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Un chien est retrouvé vivant 23 jours après le séisme en Turquie.

Capture d'écran

Un chien a été retrouvé vivant après avoir passé 23 jours dans les ruines d’Antakya à la suite du séisme qui a dévasté cette ville du sud de la Turquie.

C’est jeudi que la presse locale a rapporté l’histoire d’Aleks, un chien aux yeux clairs qui était retenu prisonnier des plaques de béton depuis 23 jours.

Dans les images du sauvetage qui ont été diffusées par l’agence de presse turque DHA, on peut constater qu’Aleks a été piégé à l’intérieur d’un trou qui s’est formé en raison de la secousse de magnitude 7,8 survenue le 6 février peu après 4 h.

Le chien a été retrouvé grâce à son propriétaire, Murat Arici, qui a entendu le pauvre animal se plaindre. M. Arici a informé des secouristes qui ont été envoyés par la municipalité de Konya.

Aleks a été confié à une association de protection des animaux (Haytap) qui s’est assurée de bien l’examiner avant de le retourner à son propriétaire.

Au cours des dernières semaines, des centaines de chats, chiens, oiseaux, lapins et même des vaches et des moutons ont été secourus alors qu’ils étaient piégés dans les immeubles en ruines du sud de la Turquie.

Les recherches de survivants ont été suspendues dans neuf des 11 provinces touchées par le séisme, à l’exception de celles de Hatay et Kahramanmaras.

Les derniers survivants ont été trouvés le 18 février dernier à Antakya. Il s’agissait d’un couple.
Rappelons que le séisme qui a frappé la Turquie a fait plus de 45 000 morts et plus de 5000 autres en Syrie voisine.

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Actualité

Syrie: Un bébé est né sous les décombres du tremblement de terre

Un bébé, une petite fille qui a été prénommée Aya, est né sous les décombres d’une maison détruite par un tremblement de terre de magnitude 7,8, qui s’est présenté en Syrie et en Turquie plutôt cette semaine.

La mère, du nom d’Abu Hadiya, et son bébé qui était accroché à elle par le cordon ombilical, a été retrouvée à travers des morceaux de béton et de métal détruit un peu plus de dix heures à la suite du séisme.

Malheureusement, la mère était décédée lorsque les sauveteurs ont trouvé la famille, le nouveau-né et tout le restant de la famille. Le père du bébé et les quatre autres enfants de la maison étaient également morts sous les débris.

Une heure de plus, et elle serait morte, selon les docteurs…

Le miracle, évidemment, c’est que le bébé a survécu, étant emmené aussitôt à l’hôpital pour subir des soins, et où les médecins l’ont baptisé Aya (ce qui signifie «un signe de Dieu» en Arabe).

Puisqu’Aya était orpheline, elle a été adoptée par son grand-oncle, Salah al Badran, qui l’amènera chez lui dès qu’elle quittera l’hôpital.

Dans la vidéo qui circule depuis ce tragique événement, on peut voir les sauveteurs transporter le bébé, toujours vivant, rappelons-le.

https://twitter.com/srvbluesrock/status/1622787530193084416
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Potins

Julianne Moore congédiée d’une campagne publicitaire

Apparemment, les autorités turques estiment que Julianne Moore n’est pas assez bonne actrice pour être en vedette dans l’une de leurs campagnes publicitaires.

Selon E!, qui rapporte une nouvelle publiée dans le Hürriyet Daily News, Julianne Moore aurait été coupée d’une campagne de publicité pour le tourisme turc, à cause de son « mauvais jeu ».

Celle qui vient pourtant de remporter un Oscar pour sa performance dans Still Alice venait de tourner un film promotionnel à Los Angeles pour parler de ses voyages de jeunesse en Turquie avec sa famille.

Le ministre de la Culture et du Tourisme turc aurait demandé que l’on reprenne le tournage, ce qu’aurait refusé Julianne Moore.

Selon une source turque, plusieurs personnalités connues de Turquie auraient désapprouvé le choix de Julianne Moore dès le départ, notamment à cause de sa « personnalité dépressive ».

Le bureau du ministre turc affirme par ailleurs que, de toute façon, « plus de 30 films similaires avec d’autres acteurs ont été réalisés ».

Une bien drôle d’histoire qui n’a de victime que la compagnie embauchée pour la campagne, qui assumerait des pertes de 1,5 million de dollars à la suite de ce refus pour le moins étrange.

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Potins

Kate Moss ivre et sans billet en plein aéroport

Kate Moss l’échappe une fois de plus et se retrouve au cœur d’une histoire aussi triste qu’hilarante, alors que la mannequin de 40 ans, visiblement en état d’ébriété, a tenté d’embarquer dans un avion sans posséder de billet.

Le plus déconcertant de l’affaire, c’est que selon ce que rapporte MailOnline et BANG Media International, Kate Moss revenait tout juste d’une cure à LifeCo. Peu de temps après, la belle s’est donc retrouvée en plein aéroport et aurait tenté de procéder à l’embarquement d’un avion pour Londres. Plus étonnant encore, Moss y serait parvenu.

