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Un étudiant remarquable reçoit 170 lettres d’admission et plus de 9 millions en bourses

Certains se demandent ce qu’ils feront de leur avenir et d’autres ont les portes grandes ouvertes devant eux. C’est le cas d’un finissant d’une école secondaire en Louisiane, qui a reçu pas moins de 170 lettres d’admission à l’université et plus de 9 millions de dollars en offres de bourses, rapporte TVA Nouvelles

Dennis Maliq Barnes termine son secondaire à l’International High School de La Nouvelle-Orléans.

« À mesure que je postulais dans les écoles, et que mes demandes étaient de plus en plus acceptées, avec l’aide financière des universités, je suis devenu intrigué », a déclaré le jeune homme de 16 ans à CNN.

C’est lorsqu’on lui a mentionné qu’il s’approchait d’un record qu’il a décidé de l’atteindre.

C’est en août dernier qu’il a commencé à postuler à des établissements d’études supérieures. Il s’est réjoui de recevoir un bon nombre de réponses positives et de bourses, après avoir postulé à environ 200 établissements. 

D’ailleurs, il est entré en contact avec le Livre des records Guinness afin de faire valider son record.

Il ne sait pas encore dans quel établissement il étudiera, mais prévoit avoir fait son choix d’ici le 24 mai, date d’obtention de son diplôme.

« Je ne sais pas où je veux aller. J’ai l’intention de poursuivre des études en informatique, puis d’aller à la faculté de droit », a-t-il expliqué. 

Selon lui, son succès est dû à son entourage, à sa foi en Dieu et à ses réalisations scolaires. Sa moyenne ? 4,98. C’est l’équivalent canadien de A+.

« Si vous faites de votre école et votre éducation une priorité, que vous (croyez en) Dieu, vous allez certainement réussir, peu importe ce que vous faites », dit-il. 

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Divertissement Potins

Léa Clermont-Dion reçoit son diplôme!

C’est fait!

Léa Clermont-Dion a reçu son diplôme de l’Université Laval confirmant son doctorat en science politique.

La jeune femme a partagé ce grand moment sur Instagram, elle qui qualifie ce beau dénouement de «surréaliste».

«C’est donc bien vrai, alors. Surréaliste», lance-t-elle en légende du diplôme en question.

https://www.instagram.com/p/CaimqwnMSfS/

Évidemment, les réactions n’ont pas tardé à affluer, notamment celles d’Anne-Marie Withenshaw, Pénélope McQuade et Mitsou.

Rappelons que Léa Clermont-Dion a réussi ce bel exploit tout en étant une jeune maman de deux enfants, elle qui accueillait dans sa vie un garçon en 2019, et une fille en 2020!

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Art de vivre

Accoucher pendant ma session universitaire… une deuxième fois

(CHRONIQUE)

Ce texte est le récit de ma session d’automne 2018.

Comme si la première fois n’était pas assez, j’ai accouché une seconde fois durant la session universitaire. Mais cette fois-ci, j’ai accouché quelques semaines après le début de la session.

J’ai débuté ma session universitaire à 36 semaines de grossesse, j’avais donc contacté les professeurs avant la session pour leur parler de ma situation. Même si l’allaitement est permis partout au Canada, ce ne sont pas tous les professeurs qui sont confortables avec ça. Comme c’était le cas de l’un d’entre eux, j’ai choisi d’annuler un cours avant le début de la session. Je savais que j’allais avoir beaucoup de choses à faire avec un nouveau-né; un cours de moins allait simplifier mon quotidien. Je n’avais pas non plus l’énergie pour faire valoir mes droits.

J’ai accouché à la fin du mois de septembre et grâce à deux fériés, j’ai eu deux semaines sans cours. Je n’ai donc manqué aucun cours malgré mon accouchement. J’ai aussi la chance d’avoir eu un bébé qui adorait et adore toujours le porte-bébé. J’ai donc assisté à plusieurs cours avec mon nouveau-né dans le fond de la classe pour me permettre d’allaiter au besoin. Je trouve que c’est plus facile d’être à l’école avec un bébé de quelques semaines puisqu’il dort souvent. C’est une autre paire de manches quand il se met à marcher.

