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L’attente toujours aussi longue dans les urgences

Selon ce que rapporte La Presse, les personnes qui se rendent dans les urgences des hôpitaux du Québec devront s’armer de patience.

Des données, fournies par le Comité de coordination national des urgences (CCNU), démontrent que le temps d’attente aux urgences et les séjours sur civière se sont allongés ou ont stagné au cours des six derniers mois dans la majorité des centres hospitaliers.

Ainsi, la moyenne du temps d’attente et de séjour dans les urgences est de 16,6 heures et le gouvernement Charest s’est fixé comme objectif de la réduire à 12 heures pour 2010.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, a expliqué le pourquoi de cette situation : « Nous avons des tableaux qui montrent que, cette année, la fréquentation des gens de 75 ans et plus dans les urgences augmente encore. On sait que ces patients sont bien plus lourds à traiter. Dans ces conditions, si les hôpitaux ont réussi à maintenir leur performance, c’est presque une amélioration. »

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La cause de l’attente dans les urgences

Des scientifiques de la Colombie-Britannique pourraient avoir trouvé une explication aux longs délais d’attente dans les urgences. Selon eux, le niveau de stress et de fatigue des urgentologues pourrait causer la congestion dans les centres hospitaliers.

31 médecins de l’hôpital St. Paul de Vancouver ont participé à cette recherche, où l’on évaluait pendant six mois leur productivité dans le département de l’urgence.

Les chercheurs ont observé que vers la fin de leur quart de travail, les médecins voyaient 50 % moins de patients. En plus de la cadence des consultations, les médecins avaient plus de difficulté à poser un diagnostic et préféraient ne traiter que des cas mineurs.

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L’urgence de l’Hôtel-Dieu à éviter

La direction de l’hôpital de l’Hôtel-Dieu de Montréal recommande aux citoyens d’éviter autant que possible son service d’urgence pendant le prochain mois, car celui-ci risque d’être bondé en raison d’une pénurie de médecins.

« Nous n’avons pas encore la certitude qu’il y aura un médecin toutes les nuits. Si la situation ne change pas, la direction pourrait se voir obligée d’appliquer de façon exceptionnelle un plan de contingence et fermer partiellement son service aux patients qui n’y seront pas transportés en ambulance », a mentionné à La Presse l’urgentologue en chef du CHUM, la Dre Emmanuelle Jourdenais.

Devant la situation qui s’est aggravée au cours de l’année, le centre hospitalier se voit forcé de ne traiter que les cas les plus urgents, soit ceux où l’état des patients est trop grave pour qu’ils soient dirigés vers un autre hôpital.

Pour le moment, un seul urgentologue sera en service la nuit, ce qui risque d’augmenter le délai d’attente.

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Les médecins canadiens sont submergés

Le Sondage national des médecins (SNM) de 2007 publié aujourd’hui (11 juin) nous apprend que les médecins canadiens doivent de plus en plus composer avec les maladies chroniques dont souffrent les patients qu’ils traitent.

80 % des répondants à l’enquête ont affirmé que les besoins croissants en matière de soins aux patients chroniques prennent la plus grande partie de leur temps, alors qu’ils doivent traiter des patients souffrant de diabète, de cancer, de maladies du coeur et de problèmes de santé mentale.

Malheureusement, les médecins interrogés jugent que le système de santé canadien n’est pas organisé afin de traiter ces patients dans un délai raisonnable. « Le Canada devrait mettre en place une approche coordonnée et pancanadienne concernant les effectifs médicaux afin d’éduquer, de former, de recruter et de retenir un nombre suffisant de médecins pour répondre aux besoins d’une population vieillissante qui présente des problèmes de santé de plus en plus complexes, » a souligné la Dre Louise Samson, présidente du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

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Moins d’attente les soirs de match

Le quotidien La Presse confirme la légende urbaine qui veut que les Québécois fréquentent moins les salles d’urgence les soirs où les Canadiens de Montréal jouent une partie de hockey.

Pascal Mailhot, responsable des communications de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de Montréal, a confirmé : « Au cours de la saison normale, la plupart des médecins remarquent que les urgences sont moins bondées les soirs de hockey. Mais durant les séries éliminatoires, c’est évident : tous les médecins disent que c’est plus tranquille. »

Les jours où la Sainte-Flanelle est en congé, 149 patients fréquentent en moyenne l’urgence du HMR. Ce chiffre passe à 144 lorsqu’une partie des Canadiens est au calendrier. « Mais si l’on sortait les données uniquement pour les soirs, on verrait possiblement qu’il y a beaucoup moins de monde les soirs de match», a ajouté M. Mailhot.

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Moins d’attente les soirs de match

Le quotidien La Presse confirme la légende urbaine qui veut que les Québécois fréquentent moins les salles d’urgence les soirs où les Canadiens de Montréal jouent une partie de hockey.

Pascal Mailhot, responsable des communications de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de Montréal, a confirmé : « Au cours de la saison normale, la plupart des médecins remarquent que les urgences sont moins bondées les soirs de hockey. Mais durant les séries éliminatoires, c’est évident : tous les médecins disent que c’est plus tranquille. »

Les jours où la Sainte-Flanelle est en congé, 149 patients fréquentent en moyenne l’urgence du HMR. Ce chiffre passe à 144 lorsqu’une partie des Canadiens est au calendrier. « Mais si l’on sortait les données uniquement pour les soirs, on verrait possiblement qu’il y a beaucoup moins de monde les soirs de match», a ajouté M. Mailhot.