« Le consensus était qu’elle n’avait pas de billet, mais après avoir discuté avec le gérant pendant un bon moment, elle a été placée sur un vol. Il était pas mal évident que Kate avait bu, et elle parlait fort. Elle ne semblait pas se soucier qu’on la remarque », explique une source que l’on dit présente sur la scène.

Une fois en vol, qui aurait été repoussé de plus de deux heures avant le décollage de l’avion, Kate Moss aurait discuté avec les passagers et n’aurait pas semblé être dérangée par le délai.

Quelques passagers ont d’ailleurs pris Twitter d’assaut pour partager leur expérience. « Je viens de sortir d’un vol avec une Kate Moss très saoule », pouvait-on lire sur le profil de l’un d’entre eux.

L’histoire se termine donc sans heurts et s’inscrit dans la lignée des aventures du genre dont seule Kate Moss a le secret, même si la mannequin s’est tout de même assagie avec le temps.

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Kate Moss ivre et sans billet en plein aéroport

Kate Moss l’échappe une fois de plus et se retrouve au cœur d’une histoire aussi triste qu’hilarante, alors que la mannequin de 40 ans, visiblement en état d’ébriété, a tenté d’embarquer dans un avion sans posséder de billet.

Le plus déconcertant de l’affaire, c’est que selon ce que rapporte MailOnline et BANG Media International, Kate Moss revenait tout juste d’une cure à LifeCo. Peu de temps après, la belle s’est donc retrouvée en plein aéroport et aurait tenté de procéder à l’embarquement d’un avion pour Londres. Plus étonnant encore, Moss y serait parvenu.

« Le consensus était qu’elle n’avait pas de billet, mais après avoir discuté avec le gérant pendant un bon moment, elle a été placée sur un vol. Il était pas mal évident que Kate avait bu, et elle parlait fort. Elle ne semblait pas se soucier qu’on la remarque », explique une source que l’on dit présente sur la scène.

Une fois en vol, qui aurait été repoussé de plus de deux heures avant le décollage de l’avion, Kate Moss aurait discuté avec les passagers et n’aurait pas semblé être dérangée par le délai.

Quelques passagers ont d’ailleurs pris Twitter d’assaut pour partager leur expérience. « Je viens de sortir d’un vol avec une Kate Moss très saoule », pouvait-on lire sur le profil de l’un d’entre eux.

L’histoire se termine donc sans heurts et s’inscrit dans la lignée des aventures du genre dont seule Kate Moss a le secret, même si la mannequin s’est tout de même assagie avec le temps.

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Nouvelles quotidiennes

La Turquie ouvre Marmaray, un premier tunnel entre l’Asie et l’Europe sous le Bosphore

Les dirigeants turcs ont inauguré mardi (29 octobre) à Istanbul un premier tunnel ferroviaire sous le Bosphore, le Marmaray, un des mégaprojets urbains contestés du premier ministre islamoconservateur turc, Recep Tayyip Erdogan.

Baptisé le « chantier du siècle » par les autorités turques, le Marmaray, un tunnel de 14 km, dont une portion immergée de 1400 m, relie désormais en quatre minutes seulement les deux continents séparés par le détroit du Bosphore.

« Marmaray qui était un rêve pendant 150 ans est finalement devenu réalité », a déclaré M. Erdogan lors d’une longue cérémonie officielle devant une foule compacte de plusieurs milliers de stambouliotes venus l’acclamer sur la place d’Üsküdar, située sur la partie asiatique d’Istanbul.

L’inauguration en grande pompe du projet d’un coût estimé à 3 milliards d’euros a eu lieu le jour anniversaire de la fondation de la République turque, en 1923.

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Nouvelles quotidiennes

La Turquie décidée à poursuivre son ascension touristique

Malgré un été difficile, les efforts du ministère du Tourisme et de la Culture turc doivent permettre l’accueil de près de 50 millions de visiteurs d’ici 2018.

Même si les experts s’accordent pour dire que la Turquie est la grande perdante de l’été 2013 en raison des manifestations qui ont secoué le pays en juin, elle n’en reste pas moins une destination d’avenir, et non des moindres. Celle qui se classe à la 17e position des puissances mondiales envisage de rejoindre le top 10 d’ici 2023, à l’occasion du 100e anniversaire de sa république. Pour y parvenir, tous les secteurs de l’économie sont mis à contribution, dont celui du tourisme.

L’activité a rapporté 23,4 milliards de dollars américains en 2012, et l’objectif est d’atteindre 45 milliards de dollars à l’horizon de 2018, d’après un communiqué du ministère de l’Investissement et de la Coopération internationale. Quant au premier semestre de 2013, il est resté plus qu’encourageant : le tourisme a enregistré 6,9 millions de dollars de recettes, soit une augmentation de 28,4 % par rapport à l’an passé pour la même période.

Le développement des infrastructures

Pour se positionner parmi les leaders, la Turquie poursuit son développement sur un pas cadencé. Si en 1970, elle comptait à peine plus de 28 000 lits pour 292 établissements homologués par le ministère du Tourisme et de la Culture, en 2012, 2 870 hébergements regroupaient 706 019 lits. À cela s’ajoutent les licences pour l’investissement délivrées à 960 établissements, rien qu’en 2012.

