Selon la Dre Hazel B. Nichols et son équipe de l’Université du Wisconsin aux États-Unis, les femmes qui ont été allaitées par leur mère dans leur enfance voient leur risque de souffrir d’un cancer du sein, une fois adultes, chuter de 17 %, comparativement à celles qui n’ont pas été allaitées.
Par contre, ce phénomène n’a pas été observé parmi les participantes qui étaient les aînées de leur famille. Les chercheurs avancent l’hypothèse que le rang familial sert à prédire le taux de contaminations environnementales dans le lait maternel.
La Dre Nichols suggère que d’autres études sur le sujet soient menées afin de prouver que l’allaitement maternel réduit le risque de cancer du sein.