube digestif

Les personnes avec des tumeurs du tube digestif voient poindre un nouvel espoir grâce à des chercheurs français. La Parisienne rapporte qu’ils ont découvert un marqueur qui permettrait des soins plus rapides aux personnes atteintes de GIST ou tumeurs stromales gastro-intestinales.
 
Les GIST peuvent se soigner avec un inhibiteur nommé imatinib, qui fait régresser ou qui stabilise les tumeurs dans 60 % des cas.
 
Toutefois, certaines personnes ont, à la surface de leurs cellules immunitaires lymphocytes NK, un marqueur spécifique, le NKp30c, qui résiste aux traitement en raison de la sécrétion de la protéine Interleukine-10.
 
Chez les personnes avec les variantes NKp30a et NKp30b, on n’observe pas cette réaction.
 
Ainsi, avec la variante « c », les chercheurs pourraient prédire la réponse aux traitements et augmenter ainsi le taux de survie des patients.
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Manger du cresson quotidiennement aide à prévenir le cancer du sein

Manger du cresson tous les jours pourrait aider à prévenir le cancer du sein, rapporte le Daily Mail.
 
Identifié comme un super aliment, le cresson « désactiverait » le signal du corps qui contribue à alimenter la tumeur en sang et en oxygène, deux éléments essentiels à sa croissance.
 
Selon les experts de l’Université de Southampton, le composé du cresson, le phényléthyle isothiocyanate (PEITC), qui donne son goût poivré à la feuille de salade, interfère avec la fonction de la protéine qui joue un rôle essentiel dans le développement du cancer.
 
Des volontaires ont mangé 80 grammes de cresson tous les jours, soit l’équivalent d’un bol de céréales. On a constaté que le cresson était effectivement un allié efficace contre la croissance du cancer du sein.
 
Le cresson est l’aliment le plus riche en PEITC. C’est le composé qui freine le plus les tumeurs.
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Les champs magnétiques de causent pas de cancer chez les enfants

Depuis 1979, on étudie les effets des champs magnétiques sur la santé. L’équipe du Dr Kheifets Leeka de l’Université de la Californie vient de compléter une méta-analyse en se basant sur diverses études et données statistiques.
 
Ils en concluent que l’exposition aux extrêmes basses fréquences des champs magnétiques (ELF-MFS) émis par les lignes électriques n’augmente pas les risques de tumeurs cérébrales chez les enfants.
 
Le lien possible entre les tumeurs et les champs magnétiques serait très minime, disent les auteurs des travaux. Selon l’American Journal of Epidemiology, malgré le nombre de cas de tumeurs diagnostiqués (8 400 enfants de moins de 15 ans) entre 1960 et 2001, cela ne serait pas en lien avec les ELF-MFS. Les chercheurs n’ont établi aucune association cohérente.
 
Toutefois, il est vrai que nous vivons encore dans l’incertitude. On recommande de créer de nouvelles lignes électriques qui diminueraient l’exposition, mais aussi de préconiser quelques gestes faciles à adopter au quotidien. Par exemple, si votre enfant dort avec un réveil matin à la tête de son lit, placez ce réveil à quelques mètres plutôt, il sera moins près de votre enfant.
 
Il n’y a toutefois pas lieu de s’inquiéter ou de déménager si vous demeurez à proximité de lignes électriques, vos enfants ne courent pas plus de danger que les autres.
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Une protéine joue un rôle dans la gravité du cancer du sein

Le Science Translational Medicine nous apprend que la protéine ferroportin, qui transporte le fer dans l’organisme, pourrait non seulement ralentir la croissance de tumeurs cancéreuses, mais aussi prédire les chances de survie d’une patiente.
 
Une équipe de l’Université Wake Forest, en Caroline du Nord, a découvert qu’un bas niveau de ferroportin augmente la gravité du cancer du sein. Une carence de la protéine augmente le fer qui, lui, contribue à la croissance des tumeurs cancéreuses, augmentant ainsi l’agressivité de ces dernières.
 
On a tenté de ramener la protéine à un niveau normal sur des souris et on a constaté que les tumeurs se développaient beaucoup moins rapidement. La protéine ferroportin aurait donc une influence non négligeable sur le cancer du sein.
 
De plus, après avoir analysé 800 cas de cancer du sein, on observe aussi qu’un faible niveau de ferroportin signifie bien souvent que la survie de la patiente est compromise, alors qu’un niveau élevé dénote 90 % de chances de survivre à long terme.
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L’huile d’olive prévient le cancer du sein

En voulant savoir pourquoi les personnes adoptant un régime alimentaire riche en huile d’olive avaient moins de cancer, des chercheurs espagnols de l’Université Autònoma de Barcelone ont découvert que l’huile d’olive était particulièrement efficace contre le cancer du sein.
 
En fait, il ne suffirait que d’un filet d’huile par jour pour que cela soit efficace. L’huile attaque sur plusieurs fronts les tumeurs et retarde leur croissance, forçant la destruction des cellules. De plus, elle protège des dommages potentiellement cancéreux sur l’ADN.
 
Après avoir fait des expériences sur des rats, les chercheurs ont constaté que l’huile déjoue un gène qui favorise la croissance des tumeurs au sein. De plus, l’huile d’olive freine aussi un gène à l’origine du durcissement des artères et des maladies cardiaques.
 
Ce n’est pas la première fois que l’on prône les bienfaits d’un régime méditerranéen, qui contient beaucoup d’huile d’olive notamment. Ce type de régime faible en viande rouge et en produits laitiers a des effets préventifs sur les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’Alzheimer et le Parkinson.