Les grands groupes hôteliers ne s’y sont pas trompés et améliorent leur implantation dans le pays, à l’instar du Carlson Rezidor, qui a annoncé au début d’août l’ouverture d’un quatrième hôtel à Istanbul sous l’étiquette Radisson Blu. Cent trente chambres supplémentaires voient donc le jour dans le quartier de Pera (Beyoglu) Taksim, réputé pour ses boutiques, ses restaurants et sa vie nocturne. Désormais, le groupe dispose de 7 hôtels et de 1 500 chambres sur l’ensemble du territoire.

Le pays met toutes les chances de son côté pour prendre du galon : construction de la plus grande mosquée du monde à Istanbul, lancement d’un troisième aéroport, où seront attendus 150 millions de passagers par an, chantier d’un canal reliant la mer Noire à celle de Marmara, etc.

Ces projets ont comme vocation d’attirer de nouveaux visiteurs (la Turquie se met en tête d’accueillir 48,5 millions de touristes en 2018, contre 31,8 millions en 2012), mais aussi à montrer que le pays est le candidat idéal pour les Jeux olympiques de 2020 face à Madrid et Tokyo.

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Nouvelles quotidiennes

L’Istanbul Shopping Fest fête ses 3 ans

En juin prochain, à l’occasion de l’Istanbul Shopping Fest, l’ancienne Constantinople deviendra la capitale mondiale de la mode le temps de 3 semaines. En effet, du 8 au 30 juin, le festival de shopping turc fêtera son 3e anniversaire.
 
Pour l’évènement, de nombreuses animations sont prévues dans une dizaine de temples symboliques de la consommation stambouliote, exceptionnellement ouverts jusqu’à 2 heures du matin.
 
En cette année 2013, les couleurs de la mégalopole turque seront mises à l’honneur, soit le bleu, le blanc, le violet et le vert.
 
D’après Le Routard, des personnalités ont également été conviées à l’évènement. Leur identité n’a toutefois pas encore été dévoilée.
 
Cette année, une des nouveautés de l’Istanbul Shopping Fest est la carte prépayée ISF. Elle permet aux touristes de bénéficier de réductions en dehors de la période de solde et supprime également l’obligation de transporter de l’argent liquide. En effet, à Istanbul, il est obligatoire de toujours avoir de l’argent sur soi lors de ses déplacements. Cette carte, utilisable partout dans le monde, est rechargeable grâce à des kiosques disposés dans les aéroports et les centres commerciaux.
 
Accro au shopping? Istanbul vous attend…
 
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Le tourisme pileux en Turquie

La Turquie accueille de plus en plus de touristes à la recherche d’une moustache plus imposante. En effet, le Courrier International rapporte que dans la culture arabe en particulier, la moustache est un signe très important de virilité, de puissance et de charisme.

Les hommes imberbes viennent apparemment de plusieurs pays du Moyen-Orient, entre autres l’Égypte, les Émirats, l’Iran, l’Irak, l’Afrique du Nord, et même de l’Europe, pour subir cette intervention.

Le chirurgien Selahattin Tulunay affirme ainsi faire de 50 à 60 implantations de moustache ou de barbe par mois. Celui-ci prélève des poils ailleurs sur le corps, par exemple sur le cuir chevelu, et les transpose sur le visage. L’opération coûte autour de 2300 $.

Le chirurgien a expliqué qu’il a signé des ententes avec des agences de voyages situées à Dubaï et en Irak. Cela permet aux familles de prendre des vacances et de visiter ce beau pays pendant que l’homme subit sa procédure capillaire.

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L’hiver en Turquie, un merveilleux spectacle

La Turquie est bien connue des touristes expérimentés et aventureux, mais moins du voyageur moyen, qui ira plus naturellement vers des destinations soleil plus conventionnelles.

C’est souvent une erreur, car tant d’endroits sur la planète sont à voir et offrent des paysages à couper le souffle. C’est le cas de la Turquie, dont les paysages tout droit sortis d’une fresque rendent pantois.

C’est que l’érosion et les activités volcaniques du pays ont sculpté naturellement cette région, absolument magnifique. Et ce serait encore plus éblouissant lors de la saison hivernale, avance www.tourmagazine.fr, alors que la Turquie prend des airs étranges et fascinants.

Qualifiés de « lunaires » par le site, les paysages turcs d’hiver sont accompagnés d’une température que nous, gens nordiques, pourrions considérer de « chaud », atteignant parfois les 15 degrés. De plus, la brume caractéristique de l’endroit disparait durant l’hiver, laissant toute la place aux décors et au ravissement des yeux.

Vous pourrez découvrir des plats locaux, comme le Testi Kebab, faits par les gens du coin! De nombreux circuits touristiques organisés sont offerts, que ce soit pour une randonnée en montagne, visiter les fresques et églises historiques ou encore une croisière près d’Istanbul.

Vraiment, une destination de choix et peu connue pour les voyageurs hivernaux.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net