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Tom Hanks apprend qu’il est diabétique

L’acteur de 57 ans, Tom Hanks, combat cependant les symptômes depuis qu’il a 36 ans. Ce n’est que 20 ans plus tard qu’un médecin lui confirme qu’il est diabétique.

Pendant l’émission Late Show de David Letterman, Hanks a expliqué : « Je suis allé chez le médecin et il m’a dit “Tu sais, tous ces chiffres élevés dans ton sang avec lesquels tu vis depuis que tu as 36 ans? Félicitations, te voilà avec le diabète de type 2 jeune homme” ».

Il faut croire que le médecin de la star a beaucoup d’humour, puisque ce dernier, selon ce que raconte Hanks, lui a dit que la seule façon d’éliminer cette condition était « de retrouver le poids de tes années de collège ».

Ce à quoi Tom Hanks a répondu : « Eh bien, je serai diabétique alors! » Ce type de diabète se contrôle avec de bonnes habitudes de vie et un régime alimentaire adapté, ainsi qu’avec la médication appropriée.

Dès le 20 novembre, la star incarnera un capitaine de bateau pris en otage par des pirates somaliens dans Captain Philips.

D’autres projets sont dans sa mire, à titre de réalisateur. Il travaillera en compagnie du renommé Gary Goetzman (The Silence of the LambsPhiladelphia) sur plus d’une dizaine de réalisations, dont The Ocean at the End of the LaneTalk of the Town et Summer Hours.

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Tom Hanks apprend qu’il est diabétique

L’acteur de 57 ans, Tom Hanks, combat cependant les symptômes depuis qu’il a 36 ans. Ce n’est que 20 ans plus tard qu’un médecin lui confirme qu’il est diabétique.

Pendant l’émission Late Show de David Letterman, Hanks a expliqué : « Je suis allé chez le médecin et il m’a dit “Tu sais, tous ces chiffres élevés dans ton sang avec lesquels tu vis depuis que tu as 36 ans? Félicitations, te voilà avec le diabète de type 2 jeune homme” ».

Il faut croire que le médecin de la star a beaucoup d’humour, puisque ce dernier, selon ce que raconte Hanks, lui a dit que la seule façon d’éliminer cette condition était « de retrouver le poids de tes années de collège ».

Ce à quoi Tom Hanks a répondu : « Eh bien, je serai diabétique alors! » Ce type de diabète se contrôle avec de bonnes habitudes de vie et un régime alimentaire adapté, ainsi qu’avec la médication appropriée.

Dès le 20 novembre, la star incarnera un capitaine de bateau pris en otage par des pirates somaliens dans Captain Philips.

D’autres projets sont dans sa mire, à titre de réalisateur. Il travaillera en compagnie du renommé Gary Goetzman (The Silence of the LambsPhiladelphia) sur plus d’une dizaine de réalisations, dont The Ocean at the End of the LaneTalk of the Town et Summer Hours.

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Le diabète gestationnel plus dangereux qu’on ne le croit

En fait, du 18 % de femmes qui développent du diabète gestationnel, le tiers reçoit un diagnostic de prédiabète ou de diabète de type 2 après l’accouchement.

Aussi, la moitié des femmes ayant un diabète gestationnel développeront leur diabète dans les dix ou vingt ans suivant l’accouchement, selon le National Diabetes Education Program.

L’organisme suggère aux fournisseurs de soins de tester les femmes qui ont eu un diabète gestationnel les sixièmes et douzièmes semaines après avoir accouché. Si rien ne cloche, ils recommandent tout de même qu’un test soit fait tous les trois ans après l’accouchement.

De plus, ils suggèrent aux femmes de surveiller attentivement leur état de santé, puisque le diabète peut causer la cécité, l’amputation, les accidents vasculaires cérébraux et même mener jusqu’au décès de la personne atteinte.

Rappelons que les bébés nés de femmes atteintes par le diabète sont plus susceptibles d’avoir une malformation congénitale majeure. Les mères diabétiques sont presque quatre fois plus à risque de donner naissance à un bébé qui aura une malformation comme les maladies cardiaques et le spina-bifida.

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Le diabète de type 2 en lien avec le revenu et la scolarité chez la femme

Il semblerait que le revenu et la scolarité ont un lien direct avec le développement du diabète de type 2 pour la femme.
 
Ces deux facteurs auraient même une plus grande influence que l’obésité ou l’origine ethnique qui ont pourtant été reconnues par le passé comme des facteurs de risques importants.
 
Selon l’Enquête nationale sur la santé de la population de Statistique Canada, qui a étudié 17 000 personnes entre 1994 et 1995, les femmes qui ont un surplus de poids, mais qui vivent dans un milieu aisé et ont une scolarité plus élevée ont plus de chances de ne jamais développer la maladie que les femmes moins éduquées vivant dans un milieu pauvre.
 
Par contre, chez les hommes, ces facteurs ne semblent pas jouer de rôle décisif, car dans leur cas, dès qu’ils sont obèses, fument, consomment de l’alcool et sont sédentaires, la maladie les guette à tout moment.
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Très tôt, le diabète affecte le cerveau des enfants

Une petite étude rapportée par le journal Diabetologia démontre que le diabète de type 2 peut affecter le cerveau, y compris celui de jeunes enfants.

