Catégories
Uncategorized

L’allaitement diminue le risque de cancer

Selon la Dre Hazel B. Nichols et son équipe de l’Université du Wisconsin aux États-Unis, les femmes qui ont été allaitées par leur mère dans leur enfance voient leur risque de souffrir d’un cancer du sein, une fois adultes, chuter de 17 %, comparativement à celles qui n’ont pas été allaitées.

Par contre, ce phénomène n’a pas été observé parmi les participantes qui étaient les aînées de leur famille. Les chercheurs avancent l’hypothèse que le rang familial sert à prédire le taux de contaminations environnementales dans le lait maternel.

La Dre Nichols suggère que d’autres études sur le sujet soient menées afin de prouver que l’allaitement maternel réduit le risque de cancer du sein.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle découverte sur les cellules cancéreuses

Les recherches menées conjointement par des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, et de l’Université de Toronto ont permis une découverte en matière de cancer.

En effet, ils ont observé que les cellules cancéreuses produisent des vésicules qui contiennent des protéines causant la maladie. Ces microbulles atteignent les cellules saines et réussissent à fusionner avec elles, ce qui explique la prolifération du cancer à l’intérieur de l’organisme.

Selon les scientifiques, cette percée médicale pourrait mener à des innovations cliniques majeures.

Catégories
Uncategorized

Un gène pour expliquer le cancer du poumon

Trois recherches publiées récemment dans les revues Nature et Nature Genetics lèvent le mystère sur les variations génétiques du chromosome 15. Ces variations pourraient rendre les fumeurs encore plus dépendants du tabac et, conséquemment, plus à risque de souffrir d’un cancer du poumon.

Cette découverte pourrait expliquer pourquoi certaines personnes fumant beaucoup sont épargnées par ce type de cancer, comme le confirme le Dr Lesley Walker : « Le tabac est responsable de 9 cancers du poumon sur 10, mais ces recherches montrent que certains fumeurs ont un plus grand risque encore d’avoir un cancer du poumon à cause de leur profil génétique. »

Les chercheurs évaluent qu’un fumeur sur dix touché par cette variation génétique a deux fois plus de risques de développer un cancer du poumon que les personnes dont le chromosome 15 est intact.

Catégories
Uncategorized

L’imagerie moléculaire se perfectionne

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Stanford ont développé un nouveau procédé, inspiré de la spectroscopie Raman, qui permet d’observer des images 1000 fois plus petites que ce que permettent les méthodes actuelles.

Cette percée médicale va permettre de détecter plus rapidement des tumeurs quasi imperceptibles.

Le procédé perfectionné par l’équipe du professeur Sanjiv Sam Gambhir consiste à injecter des nanoparticules dans le corps des sujets. Des faisceaux lumineux sont ensuite émis, permettant de capter les signaux émis par les particules et de les mesurer et les convertir en marqueur dans le corps.

Cette méthode bon marché et efficace a été testée sur des souris. Des essais cliniques devraient avoir lieu sur des humains afin de diagnostiquer le cancer du côlon à un stade peu avancé.

Catégories
Uncategorized

Une autre vertu du sirop d’érable

Après le soya, le thé vert et le chocolat, c’est maintenant au tour du sirop d’érable de contenir des antioxydants.

« Une portion de 60 ml de sirop d’érable possède une capacité antioxydante modérée, comparable à celle d’une portion de brocoli ou d’une banane », a expliqué la diététiste Marie Breton.

Selon elle, le sirop d’érable est meilleur que les autres agents sucrants courants (sucre blanc, cassonade, miel, sirop de maïs), puisqu’il contient aussi du manganèse, du zinc, du magnésium, du calcium, du potassium et de la riboflavine.

Deux études sur le sirop d’érable démontrent que ce dernier possède des vertus antioxydantes et anti-inflammatoires grâce à son contenu élevé en composés phénoliques, ce qui protège contre le développement des tumeurs.

Catégories
Uncategorized

Le téléphone cellulaire sans risque

Selon une recherche publiée sur le site Internet du British Journal of Cancer, les personnes qui utilisent fréquemment leur téléphone cellulaire, à raison d’une fois par semaine pendant six mois, ne courent pas davantage de risques d’être frappées par le cancer du cerveau.

Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont analysé les niveaux de radiation dans différentes parties du cerveau chez 683 personnes en bonne santé et 322 sujets atteints de tumeur cérébrale. Ces derniers étaient répartis en trois groupes de cancer différents : gliomes, méningiomes et adénomes.

Le professeur Naohito Yamaguchi, de l’Université médicale pour femmes de Tokyo, et son équipe ont ensuite analysé les radiations de 76 types de téléphones portables et leurs effets sur les différentes parties du cerveau, pour ensuite conclure qu’il n’y a aucune relation significative entre l’usage du téléphone mobile et le cancer.

Catégories
Uncategorized

Vers un dépistage plus rapide des mélanomes

Une découverte médicale réalisée par l’École de médecine de l’Université Harvard a permis d’identifier des cellules souches qui favorisent le développement des mélanomes, une tumeur maligne caractérisée par des taches brunes et noires sur la peau.

La présence du marqueur ABCB5 caractérise ces cellules à l’origine de ce type de cancer de la peau et qui représentent 1,6 à 20 % des cellules chez les souris analysées.

L’équipe du docteur Markus Frank explique aussi pourquoi ces cellules souches, également responsables de la progression rapide de la maladie, résistent à la chimiothérapie.

Grâce à cette découverte, les scientifiques espèrent détecter plus rapidement cette tumeur maligne et empêcher sa croissance fulgurante.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans le magazine Nature

Catégories
Uncategorized

Un médicament contre les tumeurs infantiles

C’est lors d’expériences en laboratoire que des scientifiques de l’Université du Manchester ont découvert l’efficacité du médicament le RH1 dans le traitement de trois types de cancer infantile.

Le médicament aurait des aptitudes à détruire les cellules des tumeurs dans les cas de neuroblastome (cancer du système nerveux sympathique), d’ostéosarcomes et de sarcome d’Ewing (des cancers de tissus osseux) chez les enfants.

Ces types de cancer infantile sont reconnus pour être extrêmement difficiles à supprimer, vu leur résistance aux traitements actuels.

L’étude a démontré que 50 % des cellules de ces cancers se détruisaient entre elles lors de traitement par le RH1.

Selon le docteur Bruce Morland, du Children’s Cancer and Leukaemia Group, plusieurs enfants deviennent résistants à leurs médicaments et auraient besoin de nouvelles options.

Des études plus complexes devront être faites pour prouver l’efficacité de ce médicament dans la lutte contre les cancers infantiles.