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Le secret derrière les cellules cancéreuses

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans la revue médicale Cancer Cell, laisse entrevoir une lueur d’espoir aux patientes ayant eu un cancer du sein et qui sont suivies pour la récidive de la maladie.

Les travaux menés par le Dr Joan Massagué, du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center aux États-Unis, lui ont permis de découvrir un enzyme, nommé Src, associé aux cellules métastatiques qui ont un meilleur taux de survie, même après avoir retiré la tumeur du sein.

Cette découverte de l’enzyme Src suggère une meilleure compréhension de la propagation du cancer du sein et les chercheurs liés à cette étude espèrent maintenant se concentrer sur un médicament qui agirait sur l’enzyme.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Association entre le cancer et la dépression

Une recherche menée sur des rats et publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences a prouvé que la dépression chez les cancéreux pourrait être causée par la tumeur elle-même, et non par une réaction liée au stress provoqué par la maladie.

Selon le U.S. National Cancer Institute, environ 15 à 20 % des patients ayant reçu un diagnostic de cancer présentent des symptômes liés aux troubles dépressifs.

Les scientifiques ont remarqué que les rongeurs avec un cancer étaient moins motivés à s’échapper lorsqu’on les faisait nager. Ils refusaient également de boire de l’eau sucrée, une friandise qu’ils apprécient généralement.

De plus, l’équipe du Dr Brian Prendergast, de l’Université de Chicago, a découvert que ces rats présentaient un taux plus élevé de corticostérone, une hormone de stress.

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Un gène associé au cancer de la peau

Des chercheurs oeuvrant pour l’Institut de recherche sur le cancer de l’Angleterre affirment que plus de 70 % des mélanomes sont dus à une mutation génétique qui rend cancéreuses les cellules après une exposition aux rayons du soleil.

Les scientifiques ont remarqué que les patients souffrant de la forme la plus maligne de ce cancer de la peau présentaient un gène, appelé BRAF, qui était endommagé.

« Notre étude montre que le gène BRAF endommagé est le premier pas vers le cancer de la peau. Mieux comprendre ce phénomène nous aidera à développer de meilleurs traitements contre la maladie », a mentionné l’auteur principal, le Dr Richard Marais.

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Le thé trop chaud… dangereux?

Des chercheurs associés à l’Université de Téhéran, en Iran, recommandent de laisser refroidir le thé avant de le boire puisque si la chaleur est trop intense, le risque de cancer de la gorge augmente.

Selon l’auteur principal, le Dr Reza Malekzadeh, boire du thé ayant une température de 70 degrés Celsius fait multiplier par huit l’incidence de ce type de cancer. Le chercheur recommande plutôt d’ingérer la boisson à 65 degrés afin que ce soit sans danger.

Le scientifique a comparé le risque chez 300 adultes souffrant de cancer et 571 autres en bonne santé, tous originaires de la province de Golestan en Iran, là où le taux de cancer de la gorge est très élevé.

Chaque année, on évalue que 500 000 décès dans le monde sont causés par ce type de cancer, dont le taux de survie après cinq ans est de 12 à 31 %.

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L’occupation et le lymphome non hodgkinien

Des données, publiées dans la revue Occupational and Environmental Medicine, nous apprennent qu’il y a plus de diagnostics de lymphome non hodgkinien chez les personnes qui travaillent dans les secteurs de l’imprimerie, de l’agriculture, de la tannerie et du médical.

À l’opposé, certaines fonctions, comme journaliste ou acheteur, semblent diminuer le risque de la maladie.

Selon la Dre Maryjean Schenk, de l’Université Wayne State à Détroit, ce n’est pas tant le type de profession qui fait augmenter l’incidence de cette forme de cancer, mais plutôt l’exposition à certains produits chimiques dans le cadre du travail.

Mme Schenk a comparé le risque de lymphome non hodgkinien auprès de plus de 2 000 sujets, âgés de 20 à 74 ans, en fonction de leur emploi. Il reste maintenant à se pencher davantage sur les secteurs d’activité et, surtout, le type de produits chimiques qui pourraient avoir des effets sur le lymphome non hodgkinien.

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La coloration capillaire sans risque

Des chercheurs, associés au U.S. National Cancer Institute aux États-Unis, prétendent que les femmes qui ont utilisé des colorants capillaires pendant des décennies ne sont pas plus à risque de développer un myélome, forme de tumeur composée de cellules de la moelle osseuse dont elle provient.

Depuis les années 80, plusieurs recherches laissaient entendre que les produits chimiques contenus dans ces produits capillaires étaient nocifs au point d’augmenter l’incidence de certains types de cancer.

Cette nouvelle recherche, menée auprès de 175 femmes atteintes de myélome et 679 autres en bonne santé, a réussi à prouver le contraire. Le risque de myélome ne peut être attribué à l’usage de colorants capillaires, peu importe le type de produits.

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Des fruits et légumes contre le cancer

Une recherche, publiée dans le Journal of Clinical Oncology, nous apprend que le risque de récidive du cancer du sein chute du tiers lorsque l’alimentation des patientes est riche en fruits et en légumes.

Ce sont toutefois uniquement les femmes qui souffrent de bouffées de chaleur à la suite de leur chimiothérapie qui sont touchées par cette découverte, a précisé l’une des auteurs de cette étude, la Dre Ellen B. Gold de l’Université de la Californie.

Ce phénomène s’explique par le fait que 5 portions quotidiennes et plus de fruits et légumes diminuent le taux d’oestrogène dans l’organisme, alors que cette hormone augmente le risque de cancer du sein.

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Un nouveau traitement contre le mélanome ?

Dans le cadre du colloque organisé par l’American Society of Clinical Oncology, les premiers résultats des tests cliniques sur l’ipilimumab sont dévoilés. Cette immunothérapie expérimentale du cancer améliore le taux de survie des patients atteints d’un mélanome métastatique.

« Les données des études sur l’ipilimumab sont importantes, car les chercheurs ont pu observer une amélioration du taux de survie d’un an. Historiquement, seulement de 25 à 30 % des patients atteints d’un mélanome métastatique sont vivants un an après le diagnostic. Ipilimumab a la capacité d’accroître la réponse immunitaire contre les tumeurs, qui est vitale dans le cas du mélanome, puisque ce genre de traitements peut être associé avec des rémissions de longue durée. Avec ipilimumab, le système immunitaire est mieux équipé pour combattre le cancer de façon énergique », a souligné le Dr Michael Smylie du Cross Cancer Institute, en Alberta.

Ce type de cancer se caractérise par une croissance non contrôlée des cellules responsables de la pigmentation situées dans la peau.

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Le Vectibix a l’aval de Santé Canada

Le ministère fédéral de la Santé vient de donner son accord conditionnel au médicament Vectibix, ou panitumumab, qui traite le cancer colorectal métastatique, une forme de cancer foudroyant qui continue de progresser même après des traitements de chimiothérapie.

Seul bémol, ce nouveau médicament n’agit pas sur les patients chez qui on observe une mutation du gène KRAS.

Fabriqué par Amgen Canada, le Vectibix est le premier anticorps monoclonal entièrement humain destiné au traitement du cancer colorectal. Il offre l’avantage d’être beaucoup moins douloureux que la chimiothérapie traditionnelle et sera probablement offert à l’été 2008 aux Canadiens.

Au pays, environ 21 500 adultes recevront un diagnostic de cancer colorectal cette année. De ce nombre, 8 900 perdront le combat contre la maladie, qui se propage en métastases dans d’autres parties du corps dans 50 % des cas.