Auparavant, les enfants étaient plus susceptibles de souffrir du diabète de type 1, communément appelé le diabète juvénile, mais avec le nombre grandissant d’enfants obèses, souvent lié au diabète de type 2, on retrouve des cas de plus en plus jeunes. Maintenant, 40 % des cas de diabète chez les enfants sont de type 2.

Des chercheurs ont évalué les capacités cognitives de jeunes obèses diabétiques et non-diabétiques, et ont constaté que les diabétiques avaient notamment plus de difficultés à penser.

Chez l’adulte aussi on avait noté que le diabète de type 2 affectait les capacités à apprendre et à retenir.

Bien qu’il n’y ait pas de preuves définitives et qu’on ne s’explique pas encore très bien pourquoi le diabète de type 2 affecte le cerveau, certains affirment que cela nuirait à l’apport de sang vers le cerveau.

La bonne nouvelle est que ces effets négatifs s’estompent, lorsque le diabète de type 2 s’efface. Il est donc important que les enfants perdent du poids.

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Une hormone pour améliorer le traitement du diabète

Des chercheurs américains ont découvert que l’adiponectine pourrait être un biomarqueur pour le traitement du diabète de type 2.

L’adiponectine est une hormone métabolique qui règlemente certains processus comme la régulation du métabolisme du glucose et des graisses pour produire de l’énergie.

Une étude précédente avait déjà fait un lien entre cette hormone et la sensibilité à l’insuline, mais la nouvelle étude, publiée dans le Clinical Pharmacology & Therapeutics, démontre que le niveau de l’hormone chez les patients atteints de diabète de type 2 permet de prédire comment ils répondront à certains médicaments pour traiter la maladie.

Ainsi, on souhaite utiliser cette hormone comme biomarqueur pour surveiller la tolérance au glucose et prédire la réponse aux médicaments.

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Poids plume, synonyme de diabète?

Une étude, menée par des chercheurs associés à l’Institut Karolinska de Stockholm, démontre que les nouveaux nés, dont le poids était inférieur à la moyenne à la naissance, risquent d’être plus touchés par le diabète de type 2 à l’âge adulte.

Le Dr Magnus Kaijser et son équipe ont comparé un groupe de poupons de petits poids à des bébés ayant un poids dans la moyenne.

Les sujets nés avant la 32e semaine de gestation étaient 67 % plus à risque de développer du diabète que ceux nés à terme, soit la 37e semaine de grossesse.

« Le poids inférieur à la moyenne à la naissance fait augmenter de manière significative l’incidence de diabète de type 2 chez les adultes », a conclu le Dr Kaijser, dont la recherche est publiée dans la revue médicale Diabetes.

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Les bienfaits de l’exercice chez les jeunes

Des chercheurs de l’Université de l’Alabama à Birmingham ont démontré que les adolescents qui pratiquent régulièrement du sport brûlent davantage de calories et métabolisent mieux la glycémie, ce qui les protège du diabète de type 2.

32 jeunes ont participé à cette étude où l’on a mesuré leurs mouvements durant la journée grâce à un accéléromètre.

Les chercheurs ont découvert que ceux qui étaient modérément actifs au cours de la première semaine de leurs travaux avaient un métabolisme plus rapide que les adolescents sédentaires. Ils avaient également une meilleure facilité à éliminer le sucre dans leur organisme.

Pour l’auteure de cette recherche, la Dre Amy S. Thomas, l’intensité du sport pratiqué ne semble pas jouer dans la balance puisque même la marche a démontré les mêmes résultats.

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Des médicaments contre le diabète et les fractures

Une recherche, publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne, démontre que les médicaments Avandia et Actos, qui traitent le diabète de type 2, doublent le risque de fractures chez les femmes qui les consomment.

Des essais cliniques antérieurs avaient prouvé que ces deux médicaments augmentent aussi l’incidence d’insuffisance cardiaque et les chercheurs invitent les professionnels de la santé à redoubler de vigilance lors de leur prescription.

Pour l’auteur derrière ces résultats, le Dr Sonal Singh, les médicaments causent également des changements significatifs de la teneur minérale des os de la colonne vertébrale lombaire et de la hanche.

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Une étude sur le diabète suspendue

Devant un nombre inattendu de décès parmi les patients diabétiques, une étude, financée et dirigée par le National Heart, Lung and Blood Institute des États-Unis, a dû être momentanément interrompue, le temps que l’équipe de chercheurs trouve une explication à cette cause.

Cette recherche visait à ramener le taux de sucre dans le sang à un niveau prédiabétique chez un groupe test donné. Un autre groupe test n’était soumis qu’à un contrôle normal du niveau d’insuline.

Il semble que ce traitement augmenterait les risques de souffrir de maladies cardiovasculaires chez le premier groupe. Les chercheurs ont donc choisi de ne pas mettre délibérément leur vie en danger. « Une révision exhaustive des données démontre que la stratégie de traitement médical visant à réduire intensivement le taux de sucre dans le sang sous les recommandations cliniques actuelles est dangereuse pour ces patients à haut risque touchés par le diabète de type 2 », a mentionné Elizabeth Nabel, la directrice de l’institut.

Depuis 2001, 10 251 diabétiques, dont 1 500 Canadiens, ont participé à cette recherche.