Puisque la majorité des toilettes de l’université n’ont pas de table à langer, j’ai toujours trouvé un local vide à proximité pour faire un changement de couche rapide. J’ai aussi eu la chance d’avoir d’autres mamans dans mes cours; elles comprenaient donc ma situation. Pour les travaux d’équipe, ça nous permettait de trouver des moments communs pour travailler puisque nos horaires étaient semblables. Durant mes années d’études, j’ai remarqué que les parents étudiants ont tendance à s’y prendre d’avance pour les projets. Commencer un travail pour le lendemain, c’est pas mal plus difficile quand ton enfant à la gastro. #momlife

Même si avoir des enfants pendant nos études n’est pas facile (peu importe leur âge), je suis vraiment fière d’avoir terminé mes cours! Félicitations à tous les parents aux études, c’est clairement difficile, mais ô combien gratifiant.

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Potins

Miles Teller n’a toujours pas remboursé ses dettes d’étude

Miles Teller n’en finit plus de surprendre.

La jeune sensation et star de Whiplash étonne cette fois en déclarant qu’il n’a pas l’intention de régler sa dette d’étude contractée dans les années 2000, alors qu’il étudiait à la Tisch School of the Arts de l’Université de New York.

BANG Media International rapporte plutôt que l’acteur s’est vu conseiller de ne pas rembourser immédiatement, parce que « ça ne faisait aucun sens ».

« Celui qui gère mes affaires m’a dit que le taux d’intérêt est si bas que ça ne fait aucun sens de rembourser ça. Je peux, si je veux ce badge d’accomplissement, mais jusque là j’ai encore vraiment mes prêts de la NYU », lance Miles Teller.

Dans la même veine, l’acteur affirme ne pas se souvenir de ses études.

« Je ne pourrais pas vous dire une seule chose que j’ai apprise à l’université. Tu es vraiment dedans à ce moment-là, mais quand tu pars, tu oublies », explique-t-il.

Cela n’empêchera certainement pas Miles Teller de poursuivre son étonnante progression au cinéma.

L’acteur sera d’ailleurs en vedette dans la nouvelle mouture des Fantastic Four, prochainement.

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Potins

Madonna maman atterrée

La chanteuse Madonna a trouvé très difficile que sa fille aînée, Lourdes, quitte la maison.

Lourdes, 18 ans, a choisi de voler de ses propres ailes. La jeune femme a quitté le cocon familial pour poursuivre ses études à l’université.

En entrevue avec le magazine allemand Gala, Madonna raconte comment elle a vécu cette séparation : « Ce fut le pire jour de ma vie. Même lorsque mes relations amoureuses de longue date se terminaient, je n’ai jamais vécu d’aussi grande peine. »

Madonna, 56 ans, est reconnue pour être une mère omniprésente qui a l’habitude de couvrir ses enfants. « Dans les faits, nous vivons dans un tourbillon et un monde malade. On dirait que cela empire tous les ans. Il y a tant de personnes folles. Je ne veux pas ennuyer mes enfants avec mes frayeurs », explique la chanteuse pop.

En plus de Lourdes, née de la relation avec Carlos Leon, Madonna est la mère de Rocco, né de son mariage avec le cinéaste Guy Ritchie. La célèbre chanteuse a aussi adopté David et Mercy.

Photo : BANG/BIG

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Un doctorat honorifique pour Cate Blanchett

Cate Blanchett est maintenant l’heureuse récipiendaire d’un doctorat honorifique, rapporte BANG Media International, remis par l’Université Macquarie de Sydney, en Australie.

L’actrice était présente pour recevoir cet honneur, et a profité de son passage sur le podium et sur sa terre natale australienne pour y aller d’un vibrant discours sur les arts, qui s’avèrent un « puissant moteur d’innovation et d’exploration », selon elle.

« Les arts sont ce qui nous garde en vie, ce qui nous fait travailler toute la semaine, ce qui nous fait rêver, ce qui nous connecte et, diront certains, ce qui nous rend humains. De par cette vaste église est accueillie une myriade de professions, des professions qui changent, forment et font évoluer… les arts ont toujours été un puissant moteur d’innovation et d’exploration », a déclaré Cate Blanchett.

L’actrice, elle-même Australienne, s’est vu accorder ce doctorat honorifique par l’Université Macquarie de Sydney en l’honneur de sa contribution aux arts, à la philanthropie et à la communauté.

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Potins

Jessica Alba regrette de ne pas avoir fait d’études supérieures

Quand on dit que la célébrité n’efface pas tout, et qu’il est possible d’avoir des regrets et une certaine nostalgie d’éléments plus « réels », Jessica Alba devra maintenant être citée en exemple en la matière.

La belle actrice regrette en effet de ne pas être allée à l’université. Elle admet qu’elle ressent depuis toujours une certaine insécurité face à son manque d’études supérieures, rapporte BANG Media International.

« J’ai toujours été inquiète à propos du fait de ne pas aller à l’université, et je ne me suis jamais sentie assez intelligente. Durant mon adolescence et ma vingtaine, je ne me sentais pas sûre de moi et je ressentais le besoin de m’excuser », dévoile Jessica Alba.

La star de Sin City: A Dame To Kill For donne cependant du crédit à sa famille et au fait de prendre de l’âge pour sa confiance renouvelée au fil des ans.

« Je me sens mieux maintenant. Surtout après mes 30 ans. C’est fou ce qui arrive », conclut l’actrice de maintenant 33 ans.

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Emma Watson prévoit une fête mexicaine gigantesque

L’actrice Emma Watson prévoit une thématique mexicaine pour la célébration de son diplôme universitaire. Elle fêtera le tout plus sobrement avec ses parents, mais la fête est destinée à une soirée en compagnie de ses amis.

Selon le journal britannique The Sun, un concours de beuverie à la tequila fait partie des clous de la soirée. Ainsi, Watson sait s’amuser. Après des études à l’Université Brown et à Oxford, en plus du tournage de Noah, entre autres, la fiesta sera bien méritée.

Du même coup, la star et égérie de Chanel en profitera pour souligner son 24e anniversaire, qui a lieu le 15 avril.

Emma Watson a récemment confié que lors d’une scène particulièrement éprouvante dans le film Noah, elle avait les lèvres en sang et sa covedette, Douglas Booth, était blessée au nez. Il s’agissait non pas d’une cascade, mais d’un baiser passionné.

« Nous devions tourner une scène dans laquelle nous courons l’un vers l’autre pour nous embrasser passionnément. » Or, après la 6e prise, le réalisateur Darren Aronofsky n’étant toujours pas satisfait, les deux acteurs se sont blessés. « Nous étions épuisés. »

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Emma Watson prévoit une fête mexicaine gigantesque

L’actrice Emma Watson prévoit une thématique mexicaine pour la célébration de son diplôme universitaire. Elle fêtera le tout plus sobrement avec ses parents, mais la fête est destinée à une soirée en compagnie de ses amis.

Selon le journal britannique The Sun, un concours de beuverie à la tequila fait partie des clous de la soirée. Ainsi, Watson sait s’amuser. Après des études à l’Université Brown et à Oxford, en plus du tournage de Noah, entre autres, la fiesta sera bien méritée.

Du même coup, la star et égérie de Chanel en profitera pour souligner son 24e anniversaire, qui a lieu demain (15 avril).

Emma Watson a récemment confié que lors d’une scène particulièrement éprouvante dans le film Noah, elle avait les lèvres en sang et sa covedette, Douglas Booth, était blessée au nez. Il s’agissait non pas d’une cascade, mais d’un baiser passionné.

« Nous devions tourner une scène dans laquelle nous courons l’un vers l’autre pour nous embrasser passionnément. » Or, après la 6e prise, le réalisateur Darren Aronofsky n’étant toujours pas satisfait, les deux acteurs se sont blessés. « Nous étions épuisés. »

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Dépression dans les facultés de droit

On pourrait croire que d’être admis à l’université afin de poursuivre des études supérieures en droit serait suffisant pour contribuer au bonheur de ces élus, mais une spécialiste dévoile plutôt le côté sombre de la chose et rapporte de nombreux cas de dépression chez ces étudiants.

Les propos de la professeure Marilyn Poitras, rapportés par Radio-Canada, ont de quoi surprendre.

« Certains étudiants nous disent qu’ils voudraient mourir. D’autres vomissent régulièrement avant les examens. Pour d’autres encore, tout s’effondre à la venue des examens, et les familles se désagrègent », explique Mme Poitras.

Cette dernière croit donc qu’il est important d’accompagner et d’offrir de l’aide à ces étudiants, une pratique peu commune sur les différents campus.

Ce sera cependant le cas de l’Université de Saskatchewan, qui lance l’initiative Droit et bonheur, un séminaire qui propose aux étudiants de l’aide afin de traverser leurs études et de faire face adéquatement aux problèmes de dépression et de dépendance auxquels ils peuvent être confrontés.

« Droit et bonheur est devenu un événement où les étudiants peuvent parler de ce qu’ils vivent. C’est devenu un groupe tissé très serré », lance Marilyn Poitras.

La professeure et ses collègues souhaitent maintenant que l’idée fasse des petits un peu partout, en entend même mettre sur pied un programme qui viendrait en aide aux juges et aux avocats.